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Claritynduo - Résumé des caractéristiques du médicament

Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

SCHERING-PLOUGH S.A. (FRANCE) - Claritynduo 5 mg/120 mg- comprimé enrobé à libération modifiée - 5 mg+120 mg - - 1993-11-15


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé enrobé à libération modifiée - 5 mg+120 mg

Le médicament Claritynduo enregistré en France

Claritynduo 5 mg/120 mg comprimé enrobé à libération modifiée

SCHERING-PLOUGH S.A. (FRANCE)
Dosage: 5 mg+120 mg

Composition et Présentations

LORATADINE5 mg
SULFATE DE PSEUDOÉPHÉDRINE120 mg

Posologie et mode d'emploi Claritynduo 5 mg/120 mg comprimé enrobé à libération modifiée

Adultes et enfants de plus de 12 ans: 1 comprimé CLARITYNDUO 5 mg/120 mg, deux fois par jour pris avec un verre d'eau.
Le comprimé doit être avalé en entier (sans le broyer, le casser ou le mâcher). Le comprimé peut être pris indifféremment par rapport au moment des repas.
CLARITYNDUO ne doit pas être administré chez les enfants de moins de 12 ans car l'efficacité et l'innocuité dans cette population n'ont pas été établies.
La durée du traitement devra être la plus courte possible. Le traitement ne devra pas être poursuivi après que les symptômes ont disparu. Il est recommandé de limiter le traitement à environ 10 jours car l'activité de la pseudoéphédrine en administration chronique diminue au cours du temps. Lorsque la congestion au niveau de la muqueuse des voies respiratoires supérieures est diminuée, le traitement peut être poursuivi, si nécessaire, avec un antihistaminique seul.
L'association fixe ne doit pas être administrée aux sujets âgés de plus de 60 ans ou en cas d'insuffisance rénale ou hépatique .

Présentations et l’emballage extérieur


Comment utiliser, Mode d'emploi - Claritynduo

Indications

CLARITYNDUO 5 mg/120 mg, comprimé enrobé à libération modifiée est indiqué dans le traitement symptomatique de la rhinite allergique saisonnière, lorsque celle-ci s'accompagne de congestion nasale.

Pharmacodynamique

La pharmacodynamie de CLARITYNDUO est directement liée à celle de ses composants.
Loratadine
La loratadine est un antihistaminique tricyclique agissant sélectivement sur les récepteurs H1 périphériques. La loratadine n'a pas d'action significative au niveau des récepteurs H2. Elle n'inhibe pas la capture de la noradrénaline et n'a pratiquement aucune influence sur les fonctions cardiovasculaires ou sur l'activité pacemaker intrinsèque.
La loratadine n'exerce pas d'effet sédatif ou anticholinergique significatif dans la majeure partie de la population et lorsqu'elle est utilisée à la dose recommandée.
Lors de traitements au long cours, il n'a pas été observé de modifications cliniquement significatives des fonctions vitales, des paramètres biologiques, de l'examen clinique ou des tracés électrocardiographiques.
Sulfate de pseudoéphédrine
Le sulfate de pseudoéphédrine (sulfate de d-isoéphédrine) est un agent sympathomimétique ayant une activité principalement α-mimétique plutôt que β-mimétique. Le sulfate de pseudoéphédrine assure, après administration orale, un effet décongestionnant nasal en raison de son action vasoconstrictive. Il a un effet sympathomimétique indirect principalement par le biais de la libération de médiateurs adrénergiques qu'il induit à partir des terminaisons nerveuses post-ganglionnaires.
L'administration orale de pseudoéphédrine à la dose recommandée peut entraîner d'autres effets sympathomimétiques, comme une augmentation de la pression artérielle, une tachycardie ou des manifestations d'excitation du système nerveux central.

