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Carteolol - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Carteolol appartient au groupe appelés Antiglaucomateux et myotiques. Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - S01ED05.

Principe actif: CARTEOLOL BASE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

LABORATOIRE CHAUVIN (FRANCE) - Carteolol CHAUVIN 1 %- collyre en solution - 1 g - - 2001-09-11

LABORATOIRE CHAUVIN (FRANCE) - Carteolol CHAUVIN 2 %- collyre en solution - 2 g - - 2001-09-11


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • collyre en solution - 1 g
  • collyre en solution - 2 g

Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Le médicament Carteolol enregistré en France

Carteolol CHAUVIN 1 % collyre en solution

LABORATOIRE CHAUVIN (FRANCE)
Dosage: 1 g

Composition et Présentations

CHLORHYDRATE DE CARTÉOLOL1 g

Posologie et mode d'emploi Carteolol CHAUVIN 1 % collyre en solution

Voie locale.
EN INSTILLATION OCULAIRE.
Posologie: 1 goutte, 2 fois par jour.
Il est recommandé de débuter le traitement par l'instillation dans l'œil malade d 'une goutte de cartéolol en collyre au plus faible dosage, 2 fois par jour.
En cas d'efficacité insuffisante, passer à la concentration supérieure.
Dans un certain nombre de cas, l'administration quotidienne d 'une seule goutte de cartéolol en collyre peut s'avérer suffisante, en particulier lorsque la pression intraoculaire a été maintenue à des niveaux satisfaisants.
L'ophtalmologiste pourra, s'il le juge nécessaire, associer le cartéolol en collyre à un ou plusieurs autres traitements antiglaucomateux (par voie locale et/ou générale).

Comment utiliser Carteolol Montrer plus >>>

Présentations et l’emballage extérieur

Carteolol CHAUVIN 2 % collyre en solution

LABORATOIRE CHAUVIN (FRANCE)
Dosage: 2 g

Comment utiliser, Mode d'emploi - Carteolol

Indications

Hypertonie intra-oculaire.
Glaucome chronique à angle ouvert.

Pharmacodynamique

Sur le plan général: Le cartéolol se caractérise par trois propriétés pharmacologiques:
bêta-bloquant non cardiosélectif,
pouvoir agoniste partiel [activité sympathomimétique intrinsèque (ASI) modérée],
effet stabilisant de membrane (anesthésique local ou quinidine-like) non significatif.
Sur le plan oculaire:
Le chlorhydrate de cartéolol en collyre abaisse la tension intra-oculaire, associée ou non à un glaucome. Il réduit l'hypertonie intra-oculaire en diminuant la sécrétion de l'humeur aqueuse.
Son activité se manifeste quelques 20 minutes après instillation, atteint son maximum en 1 à 2 heures et est encore présente au bout de 24 heures.
Stabilité de l'effet hypotenseur dans le temps: l'effet peut rester constant pendant un an. Comme pour tous les bêta-boquants, une diminution de la sensibilité au chlorhydrate de cartéolol reste cependant possible, notamment après un traitement plus prolongé.
Il n'y a pratiquement pas de modification du diamètre pupillaire ou de l'accommodation. On n'observe donc pas de spasme de l'accomodation, ni de modification de l'acuité visuelle.

Pharmacocinétique

Comme avec les autres collyres, le cartéolol contenu dans ce collyre peut passer dans la circulation générale.

