Saizen 1,33 mg poudre et solvant pour solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 1,33 mg
Composition et Présentations
SOMATROPINE
1,33 mg
Posologie et mode d'emploi Saizen 1,33 mg poudre et solvant pour solution injectable
Solution injectable
Norditropine devra être prescrit uniquement par des médecins spécialisés dans ces indications thérapeutiques.
La posologie doit être adaptée à chaque patient et doit toujours être ajustée en fonction des résultats cliniques et biologiques du traitement.
Posologies généralement recommandées :
Population pédiatrique
Retard de croissance lié à un déficit somatotrope
0,025 à 0,035 mg/kg/jour ou 0,7 à 1,0 mg/m2/jour
Si le déficit somatotrope persiste une fois la croissance achevée, le traitement par hormone de croissance devra être maintenu jusqu'au développement somatique complet de l'adulte, incluant la masse maigre et l'accrétion minérale osseuse (pour l'adaptation posologique, voir Déficit en hormone de croissance chez l'adulte).
Syndrome de Turner
0,045 à 0,067 mg/kg/jour ou 1,3 à 2,0 mg/m2/jour
Insuffisance rénale chronique
0,050 mg/kg/jour ou 1,4 mg/m2/jour
Retard de croissance chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel
0,035 mg/kg/jour ou 1,0 mg/m²/jour
Une dose de 0,035 mg/kg/jour est habituellement recommandée jusqu'à ce que la taille finale soit atteinte . Le traitement devra être arrêté après la première année de traitement si la vitesse de croissance est inférieure à + 1 DS.
Le traitement devra être arrêté si la vitesse de croissance est < 2 cm/an et, si une confirmation est nécessaire, soit l'âge osseux > 14 ans (pour les filles) soit > 16 ans (pour les garçons), correspondant à la soudure des épiphyses.
Population adulte
Déficit en hormone de croissance chez l'adulte
La posologie doit être adaptée en fonction des besoins de chaque patient.
Chez les patients ayant un déficit somatotrope acquis dans l'enfance, la dose recommandée pour ré-instaurer le traitement est de 0,2 à 0,5 mg/jour. La dose devra ensuite être adaptée en fonction des concentrations en IGF-I.
Chez les patients avec un déficit somatotrope acquis à l'âge adulte, il est recommandé de débuter le traitement à une dose faible : 0,1 à 0,3 mg/jour. Il est recommandé d'augmenter la posologie progressivement par intervalles mensuels en fonction des résultats cliniques et des effets secondaires. La détermination du taux sérique d'IGF-I peut guider l'adaptation de la posologie. Les femmes peuvent nécessiter des doses plus élevées que les hommes, les hommes montrant une sensibilité croissante à l'IGF-I au fil du temps. Cela signifie qu'il y a un risque que les femmes, notamment celles qui reçoivent un traitement oestrogénique par voie orale, soient sous-traitées alors que les hommes sont sur-traités.
Les doses nécessaires diminuent avec l'âge. La posologie d'entretien varie considérablement d'un patient à l'autre mais elle dépasse rarement 1,0 mg/jour.
Mode d'administration
En général, il est recommandé d'administrer le médicament par voie sous-cutanée tous les soirs.
Il est nécessaire de varier le site d'injection pour prévenir l'apparition de lipoatrophies.
Poudre et solvant pour solution injectable
La posologie et le schéma d'administration doivent être adaptés à chaque patient.
L'injection doit être sous-cutanée et le point d'injection devra varier pour éviter l'apparition de lipoatrophies.
Retard de croissance lié à un déficit somatotrope chez l'enfant : en général, la posologie recommandée est de 0,025 à 0,035 mg/kg de poids corporel par jour ou de 0,7 à 1,0 mg/m2 de surface corporelle par jour. Des doses plus élevées peuvent être utilisées.
Lorsque le déficit somatotrope acquis dans l'enfance persiste à l'adolescence, le traitement doit être continué jusqu'au développement somatique complet (concernant la composition corporelle, la densité osseuse). Pour le suivi, l'atteinte d'un pic normal de densité osseuse définie par un T-score > -1 (c'est-à-dire standardisé pour un pic normal de densité osseuse mesuré par absorptiométrie à rayons X en double énergie prenant en compte le sexe et l'ethnie) est un des objectifs thérapeutiques durant la période de transition.
Syndrome de Prader-Willi, afin d'améliorer la croissance et la composition corporelle chez l'enfant : en général, la posologie recommandée est de 0,035 mg/kg de poids corporel par jour soit 1,0 mg/m2 de surface corporelle par jour. La dose quotidienne ne devra pas dépasser 2,7 mg. Les enfants dont la vitesse de croissance est inférieure à 1 cm par an et dont les épiphyses sont presque soudées ne devront pas être traités.
