M13 Autres arthritesM13 Autres arthrites M13.0 Polyarthrite, sans précision M13.1 Monoarthrite, non classée ailleurs M13.8 Autres arthrites précisées M13.9 Arthrite, sans précision
Les Substances actives utilisés pour traiter "M13 Autres arthrites"USAGE SYSTEMIQUERhinite allergique saisonnière après échec des autres thérapeutiques (antihistaminique par voie générale, corticoïde intra-nasal, ou corticoïde per os en cure courte). USAGE LOCALCe sont celles de la corticothérapie locale, lorsque l'affection justifie une forte concentration locale. Traitement symptomatique des douleurs d'intensité légère à modérée (céphalées, douleurs dentaires); Douleurs de l'appareil locomoteur ; Dysménorrhées après recherche étiologique ; Ménorragies fonctionnelles (restant inexpliquées après enquête étiologique systématique). RESERVE A L'ADULTE et l'enfant de plus de 12 ans. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire de l'acide niflumique, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu, et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles. Elles procèdent de lactivité anti-inflammatoire de lacide tiaprofénique, de limportance des manifestations dintolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans léventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles. Elles sont limitées, chez ladulte et lenfant à partir de 15 kg (soit environ à partir de 4 ans), au : traitement symptomatique au long cours : des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, de certaines arthroses douloureuses et invalidantes ; traitement symptomatique de courte durée : des poussées aiguës darthrose, de lombalgies, des affections aiguës post-traumatiques bénignes de lappareil locomoteur ; dysménorrhée après recherche étiologique ; traitement symptomatique de la douleur au cours des manifestations inflammatoires dans les domaines ORL et stomatologiques. USAGE SYSTEMIQUELes indications sont : celles de la corticothérapie générale per os lorsque la voie parentérale est nécessaire en cas d'impossibilité de la voie orale (vomissements, aspiration gastrique, troubles de la conscience) ; Les affections nécessitant un effet thérapeutique rapide. Allergiques : dème de Quincke sévère en complément des antihistaminiques ; choc anaphylactique en complément de l'adrénaline.
Traitement des carences en vitamine E. est indiqué dans le traitement des patients adultes présentant : - Une baisse d'acuité visuelle due à un œdème maculaire diabétique (OMD) chez des patients pseudophaques, ou considérés comme insuffisamment répondeurs à un traitement non corticoïde ou pour lesquels un traitement non corticoïde ne convient pas.
- Un œdème maculaire suite à une occlusion de la branche veineuse rétinienne (OBVR) ou de la veine centrale de la rétine (OVCR).
- Une inflammation du segment postérieur de l'œil de type uvéite non infectieuse .
Traitement symptomatique de courte durée des douleurs aiguës dintensité légère à modérée, telles que douleurs aiguës de lappareil locomoteur, dysménorrhées et douleurs dentaires.
Adulte Traitement symptomatique à court terme (2-4 semaines) de lanxiété sévère, invalidante ou qui provoque une détresse extrême chez le patient. Traitement symptomatique du sevrage alcoolique aigu. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du diclofénac, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles. Elles sont limitées, chez l'adulte et à l'enfant à partir de 15 ans, au : Traitement d'entretien des affections rhumatismales chroniques pour lesquelles, lors de l'utilisation des formes dosées à 25 mg et 50 mg, la posologie de 75 mg par jour s'est révélée adéquate. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire de l'étodolac, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu, et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.Elles sont limitées aux: traitement symptomatique au long cours: des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, de certaines arthroses douloureuses et invalidantes, traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des arthroses (coxarthrose, gonarthrose), traitement symptomatique de courte durée des: poussées aiguës des rhumatismes abarticulaires (épaule douloureuse aiguë, tendinite, bursite), lomboradiculalgies sévères. est indiqué chez les adultes et adolescents à partir de 16 ans pour le traitement symptomatique de larthrose. La décision de prescrire un inhibiteur sélectif de la COX‑2 doit être basée sur lévaluation de lensemble des risques spécifiques à chaque patient .