Effets indésirables

En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, risque d'eczéma de contact, d'irritation.
Oculaires
Comme pour tous les collyres bêta-bloquants, il peut-être observé:
une diminution de la sécrétion lacrymale (sécheresse oculaire);
des symptômes d'irritation oculaire:
légère sensation de brûlure ou de picotements en début de traitement,
conjonctivite, blépharite, kératite, hypoesthésie cornéenne;
des troubles visuels comprenant des modifications de la réfraction (dues parfois à l'arrêt du traitement par les myotiques), diplopie, ptosis.
décollement de choroïde après traitement chirurgical du glaucome .
Généraux
Il convient de garder à l'esprit les effets indésirables des bêta-bloquants administrés par voie générale, bien qu'ils ne soient observés que de façon exceptionnelle après instillation oculaire.
Sur le plan clinique
Les plus fréquemment rapportés:
asthénie
refroidissement des extrémités
bradycardie, sévère le cas échéant
insomnie, cauchemars voire dépression
troubles digestifs (gastralgies, nausées, vomissements), diarrhée
Beaucoup plus rarement:
ralentissement de la conduction auriculo-ventriculaire ou intensification d'un bloc auriculo-ventriculaire existant
insuffisance cardiaque
chute tensionnelle
bronchospasme
hypoglycémie
syndrome de Raynaud
aggravation d'une claudication intermittente existante
manifestations cutanées incluant urticaire, angioedème (œdème de Quincke), éruptions cutanées, éruptions psoriasiformes .
Sur le plan biologique
On a pu observer, dans de rares cas, l'apparition d'anticorps antinucléaires ne s'accompagnant qu'exceptionnellement de manifestations cliniques à type de syndrome lupique et cédant à l'arrêt du traitement.

Contre-indications

Il convient de garder à l'esprit les contre-indications des bêta-bloquants administrés par voie générale, bien que les effets systémiques des bêta-bloquants ne soient observés que de façon exceptionnelle après instillations oculaires:
asthme ou bronchopneumopathies chroniques obstructives,
insuffisance cardiaque non contrôlée par le traitement,
choc cardiogénique,
blocs auriculo-ventriculaires des second et troisième degrés non appareillés,
angor de Prinzmetal,
maladie du sinus (y compris bloc sino-auriculaire),
bradycardie (< 45-50 contractions par minute),
maladie de Raynaud et troubles circulatoires périphériques,
phéochromocytome non traité,
hypotension artérielle,
hypersensibilité à l'un des composants du médicament,
association à la floctafénine ,
association au sultopride .
Ce médicament ne doit généralement pas être associé à l'amiodarone .

Grossesse/Allaitement

Le passage systémique des bêta-bloquants administrés par voie oculaire est moindre que par voie orale mais néanmoins réel.
Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, aucun effet tératogène n'a été rapporté à ce jour et les résultats d'études prospectives contrôlées avec quelques bêta-bloquants n'ont pas fait état de malformations à la naissance.
Chez le nouveau-né de mère traitée, l'action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance et peut se traduire par une bradycardie, détresse respiratoire, hypoglycémie; mais le plus souvent cette rémanance est sans conséquence clinique.
Il peut néanmoins survenir, par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation, une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs , tout en évitant les solutés de remplissage (risque d'OAP).
En conséquence, ce médicament, dans les conditions normales d 'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu'à accouchement, une surveillance attentive du nouveau né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.
Allaitement
Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait .
Le risque de survenue d'hypoglycémie et de bradycardie a été décrite pour certains bêta-bloquants peu liés aux protéines plasmatiques. En conséquence, l'allaitement est déconseillé en cas de nécessité de traitement.

Surdosage

Bien que les quantités de bêta-bloquants passant dans la circulation systémique soient faibles après instillation oculaire, le risque de surdosage doit être gardé à l'esprit.
Les symptômes et la conduite à tenir sont identiques à ceux d'un surdosage en bêta-bloquant par voie générale.