Retard de croissance dans le syndrome de Turner : la posologie recommandée est de 0,045 à 0,050 mg/kg de poids corporel par jour, soit 1,4 mg/m2 de surface corporelle par jour.
Retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique : la posologie recommandée est de 0,045 à 0,050 mg/kg de poids corporel par jour (1,4 mg/m² de surface corporelle par jour). Des doses plus élevées peuvent être utilisées si la vitesse de croissance est trop faible. Il est possible qu'un ajustement de la posologie soit nécessaire après 6 mois de traitement.
Retard de croissance chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel : la posologie habituellement recommandée est de 0,035 mg/kg de poids corporel par jour (1 mg/m² de surface corporelle par jour) jusqu'à ce que la taille finale soit atteinte .
Le traitement devra être interrompu après la première année de traitement si la vitesse de croissance est inférieure à +1 DS. Le traitement devra être interrompu si la vitesse de croissance est < 2 cm/an et, si une confirmation est nécessaire, l'âge osseux est > 14 ans (pour les filles) et > 16 ans (pour les garçons), correspondant à la soudure des épiphyses.
Doses recommandées chez l'enfant :
Indication
mg/kg de poids corporel
(dose par jour)
mg/m2 de
surface corporelle
(dose par jour)
Déficit en hormone de croissance
0,025 - 0,035
0,7 - 1,0
Syndrome de Prader-Willi
0,035
1,0
Syndrome de Turner
0,045 - 0,050
1,4
Insuffisance rénale chronique
0,045 - 0,050
1,4
Enfants nés petits pour l'âge gestationnel
0,035
1,0
Déficit en hormone de croissance chez l'adulte :
Chez les patients qui continuent le traitement par hormone de croissance après un déficit somatotrope acquis dans l'enfance, la dose recommandée pour redémarrer est de 0,2 à 0,5 mg par jour. La dose doit être progressivement augmentée ou diminuée en fonction des besoins individuels du patient, déterminés par le taux d'IGF-I.
Chez les patients qui ont un déficit somatotrope acquis à l'âge adulte, le traitement doit débuter avec une faible dose, de 0,15 à 0,3 mg par jour. La dose peut être augmentée progressivement en fonction des besoins individuels du patient, déterminés par le taux d'IGF‑I.
Dans les deux cas, le traitement doit conduire à obtenir des concentrations d'IGF-I, en fonction de l'âge, ne dépassant pas la limite de 2 DS. Les patients dont le taux d'IGF-I est normal au début du traitement devront recevoir de l'hormone de croissance jusqu'à atteindre un taux d'IGF-I dans les limites supérieures de la normale, sans excéder 2 DS. La réponse clinique, de même que les effets indésirables peuvent également guider l'adaptation de la posologie.
Certains patients qui ont un déficit somatotrope ne normalisent pas leur taux d'IGF-I, malgré une bonne réponse clinique. Ils n'ont donc pas besoin d'une escalade de dose. La dose d'entretien excède rarement 1,0 mg par jour. Les femmes peuvent nécessiter des doses plus élevées que les hommes ; les hommes montrant une sensibilité croissante à l'IGF-1 au fil du temps. Cela signifie qu'il y a un risque que les femmes, notamment celles qui reçoivent un traitement oestrogénique par voie orale, soient sous-traitées alors que les hommes sont sur-traités.
Par conséquent, la bonne adaptation de la dose d'hormone somatotrope devra être contrôlée tous les 6 mois. La sécrétion physiologique d'hormone de croissance diminuant avec l'âge, une réduction de la posologie est nécessaire. Chez les patients de plus de 60 ans, le traitement doit être initié à une dose de 0,1 à 0,2 mg par jour. Cette posologie doit être augmentée progressivement en fonction des besoins individuels du patient. La dose minimale efficace devra être utilisée. La dose d'entretien chez ces patients excède rarement 0,5 mg par jour.
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Saizen poudre et solvant pour solution injectable est disponible dans les emballages suivants:
1 flacon(s) en verre - 1 ampoule(s) en verre de 1 ml
Présentation active
Déclaration d'arrêt de commercialisation: 2013-03-26
10 flacon(s) en verre - 10 ampoule(s) en verre de 1 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Saizen 3,33 mg poudre et solvant pour solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 3,33 mg
Saizen 5,83 mg/ml solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 5,83 mg
Saizen 8 mg poudre et solvant pour solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 8 mg
Saizen 8 mg/ml solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 8 mg
Saizen CLICKEASY 8 mg poudre et solvant pour solution injectable
Merck Santé SAS (FRANCE)
Dosage: 8 mg
Comment utiliser, Mode d'emploi - Saizen
Indications
SAIZEN CLICKEASY est indiqué pour traiter :
Enfants et adolescents :
le retard de croissance lié à un déficit ou à une absence de sécrétion d'hormone de croissance endogène, chez l'enfant.
