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Abboticine - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Abboticine appartient au groupe appelés Macrolides naturels. Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - J01FA01.

Principe actif: ÉRYTHROMYCINE BASE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

AMDIPHARM (IRLANDE) - Abboticine 200 mg/5 ml- granulés pour suspension buvable - 200 mg - - 1998-03-09


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • granulés pour suspension buvable - 200 mg

Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Le médicament Abboticine enregistré en France

Abboticine 200 mg/5 ml granulés pour suspension buvable

AMDIPHARM (IRLANDE)
Dosage: 200 mg

Composition et Présentations

ÉRYTHROMYCINE BASE200 mg
sous forme de :ÉTHYLSUCCINATE D'ÉRYTHROMYCINE

Posologie et mode d'emploi Abboticine 200 mg/5 ml granulés pour suspension buvable

VOIE ORALE.
Ce médicament est adapté au nourrisson et à l'enfant jusqu'à 30 kg (soit environ 10 ans). Une cuillère mesure (5 ml) contient 200 mg d'érythromycine.
Chez l'enfant et le nourrisson : 30 à 50 mg / kg par jour, soit 1 cuillère mesure par 5 kg et par 24 heures à répartir en 2 à 3 prises par jour.
Reconstituer la suspension buvable, en ajoutant le volume d'eau indiqué sur le flacon. La prise avant le repas assure les meilleurs taux sériques.
Durée du traitement
La durée du traitement des angines est de 10 jours.

Présentations et l’emballage extérieur


Comment utiliser, Mode d'emploi - Abboticine

Indications

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l'érythromycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections sévères dues aux germes définis comme sensibles :
Angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, en alternative au traitement par bêta-lactamines, particulièrement lorsque celui-ci ne peut être utilisé.
Sinusites aiguës. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqués lorsqu'un traitement par une bêta-lactamine est impossible.
Surinfections des bronchites aiguës.
Exacerbations des bronchites chroniques.
Pneumopathies communautaires chez des sujets :
sans facteurs de risque,
sans signes de gravité clinique,
en l'absence d'éléments cliniques évocateurs d'une étiologie pneumococcique.
En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqués quels que soient la gravité et le terrain.
Infections cutanées bénignes : impétigo, impétiginisation des dermatoses, ecthyma, dermo-hypodermite infectieuse (en particulier, érysipèle), érythrasma, acné inflammatoire mineure à modérée et composante inflammatoire des acnés mixtes, en alternative au traitement par les cyclines, lorsque celles-ci ne peuvent être utilisées.
Infections stomatologiques.
Infections génitales non gonococciques.
Chimioprophylaxie des rechutes du RAA en cas d'allergie aux bêta-lactamines.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

Pharmacodynamique

L'érythromycine agit en inhibant la synthèse des protéines bactériennes en se liant à la partie 50s du ribosome et en empêchant la translocation peptidique.
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S £ 1 mg/l et R > 4 mg/l
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :
Catégories Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes)
ESPÈCES SENSIBLES
Aérobies à Gram positif
Bacillus cereus
Corynebacterium diphtheriae
Entérocoques 50 - 70 %
Rhodococcus equi
Staphylococcus méti-S
Staphylococcus méti-R * 70 - 80 %
Streptococcus B
Streptococcus non groupable 30 - 40 %
Streptococcus pneumoniae 35 - 70 %
Streptococcus pyogenes 16 - 31 %
Aérobies à Gram négatif
Bordetella pertussis
Branhamella catarrhalis
Campylobacter
Legionella
Moraxella
Anaérobies
Actinomyces
Bacteroides 30 - 60 %
Eubacterium
Mobiluncus
Peptostreptococcus 30 - 40 %
Porphyromonas
Prevotella
Propionibacterium acnes
Catégories Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes)
Autres
Borrelia burgdorferi
Chlamydia
Coxiella
Leptospires
Mycoplasma pneumoniae
Treponema pallidum
ESPÈCES MODÉRÉMENT SENSIBLES
(in vitro de sensibilité intermédiaire)
Aérobies à Gram négatif
Haemophilus
Neisseria gonorrhoeae
Anaérobies
Clostridium perfringens
Autres
Ureaplasma urealyticum
ESPÈCES RÉSISTANTES
Aérobies à Gram positif
Corynebacterium jeikeium
Nocardia asteroïdes
Aérobies à Gram négatif
Acinetobacter
Entérobactéries
Pseudomonas
Anaérobies
Fusobacterium
Autres
Mycoplasma hominis
* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