Pharmacocinétique

Loratadine
Après administration par voie orale, la loratadine est rapidement et bien absorbée, et subit un important effet de premier passage hépatique, par métabolisation essentielle par les CYP3A4 et CYP2D6. Le principal métabolite - la desloratadine - est pharmacologiquement actif et responsable en grande partie de l'effet clinique. Les concentrations plasmatiques maximales de loratadine et de desloratadine sont atteintes (Tmax) entre 1-1,5 heures et 1,5-3,7 heures, respectivement, après l'administration.
Au cours d'études cliniques contrôlées, une augmentation des concentrations plasmatiques de loratadine a été rapportée lors de l'administration simultanée de kétoconazole, d'érythromycine ou de cimétidine, mais sans conséquence clinique significative (ni modification des tracés ECG).
La liaison de la loratadine aux protéines circulantes est intense (97% à 99%), alors que celle du métabolite est plus modérée (73% à 76 %).
Chez les volontaires sains, les demi-vies de distribution de la loratadine et de son métabolite actif sont d'environ 1 et 2 heures respectivement. La demi-vie principale d'élimination chez les sujets volontaires sains était de 8,4 heures (fourchette de 3 à 20 heures) pour la loratadine et de 28 heures (fourchette de 8,8 à 92 heures) pour le principal métabolite actif.
Approximativement 40% de la dose est excrétée dans les urines et 42% dans les fèces sur une période de 10 jours et principalement sous forme de métabolites conjugués. Approximativement 27 % de la dose est éliminée dans les urines pendant les 24 premières heures. Moins de 1 % de la substance active est excrétée sous la forme active inchangée loratadine ou desloratadine.
La biodisponibilité de la loratadine et de son métabolite actif est dose dépendante.
Le profil pharmacocinétique de la loratadine et de ses métabolites est comparable chez les volontaires sains adultes et âgés.
Chez les patients atteints d'une insuffisance rénale chronique, l'ASC et les pics plasmatiques des concentrations (Cmax) de la loratadine et de son métabolite ont été plus élevés que l'ASC et les pics plasmatiques (Cmax) observés chez les patients ayant une fonction rénale normale. Les demi-vies moyennes d'élimination de la loratadine et de son métabolite n'étaient pas significativement différentes de celles observées chez les sujets normaux. L'hémodialyse n'a pas d'effet sur la pharmacocinétique de la loratadine et de son métabolite actif chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique.
Chez des patients présentant une atteinte hépatique chronique d'origine éthylique, l'ASC et les pics de concentration plasmatiques (Cmax) de la loratadine observés ont été doublés alors que le profil pharmacocinétique du métabolite actif n'était pas significativement modifié par rapport à celui des patients ayant une fonction hépatique normale. Les demi-vies d'élimination de la loratadine et de son métabolite étaient de 24 heures et de 37 heures respectivement et elles augmentaient parallèlement à la sévérité de l'atteinte hépatique.
La loratadine et son métabolite actif sont excrétés dans le lait maternel chez les femmes allaitant.
Sulfate de pseudoéphédrine
Après administration orale, le sulfate de pseudoéphédrine est rapidement et complètement absorbé. Un effet apparaît dans les 30 minutes et une dose de 60 mg exerce un effet décongestionnant pendant au moins 4 à 6 heures. Le sulfate de pseudoéphédrine subit un métabolisme hépatique incomplet par N-déméthylation donnant un métabolite inactif.
Chez l'homme, la demi-vie d'élimination, à un pH urinaire approximatif de 6, se situe dans une fourchette de 5 à 8 heures. La substance active et son métabolite sont excrétés dans l'urine, 55-75% de la dose administrée est excrétée sous forme inchangée. Le taux d'excrétion est accéléré et la durée d'action est diminuée à un pH urinaire acide (pH5). L'alcalinisation de l'urine peut entraîner une résorption partielle.
La pseudoéphédrine semble traverser le placenta et la barrière hémato-encéphalique.
La substance active est excrétée dans le lait maternel chez les femmes allaitant.
L'ingestion concomitante de nourriture peut augmenter la quantité de loratadine absorbée, mais sans effet cliniquement significatif. Ce phénomène n'est pas observé avec la pseudoéphédrine.

Effets indésirables

Effets secondaires rapportés pendant les essais cliniques avec une fréquence supérieure à celle observée sous placebo avec le comprimé enrobé à libération modifiée à la dose de 5 mg/120 mg:
Système Très fréquent (> 1/10) Fréquent (> 1/100, < 1/10) Peu fréquent (> 1/1.000, < 1/100) Rare (> 1/10.000, < 1/1.000) Très rare (< 1/10.000)
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Sensation de soif
Affections psychiatriques
Insomnie
Nervosité, somnolence, dépression, agitation, anorexie
Affections du système nerveux (périphérique et central)
Vertiges
Confusion, tremblements
Affections du système nerveux autonome
Bouche sèche
Sudation accrue, bouffées de chaleur, modification du goût
Affections oculaires
Larmoiement
Affections de l'oreille et du labyrinthe
Tinnitus
Affections cardiaques
Tachycardie
Palpitations
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Pharyngite, rhinite
Epistaxis
Affections gastro-intestinales
Constipation, nausées
Affections du rein et des voies urinaires
Pollakiurie, dysurie
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Prurit
Troubles généraux
Céphalées, fatigue
Les autres effets indésirables très rarement rapportés depuis la commercialisation sont listés dans le tableau suivant:
Affections du système immunitaire
Anaphylaxie
Affections du système nerveux
Vertiges
Affections vasculaires
Hypertension
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Toux, bronchospasme
Affections hépatobiliaires
Anomalies des fonctions hépatiques
Affections du rein et des voies urinaires
Rétention urinaire
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Alopécie
D'autres effets indésirables qui n'ont été rapportés que pour la loratadine au cours d'essais cliniques et pendant la commercialisation incluent une augmentation de l'appétit, des rashs et une gastrite.