le retard de croissance chez les filles atteintes de dysgénésie gonadique (syndrome de Turner) confirmée par analyse chromosomique.
le retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique (IRC), chez l'enfant prépubère.
le retard de croissance (taille actuelle < -2,5 DS et taille des parents ajustée < -1 DS) chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel avec un poids et/ou une taille de naissance < -2 DS, n'ayant pas rattrapé leur retard de croissance (vitesse de croissance < 0 DS au cours de la dernière année) à l'âge de 4 ans ou plus.
Adultes :
Traitement substitutif chez l'adulte présentant un déficit marqué en hormone de croissance documenté par un test dynamique unique démontrant le déficit somatotrope. Les patients doivent également remplir les critères suivants :
Déficit acquis pendant l'enfance :
Les patients dont le déficit somatotrope a été diagnostiqué pendant l'enfance doivent être réévalués et leur déficit somatotrope doit être confirmé avant de débuter le traitement substitutif par SAIZEN CLICKEASY.
Déficit acquis à l'âge adulte :
Les patients doivent présenter un déficit somatotrope secondaire à une atteinte hypothalamique ou hypophysaire et au moins un autre déficit hormonal (excepté la prolactine), et un traitement substitutif adéquat aura dû être instauré, avant de débuter le traitement substitutif par hormone de croissance.
Pharmacodynamique
SAIZEN contient une hormone de croissance humaine recombinante obtenue par génie génétique à partir de cellules de mammifères.
Il s'agit d'un polypeptide formé de 191 acides aminés, dont la séquence en acides aminés, la composition, la carte peptidique, le point iso-électrique, le poids moléculaire, la structure isomérique et la bioactivité sont identiques à l'hormone de croissance hypophysaire humaine.
L'hormone de croissance est synthétisée à partir d'une lignée cellulaire murine, modifiée par addition du gène codant pour l'hormone de croissance hypophysaire.
SAIZEN est un agent anabolique et anticatabolique qui agit non seulement sur la croissance mais aussi sur la composition corporelle et le métabolisme. Il interagit avec des récepteurs spécifiques sur divers types de cellules, telles les myocytes, hépatocytes, adipocytes, lymphocytes et les cellules hématopoïétiques. Certains de ces effets sont transmis par une autre catégorie d'hormone, les somatomédines (IGF-1 et IGF-2).
En fonction de la posologie, l'administration de SAIZEN provoque un accroissement des IGF-1, IGFBP-3, acides gras non-estérifiés et glycérol, une diminution de l'urée sanguine et des excrétions urinaires d'azote, de sodium et de potassium. La durée d'augmentation des taux d'hormone de croissance peut influencer l'amplitude des effets. Une saturation relative des effets de SAIZEN à fortes doses est probable. Ce n'est pas le cas pour la glycémie et l'excrétion urinaire du peptide-C, qui ne sont significativement élevées qu'après de fortes doses (20 mg).
Au cours d'un essai clinique randomisé, le traitement d'enfants prépubères nés petits pour l'âge gestationnel, à la dose de 0,067 mg/kg/jour pendant 3 ans, a conduit à un gain de taille moyen de +1,8 DS. Les enfants qui n'ont pas poursuivi le traitement après 3 ans ont perdu une partie du bénéfice thérapeutique; toutefois, ces patients ont conservé un gain de taille significatif de +0,7 DS lorsqu'ils ont atteint leur taille finale (p < 0,01 par rapport à la taille initiale). Les patients qui ont poursuivi le traitement après une période d'observation de durée variable, ont bénéficié d'un gain total de taille de +1,3 DS lorsqu'ils ont atteint leur taille finale (p = 0,001 par rapport à la taille initiale). (Dans ce 2ème groupe, la durée cumulative moyenne de traitement était de 6,1 ans).
Dans ce groupe, le gain de taille à taille finale (+1,3 ± 1,1 DS) était significativement différent (p < 0,05) du gain de taille observé dans le 1er groupe (+0,7 ± 0,8 DS) traité pendant 3 ans en moyenne.
