Chez l'animal, une heure après l'administration d'une goutte de ce collyre dans le cul-de-sac conjonctival, la concentration lacrymale de ce collyre est supérieure aux CMI des principaux germes rencontrés dans les infections oculaires.
Après administration de ce collyre à dose unique ou à dose répétée, il n'a pas été possible de retrouver l'antibiotique dans le sang au cours des 3 heures qui ont suivi l'instillation.
Les plus fréquemment rencontrés: sensations de brûlure ou de picotement local.
Plus rarement: hyperhémie conjonctivale, chemosis, photophobie, goût amer après l'instillation.
Très rarement: dépôts cornéens.
En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, risque d'eczéma de contact, d'irritation.
Ne pas injecter, ne pas avaler.
Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intraoculaire.
Une émergence de résistance ou une sélection de souches résistantes est possible, en particulier lors de traitement au long cours.
Il peut exister une résistance croisée entre quinolones.
Le traitement doit être interrompu dès les premiers signes d'une éruption cutanée ou de tout autre signe d'une réaction d'hypersensibilité.
Lors de l'instillation, ne pas toucher l'il avec l'embout du flacon.
En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, ce médicament peut provoquer une irritation des yeux.
Le port des lentilles de contact est déconseillé lors d'infections oculaires. Néanmoins si le médecin juge possible l'utilisation de lentilles de contact, le patient doit être informé de la façon suivante : Eviter le contact avec les lentilles de contact souples. Retirer les lentilles de contact avant application et attendre au moins 15 minutes avant de les remettre.
Le chlorure de benzalkonium peut décolorer les lentilles de contact souples.
En cas d'administration simultanée de différents collyres, les instillations doivent être espacées d'au moins 15 minutes.