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Ciazil - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Ciazil appartient au groupe appelés Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - N06AB04.

Principe actif: CITALOPRAM BASE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

LUNDBECK SAS (FRANCE) - Ciazil 20 mg- comprimé pelliculé sécable - 20 mg - - 2002-10-30


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé pelliculé sécable - 20 mg

Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Le médicament Ciazil enregistré en France

Ciazil 20 mg comprimé pelliculé sécable

LUNDBECK SAS (FRANCE)
Dosage: 20 mg

Composition et Présentations

CITALOPRAM BASE20 mg
sous forme de :CITALOPRAM (BROMHYDRATE DE)

Posologie et mode d'emploi Ciazil 20 mg comprimé pelliculé sécable

Posologie
EPISODES DEPRESSIFS MAJEURS (c'est-à-dire caractérisés)
Chez l'adulte: 20 à 60 mg par jour. La posologie minimale efficace est de 20 mg par jour et sera utilisée comme dose de départ. Une augmentation pourra se faire en fonction de la réponse clinique individuelle jusqu'à 40 mg par jour, dose optimale. Si nécessaire, une augmentation à 60 mg par jour, dose maximale, pourra être effectuée.
Chez les personnes âgées de plus de 65 ans: 20 à 40 mg par jour. La dose de départ recommandée est de 20 mg par jour, l'augmentation se faisant progressivement à 30 mg puis 40 mg par jour si nécessaire en fonction des réponses individuelles.
Chez l'insuffisant hépatique: Habituellement 20 à 30 mg par jour.
Chez l'insuffisant rénal: Pas de précautions particulières à observer en cas d'insuffisance rénale légère ou modérée.
PREVENTION DES ATTAQUES DE PANIQUE AVEC OU SANS AGORAPHOBIE

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Présentations et l’emballage extérieur


Comment utiliser, Mode d'emploi - Ciazil

Indications

Episodes dépressifs majeurs (c'est-à-dire caractérisés).
Prévention des attaques de panique avec ou sans agoraphobie.

Pharmacodynamique

Le citalopram est un inhibiteur puissant de la recapture de la sérotonine (5-HT).
Le citalopram est l'inhibiteur le plus sélectif de la recapture de la sérotonine connu à ce jour.
Le citalopram est pratiquement dépourvu d'effet sur la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l'acide gamma aminobutyrique (GABA).
Contrairement à la plupart des antidépresseurs tricycliques, le citalopram n'a pratiquement pas d'affinité pour les récepteurs 5HT2, α1-adrénergiques, histaminergiques H1, cholinergiques (muscariniques). Par ailleurs, le citalopram n'a également pratiquement pas d'affinité pour les récepteurs 5 HT1A, dopaminergiques D1 et D2, α2- et β-adrénergiques, benzodiazépiniques et opioïdes.
Cette sélectivité du citalopram pourrait expliquer la faible incidence de certains effets indésirables du citalopram.
Il n'y a pas de phénomène de tolérance induit par les traitements à long terme avec le citalopram.
Tout comme les antidépresseurs tricycliques, les antidépresseurs sérotoninergiques et les IMAO, le citalopram diminue la quantité de sommeil paradoxal et augmente le pourcentage des phases de sommeil profond.
Bien que le citalopram n'ait pas d'affinité pour les récepteurs morphiniques, il potentialise l'effet antinociceptif des analgésiques centraux communément utilisés.
Chez l'homme, le citalopram ne diminue pas les fonctions cognitives (fonctions intellectuelles) ni les performances psychomotrices. Il a très peu ou pas d'effet sédatif, même en association avec l'alcool.
Le citalopram n'a pas réduit le flux salivaire lors d'une étude après administration unique à des volontaires sains. Par ailleurs, dans toutes les études menées chez des volontaires sains, les paramètres cardio-vasculaires n'ont pas été significativement modifiés.