Un second essai clinique a évalué deux schémas posologiques distincts pendant 4 ans. Un groupe a été traité par 0,067 mg/kg/jour pendant 2 ans puis observé sans traitement pendant 2 ans. Le 2ème groupe a reçu 0,067 mg/kg/jour au cours des 1ère et 3ème années et n'a reçu aucun traitement au cours des 2ème et 4ème années. Quel que soit le schéma posologique, la dose cumulative administrée au cours de l'essai correspondait à 0,033 mg/kg/jour sur 4 ans. Au terme des 4 ans de l'essai, les deux groupes ont montré une accélération comparable de la croissance avec des gains de taille significatifs s'élevant respectivement à +1,55 DS (p < 0,0001) et +1,43 DS (p < 0,0001). Les données de sécurité à long terme sont encore limitées.
Mécanisme d'action
Saizen contient une hormone de croissance humaine recombinante obtenue par génie génétique à partir de cellules de mammifères.
Il s'agit d'un polypeptide formé de 191 acides aminés, dont la séquence en acides aminés, la composition, la carte peptidique, le point iso-électrique, le poids moléculaire, la structure isomérique et la bioactivité sont identiques à l'hormone de croissance hypophysaire humaine.
L'hormone de croissance est synthétisée à partir d'une lignée cellulaire murine, modifiée par addition du gène codant pour l'hormone de croissance hypophysaire.
Saizen est un agent anabolique et anticatabolique qui agit non seulement sur la croissance mais aussi sur la composition corporelle et le métabolisme. Il interagit avec des récepteurs spécifiques sur divers types de cellules, telles les myocytes, hépatocytes, adipocytes, lymphocytes et les cellules hématopoïétiques. Certains de ces effets sont transmis par une autre catégorie d'hormone, les somatomédines (IGF-1 et IGF-2).
En fonction de la posologie, l'administration de Saizen provoque un accroissement des IGF‑1, IGFBP-3, acides gras non-estérifiés et glycérol, une diminution de l'urée sanguine et des excrétions urinaires d'azote, de sodium et de potassium. La durée d'augmentation des taux d'hormone de croissance peut influencer l'amplitude des effets. Une saturation relative des effets de Saizen à fortes doses est probable. Ce n'est pas le cas pour la glycémie et l'excrétion urinaire du peptide-C, qui ne sont significativement élevées qu'après de fortes doses (20 mg).
Au cours d'un essai clinique randomisé, le traitement d'enfants prépubères nés petits pour l'âge gestationnel, à la dose de 0,067 mg/kg/jour pendant 3 ans, a conduit à un gain de taille moyen de +1,8 DS. Les enfants qui n'ont pas poursuivi le traitement après 3 ans ont perdu une partie du bénéfice thérapeutique ; toutefois, ces patients ont conservé un gain de taille significatif de +0,7 DS lorsqu'ils ont atteint leur taille finale (p < 0,01 par rapport à la taille initiale). Les patients qui ont poursuivi le traitement après une période d'observation de durée variable, ont bénéficié d'un gain total de taille de +1,3 DS lorsqu'ils ont atteint leur taille finale (p = 0,001 par rapport à la taille initiale). (Dans ce 2nd groupe, la durée cumulative moyenne de traitement était de 6,1 ans). Dans ce groupe, le gain de taille à taille finale (+1,3 ± 1,1 DS) était significativement différent (p < 0,05) du gain de taille observé dans le 1er groupe (+0,7 ± 0,8 DS) traité pendant 3 ans en moyenne.
Un second essai clinique a évalué deux schémas posologiques distincts pendant 4 ans. Un groupe a été traité par 0,067 mg/kg/jour pendant 2 ans puis observé sans traitement pendant 2 ans. Le 2nd groupe a reçu 0,067 mg/kg/jour au cours des 1ère et 3ème années et n'a reçu aucun traitement au cours des 2ème et 4ème années. Quel que soit le schéma posologique, la dose cumulative administrée au cours de l'essai correspondait à 0,033 mg/kg/jour sur 4 ans. Au terme des 4 ans de l'essai, les deux groupes ont montré une accélération comparable de la croissance avec des gains de taille significatifs s'élevant respectivement à +1,55 DS (p < 0,0001) et +1,43 DS (p < 0,0001). Les données de sécurité à long terme sont encore limitées.
Pharmacocinétique
La pharmacocinétique de SAIZEN est linéaire jusqu'à une dose de 2,67 mg (8 UI). A des doses supérieures à 20 mg (60 UI), un certain degré de non-linéarité ne peut être écarté, bien que sans pertinence clinique.
Après administration par voie intraveineuse à des volontaires sains, le volume de distribution à l'état d'équilibre est d'environ 7 L, la clairance totale est d'environ 15 L/h, tandis que la clairance rénale est négligeable et la demi-vie d'élimination du médicament est de 20 à 35 minutes.
Après injection unique de SAIZEN par voie sous-cutanée ou intra-musculaire, la demi-vie finale apparente est nettement plus longue, environ 2 à 4 heures, en raison d'une limitation de la vitesse d'absorption.
