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Cebutid - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Cebutid appartient au groupe appelés AINS Acides 2-arylpropioniques dérivés (profènes) .

Principe actif: FLURBIPROFÈNE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

ALMIRALL (ESPAGNE) - Cebutid 100 mg- comprimé enrobé - 100 mg - - 1978-08-08

ALMIRALL (ESPAGNE) - Cebutid 50 mg- comprimé enrobé - 50 mg - - 1993-03-17

ALMIRALL (ESPAGNE) - Cebutid LP 200 mg- gélule à libération prolongée - 200 mg - - 1989-07-04


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé enrobé - 100 mg
  • comprimé enrobé - 50 mg
  • gélule à libération prolongée - 200 mg

Сlassification pharmacothérapeutique:

Le médicament Cebutid enregistré en France

Cebutid 100 mg comprimé enrobé

ALMIRALL (ESPAGNE)
Dosage: 100 mg

Composition et Présentations

FLURBIPROFÈNE100 mg

Posologie et mode d'emploi Cebutid 100 mg comprimé enrobé

Posologie
CEBUTID est contre-indiqué chez les enfants de moins de 15 ans .
La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes .
Affections rhumatismales :
traitement d'attaque : 1 comprimé à 100 mg, 3 fois par jour soit 300 mg/jour,
traitement d'entretien : 1 comprimé à 100 mg, 1 à 2 fois par jour soit 100 à 200 mg/jour.
Dysménorrhées : 1 comprimé à 100 mg, 2 à 3 fois par jour soit 200 à 300 mg/jour dès le début des douleurs et jusqu'à disparition des symptômes.
Mode d'administration

Comment utiliser Cebutid Montrer plus >>>

Présentations et l’emballage extérieur

Cebutid 50 mg comprimé enrobé

ALMIRALL (ESPAGNE)
Dosage: 50 mg

Cebutid LP 200 mg gélule à libération prolongée

ALMIRALL (ESPAGNE)
Dosage: 200 mg

Comment utiliser, Mode d'emploi - Cebutid

Indications

Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du flurbiprofène, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu, et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.
Elles sont limitées, chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans, au :
Traitement symptomatique au long cours :
des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndromes apparentés, tels que syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique ;
de certaines arthroses douloureuses et invalidantes.
Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
rhumatismes abarticulaires tels que périarthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites ;
arthroses ;
lombalgies ;
radiculalgies.
Dysménorrhées après recherche étiologique.

Pharmacodynamique

(M : système locomoteur)
Le flurbiprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien, dérivé de l'acide aryl carboxylique, appartenant au groupe des proprioniques. Il possède les propriétés suivantes :
activité anti-inflammatoire,
activité antalgique,
activité antipyrétique,
inhibition des fonctions plaquettaires.
L'ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines.

Pharmacocinétique

Chaque gélule de CEBUTID LP 200 mg contient des microgranules, formés chacun d'une enveloppe de polymère agissant comme une membrane semi-perméable et enfermant le produit actif. La dissolution de l'enveloppe de la gélule permet la diffusion des microgranules et la pénétration de l'eau à l'intérieur de ceux-ci. La libération du produit se fait après saturation à travers la membrane semi-perméable.
Absorption
La formulation à libération prolongée permet une absorption complète du flurbiprofène. Les concentrations plasmatiques maximales sont plus faibles que celles obtenues avec les formes à libération immédiate et obtenues plus tardivement (5,5 h).
La pharmacocinétique du flurbiprofène est linéaire aux doses thérapeutiques. Aucune accumulation du produit n'est observée après administration réitérée.
Distribution
La fixation aux protéines plasmatiques est importante : de l'ordre de 99%.
Le flurbiprofène diffuse dans le liquide synovial. Un plateau de concentration synoviale est atteint 6 heures après l'administration et persiste pendant plus de 6 heures. Les concentrations maximales obtenues sont environ ¼ des concentrations plasmatiques maximales.
Métabolisme
Le flurbiprofène est fortement métabolisé par glycuroconjugaison. Le flurbiprofène n'est pas un inducteur enzymatique. Le métabolisme n'est pas modifié en fonction de l'âge. Des études menées chez le sujet âgé ne montrent pas de différence avec l'adulte jeune.
Excrétion
L'élimination du flurbiprofène est uniquement urinaire (100%), essentiellement sous forme de métabolites glycuroconjugués (75 à 80 %).

Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament Cebutid en fonction de la voie d'administration

Absorption
La vitesse d'absorption est rapide et complète : le pic sérique est atteint 1h30 min. après administration par voie orale.
La pharmacocinétique du flurbiprofène est linéaire aux doses thérapeutiques.
Aucune accumulation du produit n'est observée après administration réitérée.
Distribution
La fixation aux protéines plasmatiques est importante : de l'ordre de 99%.
Le flurbiprofène diffuse dans le liquide synovial. Un plateau de concentration synoviale est atteint 6 heures après l'administration et persiste pendant plus de 6 heures. Les concentrations maximales obtenues sont environ ¼ des concentrations plasmatiques maximales.
Métabolisme
Le flurbiprofène est fortement métabolisé par glycuroconjugaison. Le flurbiprofène n'est pas un inducteur enzymatique. Le métabolisme n'est pas modifié en fonction de l'âge. Des études menées chez le sujet âgé ne montrent pas de différence avec l'adulte jeune.
Excrétion
L'élimination du flurbiprofène est uniquement urinaire (100%), essentiellement sous forme de métabolites glycuroconjugués (75 à 80 %).
La demi-vie plasmatique moyenne est d'environ 3h30 min. à 4 heures.

Effets indésirables

Affections gastro-intestinales
Les effets indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères peptiques, perforations ou hémorragies gastro-intestinales, parfois fatales, peuvent survenir, en particulier chez le sujet âgé .
Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipation, dyspepsie, stomatite ulcérative, douleur abdominale, melaena, hématémèse, exacerbation d'une recto-colite ou d'une maladie de Crohn ont été rapportées à la suite de l'administration d'AINS. Moins fréquemment, des gastrites ont été observées.
Affections cardiovasculaires :
Œdème, hypertension et insuffisance cardiaque ont été rapportés en association au traitement par AINS. Rarement ont été rapportés : élévation de la pression artérielle, tachycardie, douleur thoracique, arythmie, palpitations, hypotension, insuffisance cardiaque congestive.
Affections hématologiques et du système lymphatique :
Neutropénie, agranulocytose, anémie hémolytique, thrombocytopénie.
Affections du système immunitaire :
Des personnes, en particulier chez les sujets allergiques à l'aspirine et autres AINS, ont rapporté : (a) des réactions généralisées comme les réactions anaphylactiques, les angioœdèmes (œdème de Quincke) (b) hypersensibilité des voies respiratoires, incluant asthme, asthme aggravé, bronchospasme ou dyspnée, ou (c) diverses affections cutanées incluant différents types de rash cutanés, prurit, urticaire et aggravation de l'urticaire chronique, purpura, et très rarement dermatites exfoliatives et bulleuses (y compris Syndrome de Stevens-Johnson, Syndrome de Lyell et érythème polymorphe).
Affections psychiatriques :
Dépression, confusion, hallucinations.
Affections du système nerveux :
Accident vasculaire cérébral, névrite optique, maux de tête, paresthésie, vertiges et somnolence.
Affections oculaires :
Rarement, vision trouble.
Affections de l'oreille et du labyrinthe :
Acouphènes, vertige.
Affections hépatobiliaires :
Fonction hépatique altérée, hépatite et jaunisse. Augmentation des transaminases.
Affections du rein et des voies urinaires:
Insuffisance rénale aiguë (IRA) chez les patients présentant des facteurs de risque .
Insuffisance rénale fonctionnelle pouvant entraîner une IRA : ont été rapportés des cas isolés de néphrite interstitielle, nécrose tubulaire aigüe, syndrome néphrotique, nécrose médullaire.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
Malaise, fatigue.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Des cas de photosensibilisation ont été rapportés très rarement.

Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
au cours du dernier trimestre de grossesse ,
antécédent d'allergie ou d'asthme déclenché par la prise de ce médicament ou de substances d'activité proche telles qu'autres AINS, acide acétylsalicylique,
antécédents d'hémorragie ou de perforation digestive au cours d'un précédent traitement par AINS,
ulcère peptique évolutif, antécédents d'ulcère peptique ou d'hémorragie récurrente (2 épisodes distincts ou plus d'hémorragie ou d'ulcération objectivés),
insuffisance cardiaque sévère, insuffisance rénale ou hépatique ,
enfant de moins de 15 ans.
Ce médicament est généralement déconseillé en association avec :
les anticoagulants oraux,
les autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses),
les héparines (voie parentérale),
le lithium,
le méthotrexate (utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine),
le pemetrexed.

Grossesse/Allaitement

Grossesse
L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut nuire au déroulement de la grossesse et/ou au développement de l'embryon ou du fœtus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1%, à approximativement 1,5%. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-fœtale. De plus, une incidence supérieure de malformations variées, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la période d'organogénèse.
Au cours des premier et deuxième trimestres de grossesse, le flurbiprofène ne devrait donc pas être prescrit sauf nécessité absolue. Si du flurbiprofène est administré chez une femme essayant de concevoir, ou se situant dans le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible.
Durant le troisième trimestre de la grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à :
une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire),
un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligohydramnios.
D'autre part, en fin de grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer la mère et le nouveau-né à :
un allongement possible du temps de saignement du fait d'une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ;
une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé.
En conséquence, le flurbiprofène est contre-indiqué durant le troisième trimestre de grossesse.
Allaitement
D'après les études limitées disponibles jusqu'à présent, les AINS sont potentiellement détectables à de très faibles concentrations dans le lait maternel. Par conséquent, ce médicament est déconseillé pendant l'allaitement.
Fertilité chez la femme :
L'utilisation de flurbiprofène peut altérer, de manière réversible à l'arrêt du traitement, la fertilité de la femme et n'est pas recommandée chez les femmes ayant des projets de conception. Chez les femmes ayant des difficultés à concevoir ou subissant des examens exploratoires de l'infertilité, l'interruption du flurbiprofène devrait être envisagée.