Interactions avec d'autres médicaments

1°) Collyres
Une surveillance ophtalmologique est nécessaire en cas de traitement concomitant par un collyre contenant de l'adrénaline (risque de mydriase).
2°) Autres médicaments
Bien que les quantités de bêta-bloquants passant dans la circulation systémique soient faibles après instillation oculaire, le risque d'interactions médicamenteuses existe.
Il convient donc de tenir compte des interactions observées avec les bêta-bloquants administrés par voie générale.
Associations contre-indiquées
+ Floctafénine
En cas de choc ou d'hypotension dus à la floctafénine, réduction des réactions cardiovasculaires de compensation par les bêta-bloquants.
+ Sultopride
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive), par addition des effets bradycardisants.
Associations déconseillées
+ Amiodarone
Troubles de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction (suppression des mécanismes sympathiques compensateurs).
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Chez les patients recevant en association un bêta-bloquant par voie orale et du cartéolol
Une surveillance doit être exercée, afin de dépister et/ou d'éviter une majoration trop importante des effets bêta-bloquants, au niveau systémique ou de la pression oculaire.
+ Anesthésiques volatils halogénés
Réduction des réactions cardiovasculaires de compensation par les bêta-bloquants. (L'inhibition bêta-adrénergique peut être levée durant l'intervention par les bêta-stimulants). En règle générale, ne pas arrêter le traitement bêta-bloquant et, de toute façon, éviter l'arrêt brutal. Informer l'anesthésiste de ce traitement.
+ Antagonistes du calcium (bépridil, diltiazem et vérapamil)
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction auriculo-ventriculaire et défaillance cardiaque (synergie des effets).
Une telle association doit se faire sous surveillance clinique et électrocardiographique étroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
+ Anticholinestérasiques (donézépil, rivastigmine, tacrine)
Risque de bradycardie excessive (addition des effets bradycardisants)
Surveillance clinique régulière.
+ Antiarythmiques de classe I (disopyramide, hydroquinidine, quinidine),
Troubles de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction (suppression des mécanismes compensateurs).
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Une potentialisation des effets systémiques bêta-bloquants du collyre et une augmentation des concentrations plasmatiques du bêta-bloquant ont été rapportées lors de l'association de bêta-bloquant en collyre et de la quinidine, probablement en raison de l'inhibition du métabolisme du bêta-bloquant par la quinidine (décrit pour le timolol).
+ Baclofène
Majoration de l'effet antihypertenseur
Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique de l'antihypertenseur si nécessaire.
+ Clonidine, guanfacine (décrit pour propranolol et nadolol)
En cas d'arrêt brutal du traitement par la clonidine, augmentation importante de la pression artérielle avec risque d'hémorragie cérébrale par effet sympathomimétique.
Arrêter de façon progressive la clonidine ou la guanfacine.
+ Insuline, sulfamides hypoglycémiants
Tous les bêta-bloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie: les palpitations et la tachycardie.
La plupart des bêta-bloquants non cardiosélectifs augmentent l'incidence et la sévérité de l'hypoglycémie.
Prévenir le malade et renforcer, surtout au début du traitement, l'autosurveillance sanguine.
+ Lidocaïne (décrit pour le propranolol, le métoprolol, le nadolol)
Augmentation des taux plasmatiques de lidocaïne avec majoration possible des effets indésirables neurologiques et cardiaques (diminution du métabolisme hépatique de la lidocaïne).
Adapter la posologie de la lidocaïne. Surveillance clinique, électrocardiographique et, éventuellement, des concentrations plasmatiques de lidocaïne pendant le traitement bêta-bloquant et après son arrêt.
+ Propafénone
Troubles de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction (suppression des mécanismes compensateurs).
Surveillance clinique et électrocardiographique.
Associations à prendre en compte
+ AINS
Réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS et rétention hydrosodée avec les AINS pyrazolés).
+ Antagonistes du calcium (dihydropyridines)
Hypotension, défaillance cardiaque chez les malades en insuffisance cardiaque latente ou non contrôlée (effet inotrope négatif in vitro des dihydropyridines, plus ou moins marqué en fonction des produits, et susceptible de s'additionner aux effets inotropes négatifs des bêta-bloquants). La présence d'un traitement bêta-bloquant peut par ailleurs minimiser la réaction sympathique réflexe mise en jeu en cas de répercussion hémodynamique excessive.
+ Amifostine
Majoration de l'effet antihypertenseur
+ Antidépresseurs imipraminiques (tricycliques), neuroleptiques
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effet additif).
+ Méfloquine
Risque de bradycardie (addition des effets bradycardisants)
+ Neuroleptiques
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effet additif).