La biodisponibilité absolue pour les deux voies est comprise entre 70 et 90 %.
Les concentrations sériques maximales en hormone de croissance sont atteintes après approximativement 4 heures et les taux sériques retournent à la normale en 24 heures, ce qui indique qu'aucune accumulation d'hormone de croissance ne se produira au cours d'administrations répétées.
Les solutions injectables de SAIZEN (5,83 mg/ml et 8 mg/ml) administrées par voie sous-cutanée sont bioéquivalentes par rapport à la formulation lyophilisée à 8 mg.
Insuffisance rénale :
On sait que la clairance à la somatropine est réduite chez les patients insuffisants rénaux. Cependant, la pertinence clinique de cette observation n'est pas connue.
Chez les enfants prépubères présentant un retard de croissance du à une insuffisance rénale chronique, une posologie spécifique est recommandée .
Insuffisance hépatique :
On sait que la clairance à la somatropine est réduite chez les patients insuffisants hépatiques. Cependant, SAIZEN n'ayant pas été étudié chez les patients insuffisants hépatiques, la pertinence clinique de cette observation n'est pas connue.
Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament Saizen en fonction de la voie d'administration
La pharmacocinétique de SAIZEN CLICKEASY est linéaire jusqu'à une dose de 2,67 mg (8 UI). A des doses supérieures à 20 mg (60 UI), un certain degré de non-linéarité ne peut être écarté, bien que sans pertinence clinique.
Après administration par voie intraveineuse à des volontaires sains, le volume de distribution à l'état d'équilibre est d'environ 7 L, la clairance totale est d'environ 15 L/h tandis que la clairance rénale est négligeable et la demi-vie d'élimination du médicament est de 20 à 35 minutes.
Après injection unique de SAIZEN CLICKEASY par voie sous-cutanée ou intra-musculaire, la demi-vie finale apparente est nettement plus longue, environ 2 à 4 heures, en raison d'une limitation de la vitesse d'absorption.
Les concentrations sériques maximales en hormone de croissance (GH) sont atteintes après approximativement 4 heures et les taux sériques retournent à la normale en 24 heures ; cela indique qu'aucune accumulation d'hormone de croissance ne se produira au cours d'administrations répétées.
La biodisponibilité absolue, par les deux voies d'administration, est de 70 à 90 %.
Insuffisance rénale :
On sait que la clairance à la somatropine est réduite chez les patients insuffisants rénaux. Cependant, la pertinence clinique de cette observation n'est pas connue.
Chez les enfants prépubères présentant un retard de croissance du à une insuffisance rénale chronique, une posologie spécifique est recommandée .
Insuffisance hépatique :
On sait que la clairance à la somatropine est réduite chez les patients insuffisants hépatiques. Cependant, SAIZEN n'ayant pas été étudié chez les patients insuffisants hépatiques, la pertinence clinique de cette observation n'est pas connue.
Effets indésirables
Jusqu'à 10 % des patients peuvent voir apparaître rougeurs et démangeaisons au site d'injection. Une rétention hydrique est un effet attendu chez les patients adultes recevant un traitement substitutif par hormone de croissance. Oedème, gonflement articulaire, arthralgie, myalgie et paresthésie peuvent être des manifestations cliniques de rétention hydrique. Cependant, ces symptômes ou signes cliniques sont généralement transitoires et dose-dépendants.
Les patients adultes atteints d'un déficit en hormone de croissance, diagnostiqué dès l'enfance, ont rapporté des effets indésirables moins fréquemment que ceux présentant un déficit en hormone de croissance acquis à l'âge adulte.
Un faible pourcentage de patients peut développer des anticorps anti-somatropine. A ce jour, ces anticorps ont une capacité de liaison réduite et n'ont pas été associés à une diminution de la croissance, excepté chez les patients présentant des délétions génétiques. Dans de très rares cas, lorsque la petite taille est due à une délétion du complexe génique de l'hormone de croissance, le traitement par hormone de croissance peut induire le développement d'anticorps limitant la croissance.
Des cas de leucémie ont été rapportés chez un petit nombre de patients atteints de déficit en hormone de croissance, parmi lesquels certains avaient été traités par somatropine. Toutefois, il n'est pas prouvé que l'incidence de la leucémie soit plus élevée chez les personnes traitées par hormone de croissance, sans facteur de prédisposition.
La terminologie de fréquence utilisée ci-dessous est définie de la façon suivante : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), peu fréquent (≥1/1000 à <1/100), rare (≥1/10000 à <1/1000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont classés suivant un ordre décroissant de gravité.