Pharmacocinétique

Absorption
L'absorption est rapide (Tmax proche de 4 heures), presque complète et indépendante de la prise alimentaire.
La biodisponibilité par voie orale est de l'ordre de 80%.
Distribution
La liaison aux protéines plasmatiques est inférieure à 80% pour le citalopram et ses principaux métabolites.
Biotransformation
Tous les métabolites actifs du citalopram et notamment le didémethylcitalopram sont également des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, bien que moins puissants que la molécule-mère.
Les concentrations plasmatiques de citalopram inchangé restent prédominantes.
Elimination
La demi-vie d'élimination est d'environ 33 heures.
Il n'y a pas d'accumulation des concentrations plasmatiques dans la gamme de doses recommandées.
L'état d'équilibre des concentrations plasmatiques est atteint en 1 à 2 semaines.
Le citalopram est principalement éliminé par voie hépatique (85%), 15% étant éliminé par voie rénale.
Chez les patients âgés de plus de 65 ans
Le temps de demi-vie est allongé et les valeurs des clairances sont diminuées.
Chez les insuffisants hépatiques
Le citalopram est éliminé plus lentement chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
La demi-vie du citalopram est environ deux fois plus longue, et les concentrations plasmatiques du citalopram deux fois plus élevées à l'état d'équilibre, pour une dose donnée, par rapport aux concentrations atteintes chez des patients ayant une fonction hépatique normale.
Chez les insuffisants rénaux
Après administration unique d'une dose de 20 mg de citalopram, l'élimination est plus lente chez les patients ayant une insuffisance rénale légère ou modérée, sans que cela n'entraîne une modification importante des paramètres pharmacocinétiques du citalopram.
Actuellement, il n'y a pas d'information disponible sur le devenir des patients ayant une insuffisance rénale sévère qui seraient traités, au long cours, par le citalopram (clairance de la créatinine < 20 ml/min.).

Effets indésirables

Les effets indésirables observés durant le traitement par citalopram sont surtout notés durant la première voire les deux premières semaines du traitement et s'estompent par la suite, parallèlement à l'amélioration de l'épisode dépressif.
Ont été retrouvés, en monothérapie ou lors d'associations avec d'autres psychotropes, des troubles:
neuro-psychiques: nervosité, somnolence, asthénie, céphalées, vertiges, troubles du sommeil, pertes de mémoire, rarement tremblements, mouvements anormaux à type de dyskinésies buccofaciales, et syndromes extra-pyramidaux;
gastro-intestinaux: nausées, vomissements, diarrhée, constipation, sécheresse buccale;
cutanés: rash, prurit;
visuels: troubles de l'accommodation;
métaboliques: perte ou prise de poids;
cardio-vasculaires: tachycardie, hypotension orthostatique, bradycardie chez les patients ayant une fréquence cardiaque basse;
de la libido;
de la miction;
hypersudation;
rares cas d'ecchymoses, d'hémorragies gynécologiques, de saignements gastro-intestinaux ou autres saignements cutanéo-muqueux;
très rarement: syndrome sérotoninergique en association ,
de très rares cas d'élévation des enzymes hépatiques et d'exceptionnelles hépatites cytolytiques, cholestatiques ou mixtes ont été rapportées lors d'un traitement par le citalopram.
Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par CIAZIL ou peu après son arrêt .
Des cas d'hyponatrémie réversibles à l'arrêt du traitement et pouvant se révéler par une confusion voire une crise convulsive ont été observés notamment chez le sujet âgé.
Un syndrome de sevrage comportant tout ou partie des symptômes tels que sensations vertigineuses, paresthésies, tremblements, anxiété, nausées, palpitations, peut survenir. Une telle éventualité nécessite une diminution progressive de la posologie .
Par ailleurs, certains effets indésirables sont liés à la nature même de la maladie dépressive:
levée de l'inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire;
inversion de l'humeur avec apparition d'épisodes maniaques;
réactivation d'un délire chez les sujets psychotiques;
manifestations paroxystiques d'angoisse.
Effets indésirables observés dans les essais cliniques dans l'épisode dépressif majeur chez l'enfant et l'adolescent
Des effets indésirables psychiatriques ont été rapportés dans les essais cliniques menés avec le citalopram dans l'épisode dépressif majeur de l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Ces effets indésirables, notamment comportement de type suicidaire (incluant tentative de suicide et idées suicidaires) et agitation, rappellent ceux observés avec les autres ISRS et pourraient traduire un effet stimulant du citalopram.

Contre-indications

Ce médicament NE DOIT JAMAIS être prescrit dans les cas suivants:
Hypersensibilité au citalopram,
Insuffisance rénale sévère avec clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min., en l'absence de données,
Association aux IMAO non sélectifs .
Association avec le pimozide .

Grossesse/Allaitement

Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou fœtotoxique du citalopram lorsqu'il est administré pendant la grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le citalopram pendant la grossesse.
Avec certains IRS utilisés jusqu'à une date proche de la naissance, ou jusqu'à la naissance, les effets suivants: irritabilité, tremblement, hypertonie, pleurs constants, difficultés d'alimentation, troubles du sommeil…, ont été rapportés chez le nouveau-né. Ils peuvent traduire soit la survenue d'une imprégnation, soit la survenue d'un sevrage, le délai d'apparition et la durée de ces symptômes sont en théorie fonction de la demi-vie d'élimination du produit.
Allaitement
Bien que le passage du citalopram dans le lait maternel soit très faible, en l'absence de données suffisantes, l'allaitement est déconseillé en cas de traitement par le citalopram.