Pharmacocinétique

Absorption:
L'ingestion du produit avant le repas (environ 1 heure) assure les meilleurs taux sériques.
Administrée par voie orale, l'érythromycine est absorbée dans la portion supérieure de l'intestin grêle. Le taux de médicament biodisponible est de 60 % à 80 %.
Distribution:
La demi-vie plasmatique est voisine de 2 heures. L'administration orale de 500 mg d'érythromycine procure une concentration sérique maximale à 1 heure de 2,5 µg/ml.
L'érythromycine diffuse bien dans tous les tissus de l'organisme notamment au niveau des poumons et des amygdales.
L'érythromycine diffuse peu dans le liquide céphalo-rachidien.
L'érythromycine traverse la barrière placentaire.
Les macrolides pénètrent et s'accumulent dans les phagocytes (polynucléaires neutrophiles, monocytes, macrophages péritonéaux et alvéolaires).
Les concentrations intraphagocytaires sont élevées chez l'homme.
Comme pour d'autres macrolides, ces propriétés expliquent l'activité de l'érythromycine sur les bactéries intra-cellulaires.
Excrétion:
L'érythromycine est retrouvée principalement sous forme inchangée dans la bile et les urines :
le foie est la principale voie de bio-transformation de l'érythromycine, par N- déméthylation. La voie principale d'élimination est biliaire.
il existe également une élimination urinaire mineure du produit.

Effets indésirables

Manifestations digestives : nausées, vomissements, gastralgie, diarrhée. D'exceptionnels cas de colites pseudo-membraneuses ont été rapportés. De rares cas de pancréatite, pouvant survenir rapidement après le début du traitement notamment lors de l'utilisation de forte dose ou au cours d'un surdosage, ont été rapportés.
Manifestations cutanées allergiques ; très rarement, voire exceptionnellement : érythème polymorphe, syndrome de Lyell, syndrome de Stevens Johnson.
De rares cas d'atteinte hépatique avec élévation des phosphatases alcalines et/ou des transaminases ont été rapportées avec parfois des manifestations cliniques (ictère, fièvre) éventuellement associées des «douleurs abdominales aiguës». L'apparition de signes cliniques impose l'arrêt immédiat du traitement.
Manifestations d'ototoxicité chez les patients âgés, porteurs d'une insuffisance hépatique ou rénale .
Des cas isolés d'acouphènes ont été rapportés.
Des cas isolés d'hypoacousie réversible ont été rapportés essentiellement chez les patients atteints d'une insuffisance rénale et chez les patients traités par de forte dose d'érythromycine.
Des cas de néphrite interstitielle ont été rapportés.

Contre-indications

Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE dans les situations suivantes :
allergie à l'érythromycine,
en association avec :
le bépridil
le cisapride
les alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs
la méthylergometrine
la mizolastine
le pimozide
le sertindole
la simvastatine
Ce médicament est GENERALEMENT DECONSEILLE en association avec :
l'alfuzosine
les alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques
la buspirone
la carbamazépine
la ciclosporine
la colchicine
le disopyramide
l'ébastine
l'halofantrine,
la luméfantrine
le tacrolimus
la théophylline
la toltérodine
le triazolam

Grossesse/Allaitement

Grossesse
En raison du bénéfice attendu l'utilisation de l'érythromycine peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin.
En effet, malgré des données animales insuffisantes, l'utilisation large de l'érythromycine au cours de la grossesse n'a pas révélé, à ce jour, d'effet malformatif ou foetotoxique.
Allaitement
L'érythromycine passe dans le lait maternel; une diarrhée, de l'irritabilité ont pu être observées chez l'enfant allaité. En conséquence, par mesure de précaution il convient d'éviter d'allaiter pendant la durée du traitement.

