Administré préventivement chez l'animal, la silymarine favorise la conservation de l'intégrité des hépatocytes.
Cet effet protecteur a été mis en évidence au cours d'agressions hépatiques expérimentales (tétrachlorure de carbone, thioacétamide, alcool éthylique, etc.
) et avec la phalloïdine, l'alpha amanitine et le Fog virus 3 (FV3).
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