Mises en garde et précautions

Oculaires
L'association de deux collyres bêta-bloquants est déconseillée .
Dans le cas où ce collyre est administré pour diminuer la pression intra-oculaire chez les patients ayant un glaucome par fermeture de l'angle, un myotique doit être associé. En effet chez ces patients, l'objectif immédiat du traitement est la réouverture de l'angle, ce qui nécessite l'emploi d'un myotique afin d'obtenir une constriction pupillaire, le cartéolol n'ayant pas ou peu d'effet sur la pupille.
Des décollements de la choroïde, contemporains d'hypotonie oculaire, ont été rapportés après traitement chirurgical du glaucome, lors de l'administration d'antiglaucomateux diminuant la sécrétion de l'humeur aqueuse (décrit avec le timolol et l'acétazolamide).
Porteurs de lentilles de contact Il existe un risque d'intolérance aux lentilles de contact par diminution de la sécrétion lacrymale, liée d'une manière générale aux bêta-bloquants. En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, le port de lentilles de contact souples est déconseillé pendant la durée du traitement.
Utilisation chez l'enfant Ce collyre n'a pas fait l'objet d'études cliniques chez le prématuré, le nouveau-né et l'enfant. L'utilisation de ce collyre n'est donc pas recommandé chez ces patients.
Une diminution de la sensibilité au cartéolol pourrait apparaître après un traitement prolongé. Il convient, dans les traitements au long cours, de vérifier chaque année l'absence d'"échappement thérapeutique".
Générales
Il convient de garder à l'esprit les mises en garde et précautions d'emploi des bêta-bloquants administrés par voie générale, bien que les effets systémiques des bêta-bloquants ne soient observés que de façon exceptionnelle après instillation oculaire.
Sportifs
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
Arrêt du traitement
Ne jamais interrompre brutalement un traitement bêta-bloquant par voie générale, en particulier chez les angineux: l'arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
La posologie doit être diminuée progressivement, c'est-à-dire sur une à deux semaines.
Bradycardie
Si la fréquence cardiaque s'abaisse au-dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
Bloc auriculo-ventriculaire du premier degré
Etant donné l'effet dromotrope négatif des bêta-bloquants, les bêta-bloquants ne doivent être administrés qu'avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
Phéochromocytome
L'utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l'hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
Sujets âgés, insuffisants rénaux et/ou hépatiques
Chez ces sujets à risque et quand un collyre bêta-bloquant est administré avec un bêta-bloquant par voie générale, une adaptation posologique est souvent nécessaire.
Sujets diabétiques
Prévenir les malades et renforcer en début de traitement l'autosurveillance glycémique.
Les signes annonciateurs d'une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
Psoriasis
Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquant, l'indication mérite d'être pesée.
Réactions allergiques
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu'en soit l'origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l'adrénaline aux posologies habituelles.
Anesthésie générale
Les bêta-bloquants vont entraîner uneatténuation des phénomènes réflexes sympathiques. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d'arythmie, d'ischémie myocardique et de poussées hypertensives per-opératoires. Il convient de prévenir l'anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
Si l'arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensibilité aux catécholamines.
Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu:
chez les malades atteints d'insuffisance coronaire, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu'à l'intervention, étant donné le risque lié à l'arrêt brutal des bêta-bloquants;
en cas d'urgence ou d'impossibilité d'arrêt, le patient doit être protégé d'une prédominance vagale par une prémédication suffisante d'atropine renouvelée selon les besoins. L'anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
La majoration du risque anaphylactique liée à la prise de bêta-bloquants, devra être prise en considération.
Thyrotoxicose
Les bêta-bloquants sont capables d'en masquer certains signes, en particulier cardiovasculaires.

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