est une suspension lyophilisée de la souche bacillaire vivante de Calmette-Guérin à faible potentiel infectieux provenant de Mycobacterium bovis, souche RIVM.
stimule le système immunitaire et a une activité antitumorale.
Les résultats détudes indiquent que le BCG agit comme un immunostimulant non-spécifique, que son action nest pas unique mais quil a plusieurs actions impliquant les cellules du système immunitaire.
Le BCG a un effet stimulateur sur la rate, il majore la fonction macrophage dans la rate et active les NK (cellules tueuses naturelles).
Des informations détaillées sont disponibles sur le site internet de l'Agence européenne des médicaments.
Le G-CSF humain est une glycoprotéine qui régule la production et la libération des polynucléaires neutrophiles fonctionnels à partir de la moelle osseuse.
, contenant du r-metHuG-CSF (filgrastim), entraîne une augmentation marquée du nombre des polynucléaires neutrophiles circulants et une augmentation mineure des monocytes dans les 24 heures.
Le(s) mécanisme(s) d'action de l'acétate de glatiramère chez les patients atteints de SEP n'est (ne sont) pas entièrement élucidé(s).
On suppose cependant, que lacétate de glatiramère exercerait un effet modulateur sur les processus immunologiques, que lon considère aujourdhui comme étant responsables de la pathogenèse de la SEP.
Cette hypothèse repose sur les résultats détudes menées pour explorer la pathogenèse de lencéphalomyélite auto-immune expérimentale (EAE).
Cette affection qui peut être provoquée chez plusieurs espèces animales par immunisation contre des substances issues du système nerveux central contenant de la myéline, est souvent utilisée comme modèle animal expérimental de la SEP.
L'immunoglobuline de lapin anti-thymocytes humains est un immunosuppresseur sélectif (agissant sur les lymphocytes T).
Le mécanisme d'action de l'immunoglobuline de lapin anti-thymocytes humains est le suivant :La déplétion lymphocytaire constitue probablement le principal mécanisme de l'immunosuppression induite par l'immunoglobuline de lapin anti-thymocytes humains.
reconnaît la plupart des molécules impliquées dans la cascade d'activation des lymphocytes T au cours du rejet de greffe telles que CD2, CD3, CD4, CD8, CD11a, CD18, CD25, HLA-DR et HLA de classe I.
Les lymphocytes T sont éliminés de la circulation par une lyse dépendant du complément et, plus encore, par un mécanisme d'opsonisation Fc-dépendant mettant en jeu le système des cellules monocyto-phagocytaires.
L'immunoglobuline anti-D contient des anticorps spécifiques (IgG) contre l'antigène D (Rh) des érythrocytes humains.
Durant la grossesse et plus particulièrement lors de la naissance du bébé, les globules rouges foetaux peuvent entrer dans la circulation sanguine maternelle.
Lorsque la mère est Rh(D)-négatif et que le foetus est Rh(D)-positif, la mère peut développer une immunisation contre les antigènes Rh(D) et produire des anticorps anti-Rh(D) qui traversent le placenta et risquent de causer une maladie hémolytique chez le nouveau-né.
L'immunisation passive par immunoglobulines anti-D prévient l'immunisation Rh(D) dans plus de 99% des cas à condition qu'une dose suffisante d'immunoglobulines anti-D soit administrée suffisamment tôt après l'exposition aux globules rouges foetaux Rh(D)-positif.
Limmunoglobuline humaine de lhépatite B contient principalement des immunoglobulines G (IgG) avec un taux élevé d'anticorps dirigés contre lantigène de surface du virus de lhépatite B (HBs).
Limmunoglobuline humaine de lhépatite B présente les mêmes caractéristiques que les anticorps anti‑HBs physiologiques.
contient principalement des immunoglobulines G (IgG) présentes chez la population normale.
Ce produit est préparé à partir de pools de plasma provenant dun minimum de 1000 dons.
Ces IgG présentent un large spectre d'anticorps dirigés contre les agents infectieux, dont les taux peuvent être mis à disposition du corps médical sur demande.
Le respect des fonctions biologiques des immunoglobulines a été validé par un test de la fonction Fc.
Les immunoglobulines humaines rabiques contiennent essentiellement des immunoglobulines G (IgG) avec une quantité danticorps dirigés contre le virus de la rage particulièrement élevé.
Le mécanisme daction pharmacologique de limmunoglobuline humaine rabique repose essentiellement sur la neutralisation du virus de la rage au contact de son site dentrée.