Surdosage

Les principaux symptômes retrouvés sont somnolence, nausées, vomissements, fatigue, vertiges, tremblements des mains. A dose importante, des convulsions et, plus exceptionnellement des troubles de l'excitabilité ou de la conduction intraventriculaire, ont été rapportés. Il n'existe pas d'antidote spécifique du citalopram. La surveillance portera notamment sur les fonctions cardio-vasculaires et neurologiques.

Interactions avec d'autres médicaments

Associations contre-indiquées
*Syndrome sérotoninergique:
Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l'arrêt immédiat du traitement.
Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l'apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d'un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l'hospitalisation voire entraîner le décès.
Ces symptômes peuvent être d'ordre:
psychique (agitation, confusion, hypomanie),
moteur (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
végétatif (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs, éventuellement coma),
digestif (diarrhée).
Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l'apparition de ce syndrome.
+ IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra)
Respecter un délai de deux semaines entre l'arrêt de l'IMAO et le début du traitement par le citalopram, et d'au moins une semaine entre l'arrêt du citalopram et le début du traitement par l'IMAO.
+ Pimozide
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Associations déconseillées
+ IMAO sélectifs A (moclobémide, toloxatone)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique très étroite. Débuter l'association aux posologies minimales recommandées.
+ Linézolide
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique très étroite. Débuter l'association aux posologies minimales recommandées.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux
Augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique.
Contrôle plus fréquent du taux de prothrombine et surveillance de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le citalopram et à son arrêt.
+ Antidépresseurs imipraminiques
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'antidépresseur imipraminique avec risque de convulsions et fréquence accrue des effets indésirables.
En cas d'association, surveillance clinique accrue et, si nécessaire, adaptation posologique.
+ Lithium
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
Surveillance clinique régulière.
+ Millepertuis (voie orale) (inducteur enzymatique)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
Surveillance clinique régulière.
Associations à prendre en compte
+ IMAO sélectif B (sélégiline)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
+ Cyproheptadine
Risque de diminution de l'efficacité de l'antidépresseur.
+ Tramadol
Risque d'apparition de convulsions et/ou d'un syndrome sérotoninergique* (cf. supra).
+ Triptans (almotriptan, élétriptan, frovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan, zolmitriptan)
Risque potentiel d'hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire ou de syndrome sérotoninergique* (cf. supra).

Mises en garde et précautions

Mises en garde spéciales
Suicides/idées suicidaires ou aggravation clinique
La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à l'obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à l'obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début de rétablissement.
Les autres troubles psychiatriques dans lesquels CIAZIL est prescrit peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à un épisode dépressif majeur. Les mêmes précautions d'emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant d'épisodes dépressifs majeurs devront donc être appliquées aux patients présentant d'autres troubles psychiatriques.
Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
Certains patients souffrant d'attaques de panique peuvent présenter une recrudescence des troubles en début de traitement.
En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
Utilisation chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans
L'utilisation de CIAZIL est déconseillée chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez les enfants et adolescents traités par antidépresseurs par rapport à ceux traités par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de tolérance à long terme chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
Précautions d'emploi
Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
Bien qu'aucune interaction nette n'ait été mise en évidence avec l'alcool, la consommation en est déconseillée, comme avec tout médicament psychotrope.
En cas de virage maniaque franc, le traitement par citalopram sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif prescrit.
Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d'épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique. La survenue de crises convulsives impose l'arrêt du traitement.
En cas d'insuffisance hépatique, le métabolisme peut être ralenti, la posologie devra donc être réduite de moitié
La possibilité de survenue d'une hyponatrémie, a fortiori lors de la co-prescription avec des médicaments susceptibles d'entraîner cette anomalie électrolytique, doit être connue, notamment chez le sujet âgé, surtout s'il est dénutri, et le cirrhotique.
Des cas d'hémorragies, parfois graves, ont été rapportés lors de l'utilisation d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Une attention particulière est recommandée chez les patients ayant des antécédents d'anomalies de l'hémostase et chez les patients traités simultanément par des anticoagulants oraux, par des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire tels que les AINS et l'aspirine ou par d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque de saignement.
Lors de la prise concomitante de citalopram et de préparations contenant du millepertuis, les effets indésirables du citalopram peuvent être plus fréquents .
L'arrêt brutal d'un traitement par ISRS peut être à l'origine de réactions de sevrage chez certains patients telles que sensations vertigineuses, paresthésies, tremblements, anxiété, nausées, palpitations. Il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement sur plusieurs semaines afin de diminuer le risque de survenue de syndrome de sevrage .

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