Classes de systèmes d'organes
Fréquent
Peu fréquent
Très rare
Fréquence indéterminée
Affections du système nerveux
Maux de tête (isolés), syndrome du canal carpien (chez l'adulte)
Résistance à l'insuline pouvant conduire à un hyperinsulinisme et, dans de rares cas, à une hyperglycémie
Affections des organes de reproduction et du sein
Gynécomastie
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Réactions au site d'injection
Lipoatrophie localisée, qui peut être évitée en variant les sites d'injection
Affections gastro-intestinales
Pancréatite
Contre-indications
La somatropine ne doit pas être utilisée pour stimuler la croissance chez les enfants dont les épiphyses sont soudées.
La somatropine ne doit pas être utilisée en cas de preuve d'activité d'une tumeur. Les tumeurs intracrâniennes doivent être inactives et tout traitement antitumoral devra être terminé avant de commencer le traitement par l'hormone de croissance. Le traitement doit être interrompu en cas de signes de croissance de la tumeur.
La somatropine ne doit pas être utilisée en cas de rétinopathie diabétique proliférante ou préproliférante.
Les patients présentant un état critique aigu, souffrant de complications secondaires à une intervention chirurgicale à cur ouvert, une intervention chirurgicale abdominale, un polytraumatisme accidentel, une insuffisance respiratoire aiguë ou à des situations similaires ne doivent pas être traités par somatropine.
Chez les enfants souffrant d'insuffisance rénale chronique, le traitement par somatropine devra être interrompu en cas de transplantation rénale.
Grossesse/Allaitement
Grossesse
Il n'y a pas de données cliniques disponibles concernant l'exposition pendant la grossesse. Les études de reproduction réalisées chez l'animal avec des produits contenant de la somatropine n'ont pas montré d'augmentation du risque de réactions indésirables chez l'embryon ou chez le ftus . Cependant, les médicaments contenant de la somatropine ne sont pas recommandés ni pendant la grossesse ni chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de moyen de contraception.
Allaitement
Aucune étude clinique n'a été réalisée avec la somatropine chez des femmes durant l'allaitement. Il n'existe aucune donnée concernant le passage de la somatropine dans le lait maternel. C'est pourquoi la somatropine doit être administrée avec prudence chez la femme qui allaite.
Fertilité
Les études de toxicité non clinique ont montré que l'hormone de croissance humaine recombinante n'induisait pas d'effet indésirable ni sur la fertilité des mâles, ni sur la fertilité des femelles .
Surdosage
Aucun cas de surdosage aigu n'a été rapporté. Cependant, dépasser les doses recommandées peut entraîner des effets indésirables. Un surdosage peut provoquer une hypoglycémie, suivie d'une hyperglycémie. De plus, un surdosage de somatropine pourrait déclencher des manifestations de rétention hydrique.
Interactions avec d'autres médicaments
L'administration concomitante de glucocorticoïdes inhibe les effets stimulants des médicaments contenant de la somatropine sur la croissance. Chez les patients atteints d'un déficit en hormone corticotrope (ACTH), la posologie du traitement substitutif par glucocorticoïdes doit être soigneusement adaptée afin d'éviter tout effet inhibiteur sur l'hormone de croissance.
Des données issues d'une étude d'interaction réalisée chez des adultes atteints de déficit en hormone de croissance suggèrent que l'administration de somatropine peut augmenter la clairance de substances connues pour être métabolisées par les isoenzymes du cytochrome P450. La clairance des substances métabolisées par le cytochrome P450 3A4 (ex. : stéroïdes sexuels, corticostéroïdes, anticonvulsivants et ciclosporine) peut être particulièrement augmentée, ce qui se traduit par une diminution concentrations plasmatiques de ces substances. L'importance clinique de cet effet n'est pas connue.
Mises en garde et précautions
Le traitement doit être réalisé et suivi par un médecin expérimenté dans le diagnostic et le traitement de patients atteints d'un déficit en hormone de croissance.
La dose journalière maximale recommandée ne doit pas être dépassée .
Néoplasme
Les patients présentant une néoplasie intra- ou extracrânienne en période de rémission qui reçoivent un traitement par hormone de croissance devront être examinés attentivement et à intervalles réguliers par leur médecin.
Lorsque le déficit en hormone de croissance est secondaire à une tumeur intracrânienne, les patients devront être examinés fréquemment afin de surveiller une progression ou une récidive du processus tumoral sous-jacent.
Chez les patients ayant survécu à un cancer infantile, une augmentation du risque d'un second néoplasme a été rapportée chez ceux traités par la somatropine après leur premier néoplasme. Les tumeurs intracrâniennes, en particulier des méningiomes chez les patients traités par radiothérapie à la tête lors de leur premier néoplasme, étaient les tumeurs les plus fréquemment observées en second néoplasme.