Traitement glucocorticoïde de substitution au cours de l'insuffisance surrénale : insuffisance surrénale primitive : maladie d'Addison, surrénalectomie, insuffisance surrénale d'origine hypophysaire : syndrome de Sheehan, insuffisances hypophysaires de causes diverses, hyperplasie congénitale des surrénales avec ou sans syndrome de perte de sel (syndrome de Debré-Fibiger). Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire de l'ibuprofène, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits antiinflammatoires actuellement disponibles.Elles sont limitées, chez l'adulte (plus de 15 ans), au : traitement symptomatique au long cours : des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndromes apparentés tels que le syndrome de Fiessinger Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique, de certaines arthroses invalidantes et douloureuses ; traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des : rhumatismes abarticulaires tels que péri-arthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites, arthroses, arthrites microcristallines, lombalgies, radiculalgies, affections aiguës post-traumatiques bénignes de l'appareil locomoteur ; dysménorrhées après recherche étiologique ; traitement symptomatique des affections douloureuses d'intensité légère à modérée et/ou des états fébriles. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire de l'indométacine, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.Elles sont limitées, chez l'adulte (plus de 15 ans), au traitement symptomatique au long cours: des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, de certaines arthroses invalidantes et douloureuses. Elles sont limitées, chez l'adulte (plus de 15 ans), au traitement symptomatique des affections douloureuses d'intensité légère à modérée et/ou fébriles. Traitement de courte durée des douleurs aiguës, dintensité légère à modérée. Traitement symptomatique de la douleur et de linflammation de larthrose. Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës d'arthrose.Traitement symptomatique au long cours de la polyarthrite rhumatoïde ou de la spondylarthrite ankylosante Maladie de Horton, lupus, vascularites. Affections neurologiques : dèmes cérébraux dans le cadre de tumeurs cérébrales, en pré-opératoires pendant 2 à 3 jours, toxoplasmose cérébrale en début de traitement, lymphomes cérébraux en durée limitée en cas de réponse ou en traitement prolongé en l'absence de réponse. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du principal métabolite de la nabumétone, l'acide 6-méthoxy-2-naphtyl acétique (6 MNA), de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu, et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponible. Elles sont limitées à : Traitement symptomatique au long cours : des rhumatismes inflammatoires chroniques notamment polyarthrite rhumatoïde, de certaines arthroses invalidantes et douloureuses notamment coxarthroses et gonarthroses. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du naproxène, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.Elles sont limitées, chez l'adulte (à partir de 15 ans), au: traitement symptomatique au long cours: des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndromes apparentés tels que syndrome de Fiessinger Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique; de certaines arthroses invalidantes et douloureuses. Traitement de la douleur aiguë . Dysménorrhées primaires. Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire de la phénylbutazone, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.Elles sont limitées, chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans, au:Traitement symptomatique de courte durée (moins de 7 jours) de poussées aiguës de: rhumatismes abarticulaires (péri-arthrite scapulo humérale, tendinites, bursites), arthrites micro cristallines (notamment goutte), radiculalgies sévères.Traitement symptomatique au long cours: de certains rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment de la spondylarthrite ankylosante ou de syndromes apparentés tel que le syndrome de Fiessinger Leroy-Reiter, le rhumatisme psoriasique. Le piroxicam est indiqué dans le traitement symptomatique de l'arthrose, la polyarthrite rhumatoïde ou la spondylarthrite ankylosante. En raison de son profil de tolérance , le piroxicam ne doit pas être utilisé en traitement de première intention lorsqu'un traitement par AINS est indiqué. AFFECTIONS OU MALADIES : COLLAGENOSES-CONNECTIVITES Poussées évolutives de maladies systémiques, notamment : lupus érythémateux disséminé, vascularite, polymyosite, sarcoïdose viscérale. DERMATOLOGIQUES dermatoses bulleuses autoimmunes sévères, en particulier pemphigus et pemphigoïde bulleuse, formes graves des angiomes du nourrisson, certaines formes de lichen plan, certaines urticaires aiguës, formes graves de dermatoses neutrophiliques. Traitement d'appoint des affections rhinopharyngées.N.B: devant des signes cliniques généraux d'infection bactérienne, une antibiothérapie par voie générale doit être envisagée.
La liste des médicaments pour le traitement de la maladie - M13 Autres arthrites: -
Pharmacopée de la Russie AO "Biohimik" (Fédération de Russie) comprimé enrobé gastro-résistant 25 mg; PAO "Otisifarm" (Fédération de Russie) comprimé pelliculé 400 mg+200 mg; FARMAPRIM (République de Moldova) suppositoire pour l'administration rectale 100 mg; BORISOVSKIY ZAVOD MEDICINSKIKH PREPARATOV (République de Biélorussie) solution injectable (IM) 25 mg/ml; AGIO PHARMACEUTICALS (Inde) solution injectable (IM) 25 mg/ml; -
Pharmacopée française IROKO PRODUCTS LIMITED (ROYAUME-UNI) EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE) PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE) SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE (FRANCE) solution injectable 15 mg; RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES (FRANCE) comprimé pelliculé 100 mg;
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