Limmunité active engendrée par la vaccination post-exposition ne se déclarant que 14 jours environ après J0 (lorsque le patient a reçu le schéma vaccinal complet des 5 doses), ladministration des immunoglobulines humaines rabiques couvre cette fenêtre thérapeutique.
L'Immunoglobuline Equine Tétanique 1500 UI/ml contient essentiellement des fragments F(ab)2 dimmunoglobulines qui ont la propriété de neutraliser la toxine produite par Clostridium tetani.
L'inosine acedobène dimépranol est un dérivé des purines de synthèse ayant des propriétés immunomodulatrice et antivirale.
est un immunostimulant qui intervient sur la composante cellulaire et hormonale de la réponse immunitaire : elle stimule l'activité des macrophages elle stimule l'activité des lymphocites B et T elle potentialise l'action de certaines lymphokines.
a démontré qu'il possédait de nombreuses propriétés de l'interféron-alfa naturel humain.
exerce ses effets antiviraux en induisant une résistance cellulaire aux infections virales et en modulant les effecteurs du système immunitaire de façon à neutraliser les virus ou éliminer les cellules infectées par le virus.
Le mécanisme essentiel de l'activité anti-tumorale de n'est pas encore connu.
Néanmoins, il a été constaté un certain nombre de modifications dans les cellules tumorales humaines traitées par : dans les cellules HT 29, on observe une diminution significative de la synthèse de l'ADN, de l'ARN et des protéines.
Les interférons sont une famille de protéines d'origine naturelle produites par les cellules eucaryotes en réponse à une infection virale et à d'autres inducteurs biologiques.
Les interférons sont des cytokines médiatrices d'activités antivirale, antiproliférative et immunomodulatrice.
On peut distinguer trois formes majeures d'interférons : les interférons alpha, bêta et gamma.
Les interférons alpha et bêta sont classés en Type I et l'interféron gamma en Type II.
Les interférons forment une famille de protéines apparentées sur le plan fonctionnel et synthétisées par les cellules eucaryotes en réponse à laction de virus et de différents stimuli naturels ou artificiels.
Le mécanisme daction exact de linterféron gamma-1b sur la granulomatose septique chronique reste inconnu à lheure actuelle ; les observations relatives à la production danion superoxyde sont sans équivoque.
Toutefois, on présume que linterféron gamma-1b augmente la cytotoxicité des macrophages en stimulant la respiration cellulaire par la formation de métabolites toxiques de loxygène, capables dintervenir en tant que médiateurs dans la destruction des micro-organismes intracellulaires.
Il augmente lexpression des antigènes de membrane HLA-DR sur les macrophages et lexpression des récepteurs Fc, ce qui résulte en un accroissement de la cytotoxicité cellulaire sous la dépendance des anticorps.
Le plérixafor, dérivé du bicyclame, est un antagoniste réversible et sélectif du récepteur de chimiokine CXCR4.
Il bloque la liaison de son ligand analogue, le facteur dérivé des cellules stromales-1α (SDF-1α), également connu sous le nom de CXCL12.
La leucocytose résultant de l'administration du plérixafor et l'élévation du nombre de cellules souches hématopoïétiques circulantes semblent résulter d'une rupture de la liaison entre CXCR4 et son ligand analogue, se traduisant par la présence de cellules à la fois matures et pluripotentes dans la circulation systémique.
Les cellules CD34+ mobilisées par le plérixafor sont fonctionnelles et permettent la reconstitution hématopoïétique, et sont caractérisées par leur capacité d'auto-renouvellement à long terme.
Le tériflunomide est un agent immunomodulateur aux propriétés anti-inflammatoires qui inhibe de manière sélective et réversible la dihydroorotate déhydrogénase (DHO-DH), une enzyme mitochondriale nécessaire à la synthèse de novo de pyrimidine.
Par conséquent, le tériflunomide diminue la prolifération des cellules qui ont besoin de la synthèse de novo de pyrimidine pour se multiplier.
Le mécanisme d'action exact du tériflunomide dans la SEP est encore mal connu et pourrait impliquer une réduction du nombre de lymphocytes activés.
Effets pharmacodynamiques :Système immunitaire :Effets sur le nombre de cellules immunitaires dans le sang : dans les études contrôlées contre placebo, une dose de 14 mg de tériflunomide une fois par jour a entraîné une faible diminution moyenne du nombre de lymphocytes, inférieure à 0,3 x 109/l, survenue au cours des 3 premiers mois de traitement.
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