Syndrome de Prader-Willi
SAIZEN n'est pas indiqué dans le traitement à long terme des patients pédiatriques atteints d'un retard de croissance secondaire à un syndrome de Prader-Willi confirmé par test génétique, sauf s'ils présentent également un déficit en hormone de croissance. Des cas d'apnée du sommeil et de mort subite ont été rapportés après l'instauration d'un traitement par hormone de croissance chez des patients pédiatriques atteints du syndrome de Prader-Willi et qui présentaient un ou plusieurs des facteurs de risque suivants : obésité sévère, antécédents d'obstruction des voies aériennes supérieures ou d'apnée du sommeil, ou infection respiratoire non identifiée.
Leucémie
Des cas de leucémie ont été rapportés chez un petit nombre de patients atteints de déficit en hormone de croissance, dont certains avaient été traités par somatropine. Toutefois, il n'est pas prouvé que l'incidence de la leucémie soit plus élevée chez les personnes traitées par hormone de croissance sans facteur de prédisposition.
Sensibilité à l'insuline
La somatropine pouvant réduire la sensibilité à l'insuline, les patients devront être surveillés afin de détecter tout signe d'intolérance au glucose. Chez les patients atteints de diabète, il conviendra, si nécessaire, d'ajuster la dose d'insuline après l'instauration d'un traitement par un produit contenant de la somatropine. Les patients présentant un diabète ou une intolérance au glucose doivent faire l'objet d'une surveillance particulière durant le traitement par somatropine.
Rétinopathie
Une rétinopathie débutante stable ne doit pas conduire à l'arrêt du traitement substitutif par somatropine.
Fonction thyroïdienne
L'hormone de croissance augmente la conversion extrathyroïdienne de T4 en T3 et peut ainsi révéler une hypothyroïdie infraclinique. Un suivi de la fonction thyroïdienne doit donc être effectué chez tous les patients. Chez les patients atteints d'hypopituitarisme, le traitement substitutif standard doit être étroitement contrôlé en cas d'administration d'un traitement par somatropine.
Hypertension intracrânienne bénigne
En cas de céphalées sévères ou récidivantes, de problèmes visuels, de nausées et/ou de vomissements, il est conseillé de pratiquer un examen du fond de l'il à la recherche d'un dème papillaire. En cas d'dème papillaire confirmé, il faut envisager un diagnostic d'hypertension intracrânienne bénigne (ou pseudotumor cerebri) et, si cela est justifié, le traitement par SAIZEN devra être interrompu. A l'heure actuelle, il n'y a pas suffisamment de données pour orienter la décision clinique chez les patients ayant une hypertension intracrânienne normalisée. Si le traitement par hormone de croissance est réinstauré, une surveillance rapprochée à la recherche de signes d'hypertension intracrânienne est nécessaire.
Pancréatite
Bien que rare, la pancréatite doit être considérée chez les patients traités par somatropine, en particulier chez les enfants développant des douleurs abdominales.
Scoliose
On sait que la scoliose est plus fréquente dans certains groupes de patients traités par somatropine, par exemple pour un syndrome de Turner. De plus, chez l'enfant, une croissance rapide peut entraîner une progression de la scoliose
Il n'a pas été démontré que la somatropine augmentait l'incidence ou la gravité de la scoliose. Les signes de scoliose doivent être surveillés au cours du traitement.
Anticorps
Comme avec tous les autres médicaments contenant de la somatropine, un faible pourcentage de patients est susceptible de développer des anticorps anti-somatropine. La capacité de liaison de ces anticorps est faible et ils n'ont pas d'effet sur le taux de croissance. Une recherche d'anticorps anti-somatropine doit être effectuée chez tous les patients qui ne répondent pas au traitement.
Epiphysiolyse de la tête fémorale
Une épiphysiolyse de la tête fémorale est souvent associée à des troubles endocriniens, tels qu'un déficit en hormone de croissance et une hypothyroïdie, ainsi qu'à des poussées de croissance. Chez les enfants traités par hormone de croissance, une épiphysiolyse de la tête fémorale peut être due soit à des troubles endocriniens sous-jacents, soit à une augmentation de la vitesse de croissance liée au traitement. Les poussées de croissance peuvent accroître le risque de troubles articulaires, la hanche étant particulièrement sollicitée lors de la poussée de croissance prépubertaire. Les médecins et les parents devront être alertés par la survenue, chez les enfants traités par SAIZEN, d'une claudication ou de douleurs à la hanche ou au genou.