Contre-indications

CLARITYNDUO est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité ou d'idiosyncrasie à la loratadine, à la pseudoéphédrine, à l'un des excipients du médicament ou à des substances adrénergiques.
En raison de la présence de pseudoéphédrine dans CLARITYNDUO, ce médicament est également contre-indiqué:
chez les patients recevant un traitement par inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO) et dans les 2 semaines qui suivent l'arrêt d'un tel traitement,
en cas de:
glaucome par fermeture de l'angle,
rétention urinaire,
maladies cardiovasculaires telles que cardiopathie ischémique, tachyarythmie ou hypertension artérielle sévère,
hyperthyroïdie,
antécédent d'accident vasculaire cérébral hémorragique ou en cas de facteurs de risque pouvant accroître le risque d'accident vasculaire cérébral hémorragique, en raison de l'activité alpha-mimétique du vasoconstricteur,
en association avec des vasoconstricteurs tels que la bromocriptine, le pergolide, le lisuride, la cabergoline, l'ergotamine, la dihydroergotamine et tout autre décongestionnant utilisé comme décongestionnant nasal, par voie orale ou nasale (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine…).
CLARITYNDUO, comprimé enrobé à libération modifiée ne doit pas être utilisé lors de la grossesse .

Grossesse/Allaitement

Les études animales n'ont pas révélé d'effet tératogène de la loratadine. L'innocuité de CLARITYNDUO au cours de la grossesse n'a pas été établie.
L'administration de pseudoéphédrine diminue le débit sanguin utérin de la mère.
L'utilisation de CLARITYNDUO est contre-indiquée pendant la grossesse.
CLARITYNDUO est excrété dans le lait maternel, par conséquent l'utilisation de CLARITYNDUO n'est pas recommandée chez les femmes allaitant.

Surdosage

Symptômes
Les symptômes d'un surdosage sont principalement de nature sympathomimétique, à l'exception d'une légère sédation qui peut être provoquée par la loratadine à des doses largement supérieures à la dose recommandée.
Les symptômes peuvent varier d'une dépression du système nerveux central (sédation, apnée, diminution des capacités mentales, cyanose, coma, collapsus cardiovasculaire) à une stimulation du système nerveux central (insomnie, hallucinations, tremblements, convulsions) avec issue fatale possible. D'autres symptômes peuvent être observés: céphalées, anxiété, difficultés à la miction, faiblesse ou tension musculaire, euphorie, excitation, tachycardie, palpitations, soif, transpiration, nausées, vomissements, douleur précordiale, vertiges, tinnitus, ataxie, vision trouble et hypertension ou hypotension. La stimulation du système nerveux central peut survenir en particulier chez l'enfant, de même que les symptômes atropiniques (bouche sèche, pupilles fixes et dilatées, rougeurs, hyperthermie et symptômes gastro-intestinaux).
Traitement
En cas de surdosage, traitement symptomatique et maintien des fonctions vitales sont préconisées. Du charbon activé en suspension dans l'eau peut éventuellement être administré pour absorber le produit restant dans l'estomac. Un lavage gastrique avec une solution saline physiologique peut être envisagé en particulier chez l'enfant. Chez l'adulte, de l'eau du robinet peut être utilisée. Oter le plus possible de la quantité administrée avant l'instillation suivante. La loratadine n'est pas éliminée par hémodialyse et on ne sait pas si la loratadine peut être éliminée par dialyse péritonéale. Le patient doit rester sous surveillance médicale après le traitement d'urgence.
Le traitement du surdosage par pseudoéphédrine est symptomatique. Les stimulants (analeptiques) ne doivent pas être utilisés. L'hypertension peut être contrôlée par un agent alpha-bloquant et la tachycardie par un bêta-bloquant. Les barbituriques à courte durée d'action, le diazépam, ou le paraldéhyde peuvent être administrés pour contrôler les convulsions. En cas d'hyperthermie, surtout chez l'enfant, utiliser un linge mouillé tiède ou une couverture hypothermique. En cas d'apnée, les patients devront être placés sous assistance respiratoire.