Surdosage

Sans objet

Interactions avec d'autres médicaments

Associations contre-indiquées
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs
Risque de vasoconstriction coronaire ou des extrémités (ergotisme) ou de poussées hypertensives.
+ Bepridil
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Cisapride
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
+ Methylergométrine
Risque de vasoconstriction et/ou poussées hypertensives.
+ Mizolastine
Risque de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Pimozide
Risque de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Sertindole
Risque majoré de troubles dy rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Simvastatine
Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant).
Associations déconseillées
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques
Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de son activité ou apparition de signes de surdosage.
+ Alfusozine
Risque d'augmentation des concentrations plasmatiques de l'alfuzsone et de ses effets indésirables.
+ Buspirone
Augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration important de la sédation.
+ Carbamazépine
Augmentation des concentrations plasmatiques de la carbamazépine, avec signes de surdosage, par inhibition de son métabolisme hépatique.
Il est possible d'utiliser d'autres macrolides (sauf spiramycine) dont l'interférence au plan clinique est actuellement considérée comme minime ou nulle. Cependant, en cas de légionellose, l'érythromycine reste l'antibiotique de référence ; une surveillance clinique, avec contrôle des concentrations plasmatiques de carbamazépine, est alors souhaitable en milieu spécialisé.
+ Ciclosporine
Augmentation des concentrations de ciclosporine et de la créatininémie (inhibition du métabolisme hépatique de la ciclosporine par le macrolide).
+ Colchicine
Augmentation des effets indésirables de la colchicine aux conséquences potentiellement fatales.
+ Disopyramide
Risque de majoration des effets indésirables du disopyramide : hypoglycémies sévères, allongement de l'intervalle QT et troubles du rythme ventriculaire graves, notamment à type de torsades de pointe.
+ Ebastine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire chez les sujets prédisposés (syndrome du QT long congénital).
+ Halofantrine
Risque majoré de troubles de ryhtme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre le macrolide. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
+ Lumefantrine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre le torsdogène associé. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
+ Tacrolimus
Augmentation des concentrations sanguines de tacrolimus et de la créatininémie, par inhibition du métabolisme hépatique du tacrolimus par l'érythromycine.
+ Théophylline (et par extrapolation aminophylline)
Surdosage en théophylline par diminution de son élimination hépatique, plus particulièrement dangereux chez l'enfant. Il est possible d'utiliser d'autres macrolides (sauf spiramycine) dont l'interférence au plan clinique est actuellement considérée comme minime ou nulle. Cependant, en cas de légionellose, l'érythromycine reste l'antibiotique de référence : une surveillance clinique avec contrôle des concentrations plasmatiques de théophylline, est alors souhaitable en milieu spécialisé.
+ Toltérodine
Augmentation des concentrations de toltérodine chez les métaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
+ Triazolam
Quelques cas de majoration des effets indésirables du triazolam (troubles du comportement) ont été rapportés.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux
Augmentation de l'effet anticoagulant oral et du risque hémorragique.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Si nécessaire, adaptation de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le macrolide et après son arrêt.
+ Alfentanil
Augmentation de l'effet dépresseur respratoire de l'analgésique opiacé par diminution de son métabolisme hépatique.
Adapter la posologie de l'alfentanil en cas de traitement par l'érythromycine.
+ Atorvastatine
Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholesterolemiant.
Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémaint. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction.
+ Darifenacine
Augmenation des conentrations de darifénacine, avec risque de majoration de ses effets indésirables.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de darifénacine.
+ Digoxine
Elévation de la digoxinémie par augmentation de l'absorption de la digoxine.
Surveillance clinique et éventuellement de la digoxinémie pendant le traitement par l'érythromycine et après son arrêt.
+ Inhibiteur de la phosphodiesterase de type 5 (sauf vardenafil)
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'inhibiteur de la PDE5, avec risque d'hypotension.
Débuter le traitement par l'inhibiteur de la PDE5 à la dose minimale en cas d'association avec l'un de ces médicaments.
+ Inhibiteurs des tyrosines kinases
Risque de majoration des effets indésirables de l'inhibiteur de tyrosine kinase par diminution de son métabolisme.
Surveillance clinique.
+ Midazolam
Augmentation des concentrations plasmatiques de midazolam par diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration de la sédation, notamment chez l'enfant.
Surveillance clinique et réduction de la posologie pendant le traitement par l'érythromycine.
+ Pravastatine
Avec l'érythromycine utilisée par voie orale : augmentation de la concentration plasmatique de la pravasatine par l'érythromycine.
Surveillance clinique et biologique pendant le traitement par l'antibiotique.
+ Solifenacine
Augmentation des concentrations de solifénacine, avec risque de surdosage.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de solifénacine.
+ Vardénafil
Augmentation importante des concentrations plasmatiques de vardénafil, avec risque d'hypotension sévère.
+ Vérapamil
Bradycardie et/ou troubles de la conduction auriculo-ventriculaire, par diminution du métabolisme hépatique du vérapamil par l'érythromycine.
Surveillance clinique et ECG; s'il y a lieu, adaptation de la posologie du vérapamil pendant le traitement par l'érythromycine et après son arrêt.
Associations à prendre en compte
+ Dexamethasone
Augmentation des concentrations plasmatiques de la dexaméthasone par diminution de son métabolisme hépatique par l'inhibiteur enzymatique, avec risque d'apparition d'un syndrome cushingoïde.
+ Rimonabant
Augmentation des concentrations de rimonabant, avec risque de majoration de ses effets indésirables.
+ Venlafaxine
Augmentation des concentrations de venlafaxine avec risque de surdosage.
+ Zolpidem
Légère augmentation des effets sédatifs du zolpidem.
+ Zopiclone
Légère augmentation des effets sédatifs de la zopiclone.
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

Mises en garde et précautions

Mises en garde spéciales
Une diarrhée importante survenant pendant ou après un traitement par érythromycine doit faire évoquer la possibilité d'une colite pseudo-membraneuse dont quelques rares cas ont été rapportés avec l'érythromycine comme avec pratiquement tous les antibiotiques.
Des cas exceptionnels de sténose hypertrophique du pylore ont été rapportés chez des nouveaux-nés sans que le mécanisme n'en ait été établi.
En cas d'insuffisance hépatique, l'administration d'érythromycine n'est pas recommandée. Si elle est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie.
En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase.
Ce médicament contient 1,5 g de saccharose par cuillère-mesure : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé, strict.
En cas de régime hyposodé, tenir compte d'une teneur de 28 mg en sodium par cuillière-mesure.
Interactions avec les examens paracliniques :
L'érythromycine, comme d'autres antibiotiques peut interférer dans les dosages urinaires de catécholamines par fluorescence. Cette interférence peut s'observer principalement avec les techniques non chromatographiques, et dans une moindre mesure, après séparation chromatographique.

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