Surdosage

Transfert immédiat en milieu hospitalier.
Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
Charbon activé pour diminuer la réabsorption du flurbiprofène.
Traitement symptomatique.

Interactions avec d'autres médicaments

Risque lié à l'hyperkaliémie
Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d'une hyperkaliémie : les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, les antagonistes de l'angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), les immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime.
L'association de ces médicaments majore le risque d'hyperkaliémie. Ce risque est particulièrement important avec les diurétiques épargneurs de potassium, notamment lorsqu'ils sont associés entre eux ou avec des sels de potassium, tandis que l'association d'un IEC et d'un AINS, par exemple, est à moindre risque dès l'instant que sont mises en œuvre les précautions recommandées.
Pour connaître les risques et les niveaux de contraintes spécifiques aux médicaments hyperkaliémiants, il convient de se reporter aux interactions propres à chaque substance.
Toutefois certaines substances, comme le triméthoprime, ne font pas l'objet d'interactions spécifiques au regard de ce risque. Néanmoins, ils peuvent agir comme facteurs favorisant lorsqu'ils sont associés à d'autres médicaments comme ceux sus mentionnés.
Associations déconseillées
L'administration simultanée du flurbiprofène avec les produits suivants nécessite une surveillance rigoureuse de l'état clinique et biologique du malade.
Autres AINS
Majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
Acide acétylsalicylique à des doses anti-inflammatoires (≥ 1 g par prise et/ou ≥ 3 g par jour), et à des doses antalgiques ou antipyrétiques (≥ 500 mg par prise et/ou < 3 g par jour)
Majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
Anticoagulants oraux
Augmentation du risque hémorragique de l'anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastro-duodénale par les AINS). Les AINS sont susceptibles de majorer les effets des anticoagulants, comme la warfarine .
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
Héparines non fractionnées, héparines de bas poids moléculaire et apparentés (à doses curatives et/ou chez le sujet âgé)
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastro-duodénale par les AINS).
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique (et biologique pour les héparines non fractionnées) étroite.
Lithium
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l'excrétion rénale du lithium).
Si l'association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'AINS.
Méthotrexate (utilisé à des doses supérieures à 20 mg/semaine)
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
Pemetrexed (patients ayant une fonction rénale faible à modérée, clairance de la créatinine comprise entre 45 ml/min et 80 ml/min)
Risque de majoration de la toxicité du pemetrexed (diminution de la clairance rénale par les AINS).
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
Ciclosporine, tacrolimus
Risque d'addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
Surveiller la fonction rénale en début de traitement par l'AINS.
Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II
Les AINS sont susceptibles de diminuer l'effet des diurétiques et autres antihypertenseurs (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS, entrainant une diminution de la filtration glomérulaire). Chez les patients présentant une fonction rénale altérée (par exemple, patients déshydratés ou patients âgés avec une fonction rénale altérée), l'administration concomitante d'un inhibiteur d'enzymes de conversion de l'angiotensine II (ECA) ou d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II avec des agents inhibiteurs de la cyclo-oxygénase est susceptible d'entraîner une détérioration plus marquée de la fonction rénale, y compris une insuffisance rénale aigüe, généralement réversible. Ces interactions devraient être prises en compte chez les patients prenant de manière concomitante du flurbiprofène et des inhibiteurs d'enzymes de conversion de l'angiotensine II (ECA) ou des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II. Par conséquent, cette association devrait être administrée avec précaution, notamment chez les personnes âgées. Les patients devraient être suffisamment hydratés et il conviendrait d'envisager la surveillance de la fonction rénale après le début du traitement concomitant, et de façon périodique par la suite.
Méthotrexate (utilisé à des doses inférieures ou égales à 20 mg/semaine)
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
Pemetrexed (patients ayant une fonction rénale normale)
Risque de majoration de la toxicité du pemetrexed (diminution de la clairance rénale par les AINS).
Surveillance biologique de la fonction rénale.
Associations à prendre en compte
Acide acétylsalicylique à des doses anti-agrégantes (de 50 mg à 375 mg par jour en 1 ou plusieurs prises)
Majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
Glucocorticoïdes (sauf hydrocortisone en traitement substitutif)
Augmentation du risque d'ulcération et d'hémorragie gastro-intestinale .
Anti-agrégants plaquettaires et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS)
Augmentation du risque d'hémorragie gastro-intestinale .
Héparines non fractionnées, héparines de bas poids moléculaires (doses préventives)
Augmentation du risque hémorragique.
Bêta-bloquants (sauf esmolol)
Réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS et rétention hydrosodée avec les AINS pyrazolés).

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