Interactions avec d'autres médicaments

Lorsque la loratadine a été administrée en association avec l'alcool, il n'a pas été observé de potentialisation de l'effet sur les performances psychomotrices.
En raison de la marge thérapeutique large de la loratadine, aucune interaction cliniquement significative n'est à attendre et aucune n'a été observée au cours des essais cliniques réalisés .
L'administration simultanée d'inhibiteurs de la monoamine oxydase et d'agents sympathomimétiques peut entraîner des poussées hypertensives.
Les agents sympathomimétiques réduisent l'effet antihypertenseur de l'α-méthyldopa, de la mécamylamine, de la réserpine, des alcaloïdes de veratrum et de la guanéthidine.
Les associations avec les substances suivantes ne sont pas recommandées:
+ Bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide
Risque de vasoconstriction et d'élévation de la pression artérielle.
+ Dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine (vasoconstricteurs dopaminergiques)
Risque de vasoconstriction et d'élévation de la pression artérielle.
+ Linézolide
Risque de vasoconstriction et d'élévation de la pression artérielle.
+ Autres vasoconstricteurs utilisés comme décongestionnant nasal, par voie orale ou nasale (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine...)
Risque de vasoconstriction.
+ Les anti-acides
Augmentent la vitesse d'absorption du sulfate de pseudoéphédrine; le kaolin la diminue.

Mises en garde et précautions

Ne pas dépasser la dose recommandée et la durée de traitement .
Chez les patients de 60 ans ou plus, les sympathomimétiques sont plus susceptibles de provoquer des effets indésirables. L'innocuité et l'efficacité de l'association dans cette population n'ont pas été établies et les données sont insuffisantes pour pouvoir recommander une dose adaptée. Par conséquent, l'association fixe ne doit pas être utilisée chez les patients âgés de 60 ans ou plus.
Insuffisance rénale et hépatique: l'innocuité et l'efficacité de l'association n'ont pas été établies chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique, et les données sont insuffisantes pour pouvoir recommander une dose adaptée. Par conséquent, l'association fixe ne doit pas être utilisée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.
Les patients devront être informés que le traitement doit être interrompu en cas d'hypertension, tachycardie, palpitations ou arythmies cardiaques, nausées ou tout autre signe neurologique (tel que céphalées ou augmentation des céphalées).
Les amines sympathomimétiques peuvent induire une stimulation du système nerveux central, avec convulsions ou hypotension pouvant entraîner un collapsus cardio-vasculaire. Ces effets sont plus susceptibles d'être observés chez l'enfant, le sujet âgé, ou en cas de surdosage .
La prudence est également recommandée chez les patients traités par les digitaliques, en cas d'arythmies cardiaques, d'hypertension, d'antécédents d'infarctus du myocarde, de diabète, de rétrécissement du col vésical ou lorsque l'anamnèse retrouve la survenue d'un bronchospasme.
La prudence est recommandée en cas de glaucome, d'ulcère peptique sténosant, de sténose pyloroduodénale, d'hypertrophie prostatique, de rétrécissement du col vésical, de maladie cardiovasculaire ou de pression intra-oculaire élevée.
La prudence est également recommandée chez les patients traités par d'autres sympathomimétiques tels que décongestionnants, anorexigènes ou psycho-stimulants de type amphétamine, des antihypertenseurs, des antidépresseurs tricycliques et d'autres antihistaminiques.
La prudence est recommandée chez les patients souffrant de migraine traitée par des vasoconstricteurs alcaloïdes de l'ergot de seigle.
Comme pour tout stimulant du système nerveux central, l'administration de sulfate de pseudoéphédrine peut induire un risque de consommation abusive. L'augmentation des doses peut entraîner une toxicité. Une utilisation continue peut entraîner une tolérance elle-même inductrice d'une augmentation du risque de surdosage. Le sevrage rapide peut induire la survenue d'un état dépressif.
L'utilisation d'anesthésiques halogénés volatils au cours d'un traitement par des agents sympathomimétiques indirects peut entraîner une poussée aiguë hypertensive péri-opératoire. Par conséquent, si une intervention chirurgicale est prévue, il est préférable d'interrompre le traitement 24 heures avant l'anesthésie.
L'attention des sportifs sera attirée sur le fait qu'un traitement par la pseudoéphédrine peut entraîner une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopages.
En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en sucrase-isomaltase.
En raison de la présence de lactose, ce médicament n'est pas recommandé en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
L'administration de CLARITYNDUO doit être interrompue au moins 48 heures avant de pratiquer des tests cutanés pour le diagnostic de l'allergie car les antihistaminiques peuvent inhiber ou réduire la réponse cutanée.

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