Retard de croissance secondaire à une insuffisance rénale chronique
Les patients présentant un retard de croissance secondaire à une insuffisance rénale chronique devront être examinés périodiquement afin de détecter toute progression d'ostéodystrophie rénale. Une épiphysiolyse ou une nécrose avasculaire de la tête fémorale peut être observée chez les enfants atteints d'ostéodystrophie rénale avancée, mais la relation avec le traitement par hormone de croissance n'a pas été établie. Une radiographie de la hanche doit être pratiquée avant d'initier le traitement.
Chez les enfants atteints d'insuffisance rénale chronique, la fonction rénale devra être diminuée d'au moins 50 % par rapport à la normale avant de débuter le traitement. Afin de confirmer le retard de croissance, la croissance devra avoir été suivie pendant un an préalablement à l'instauration du traitement. Un traitement conservateur de l'insuffisance rénale (comprenant des contrôles de l'acidose, de l'hyperparathyroïdie et du statut nutritionnel pendant l'année précédant le traitement) devra avoir été établi et être maintenu pendant le traitement. Le traitement devra être interrompu en cas de transplantation rénale.
Enfants nés petits pour l'âge gestationnel
Chez les enfants de petite taille nés petits pour l'âge gestationnel, les autres causes, médicales ou thérapeutiques, pouvant expliquer ce retard de croissance doivent être exclues avant de débuter le traitement.
Chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel, il est recommandé de mesurer l'insulinémie et la glycémie à jeun avant le début du traitement, puis tous les ans. Chez les patients présentant un risque accru de diabète (par exemple, antécédents familiaux de diabète, obésité, indice de masse corporelle élevé, insulino-résistance sévère, acanthosis nigricans), un test d'hyperglycémie provoquée par voie orale doit être effectué. Si un diabète clinique apparaît, l'hormone de croissance ne doit pas être administrée.
Chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel, il est recommandé de mesurer le taux d'IGF-1 avant la mise en route du traitement, puis deux fois par an. Si, à l'occasion de mesures répétées, les taux d'IGF-1 sont supérieurs à +2 DS comparés aux valeurs standard pour l'âge et le stade pubertaire, le ratio IGF-1/IGFBP-3 peut être pris en considération pour envisager un ajustement de la dose.
L'expérience de l'initiation d'un traitement chez des enfants nés petits pour l'âge gestationnel en période pré-pubertaire est limitée. Par conséquent, il n'est pas recommandé d'initier le traitement juste avant la puberté. L'expérience chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel présentant un syndrome de Silver-Russell est limitée.
Une partie du gain de taille obtenu chez des enfants de petite taille nés petits pour l'âge gestationnel, traités par la somatropine, peut être perdue si le traitement est interrompu avant que la taille finale ne soit atteinte.
Rétention hydrique
Une rétention hydrique est un effet attendu chez les patients adultes recevant un traitement substitutif par hormone de croissance.
En cas d'dème persistant ou de paresthésie sévère, la posologie doit être diminuée afin d'éviter le développement d'un syndrome du canal carpien.
Etat critique aigu
Chez tous les patients développant un état critique aigu, le bénéfice possible du traitement par somatropine doit être évalué au regard du risque potentiellement encouru.
Interaction avec les glucocorticoïdes
L'initiation d'un traitement substitutif par hormone de croissance peut mettre en évidence une insuffisance surrénalienne périphérique chez certains patients en diminuant l'activité de la 11 β-hydroxystéroïde déshydrogénase de type 1 (11 β-HSD1), une enzyme convertissant la cortisone inactive en cortisol et un traitement substitutif par des glucocorticoïdes peut être nécessaire. L'initiation du traitement par somatropine chez les patients recevant un traitement substitutif par glucocorticoïdes peut conduire à des manifestations d'insuffisance corticotrope. Un ajustement de la dose de glucocorticoïdes peut être nécessaire .
Utilisation avec strogénothérapie
En cas d'initiation d'une strogénothérapie orale chez une femme sous somatropine, une augmentation de la dose de somatropine peut être nécessaire pour maintenir les taux sériques d'IGF-1 dans la fourchette normale correspondant à son âge. Inversement, en cas d'arrêt d'une strogénothérapie orale chez une femme sous somatropine, une baisse de la dose de somatropine peut être nécessaire pour éviter un excès d'hormone de croissance et/ou d'effets indésirables .
Généralités
Les sites d'injection doivent varier afin d'éviter une lipoatrophie.
Le déficit en hormone de croissance chez l'adulte est une maladie de longue durée et elle doit être traitée comme telle, bien que l'expérience chez les patients âgés de plus de 60 ans et l'expérience d'un traitement à long terme soient limitées.
Excipients
Ce médicament contient moins d'1 mmol de sodium (23 mg) par cartouche, en d'autres termes, il est essentiellement exempt de sodium.
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Sommaire du Résumé des caractéristiques du médicament
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