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Tisercin® - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Tisercin® appartient au groupe appelés Phénothiazines.

Principe actif: LÉVOMÉPROMAZINE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE) - Tisercin® - comprimé enrobé - 25 mg - П N011307/01 - 25.02.2010

Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE) - Tisercin® - solution injectable (IM) et pour perfusion - 25 mg/ml - П N012432/01 - 20.09.2011


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Tisercin<sup>®</sup>  comprimé enrobé Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE) Posologie et mode d

Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé enrobé - 25 mg
  • solution injectable IM et pour perfusion - 25 mg/ml

Сlassification pharmacothérapeutique:

Le médicament Tisercin® enregistré en Russie

Tisercin® comprimé enrobé

Tisercin<sup>®</sup>  comprimé enrobé Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE)
Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE)
Dosage: 25 mg

Posologie et mode d'emploi Tisercin® comprimé enrobé

Comprimé pelliculé sécable
Réservé à l'adulte.
Voie orale.
La posologie minimale efficace sera toujours recherchée. Le traitement sera instauré à dose faible, puis augmenté progressivement.
La posologie est de 25 à 200 mg/jour.
Dans certains cas exceptionnels, la posologie pourra être augmentée jusqu'à 400 mg/j maximum.
La dose journalière sera soit prise le soir au coucher soit répartie en 3 prises au moment des repas.

Informations sur les étapes du processus de fabrication du médicament

Tisercin® solution injectable (IM) et pour perfusion

Egis Pharmaceuticals PLC (HONGRIE)
Dosage: 25 mg/ml


Comment utiliser, Mode d'emploi - Tisercin®

Indications

Indications - usage systémique

Etats psychotiques aigus.
Etats psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques: délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques).
En association avec un antidépresseur, traitement de courte durée de certaines formes sévères d'épisode dépressif majeur.
Cette association ne peut se faire que pendant la période initiale du traitement, soit pendant 4 à 6 semaines.

Pharmacodynamique

Les antipsychotiques neuroleptiques possèdent des propriétés antidopaminergiques qui sont responsables:
de l'effet antipsychotique recherché en thérapeutique,
d'effets secondaires (syndrome extrapyramidal, dyskinésies, hyperprolactinémie).
Dans le cas de la lévomépromazine, cette activité antidopaminergique est d'importance moyenne: l'activité antipsychotique est faible; les effets extrapyramidaux sont très modérés.
La molécule possède également des propriétés antihistaminiques (à l'origine d'une sédation, en général recherchée en clinique), adrénolytiques et anticholinergiques marquées.

Pharmacocinétique

Pharmacocinétique - voie orale

Les concentrations sériques maximales sont atteintes en moyenne au bout de 1 à 3 heures après une prise orale.
La biodisponibilité est de 50 %.
La demi-vie de la lévomépromazine est très variable selon les sujets (15 à 80 heures).
Les métabolites de la lévomépromazine sont des dérivés sulfoxydés et un dérivé déméthylé actif.
L'élimination est urinaire et fécale.

Effets indésirables

Effets indésirables - usage systémique
Dès les faibles doses:
Troubles neuro-végétatifs:
hypotension orthostatique,
effets anticholinergiques à type de sécheresse de la bouche, constipation voire iléus paralytique, troubles de l'accommodation, risque de rétention urinaire .
Troubles neuropsychiques:
sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement;
indifférence, réactions anxieuses, variation de l'état thymique.
A doses plus élevées:
Troubles neuropsychiques:
dyskinésies précoces (torticolis spasmodiques, crises oculogyres, trismus...),
syndrome extrapyramidal:
akinétique avec ou sans hypertonie, et cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques
hyperkinéto-hypertonique, excito-moteur
akathisie.
dyskinésies tardives, survenant surtout lors de cures prolongées. Ces dyskinésies tardives surviennent parfois à l'arrêt du neuroleptique et disparaissent lors de sa réintroduction ou à l'augmentation de la posologie.
Les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.
Troubles neuro-végétatifs:
effets anticholinergiques: de très rares cas d'entérocolite nécrosante potentiellement fatale ont été rapportés .
Troubles endocriniens et métaboliques:
hyperprolactinémie: aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie, impuissance, frigidité.
dysrégulation thermique,
prise de poids,
hyperglycémie, diabète, altération de la tolérance au glucose .
Rarement et dose-dépendants:
Troubles cardiaques:
allongement de l'intervalle QT.
de très rares cas de torsades de pointes ont été rapportés.
Plus rarement, et non dose-dépendants:
Troubles cutanés:
réactions cutanées allergiques,
photosensibilisation.
Troubles hématologiques:
agranulocytose exceptionnelle: des contrôles réguliers de la formule sanguine sont recommandés,
leucopénie.
Troubles ophtalmologiques:
dépôts brunâtres dans le segment antérieur de l'œil, dus à l'accumulation du produit, en général sans retentissement sur la vision.
Affections hépatobiliaires :
augmentation des transaminases, ictère cholestatique, hépatite de type cholestatique, cytolytique et mixte.
Autres troubles observés:
positivité des anticorps antinucléaires sans lupus érythémateux clinique,
syndrome malin des neuroleptiques ,
très rares cas de priapisme.
Par ailleurs, des cas isolés de mort subite d'origine cardiaque ainsi que des cas de mort subite inexpliquée ont été rapportés chez des patients traités par les neuroleptiques antipsychotiques à structure phénothiaziniques, butyrophénone ou benzamide .
Des cas de thromboembolies veineuses, y compris des cas d'embolies pulmonaires ainsi que de thromboses veineuses profondes, ont été rapportés avec les antipsychotiques - fréquence inconnue .
Grossesse, puerpérium et conditions périnatales : syndrome de sevrage néonatal – fréquence indéterminée.
Affections du système nerveux : Etats confusionnels, Convulsions – fréquence indéterminée.
Troubles du métabolisme et de la nutrition : Hyponatrémie, syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique (SIADH) - fréquence indéterminée.

Contre-indications

Hypersensibilité à la lévomépromazine ou à l'un des autres constituants.
Risque de glaucome par fermeture de l'angle.
Risque de rétention urinaire lié à des troubles urétroprostatiques.
Antécédent d'agranulocytose.
En association avec :
les dopaminergiques hors Parkinson (cabergoline, quinagolide),
le citalopram, l'escitalopram,
l'hydroxyzine
la pipéraquine
la dompéridone
Chez les patients présentant une allergie au blé (autre que la maladie coeliaque).

Grossesse/Allaitement

Grossesse
Aucune étude spécifique chez l'animal n'a été menée afin d'évaluer l'effet de la lévomépromazine sur la reproduction.
Le maintien d'un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout au long de la grossesse pour éviter toute décompensation. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse.
Dans l'espèce humaine, le risque tératogène de la lévomépromazine n'a pas été évalué. Différentes études épidémiologiques prospectives conduites avec d'autres phénothiazines ont conclu à des résultats contradictoires concernant le risque tératogène.
L'utilisation de lévomépromazine n'est pas recommandée au cours de la grossesse sauf si la situation clinique de la patiente le justifie.
Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque d'événements indésirables incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage, pouvant varier en terme de sévérité et de durée après la naissance. Les réactions suivantes ont été rapportées : agitation, hypertonie, hypotonie, tremblements, somnolence, détresse respiratoire, troubles de l'alimentation.
En conséquence, les nouveau-nés doivent être étroitement surveillés
Allaitement
La lévomépromazine passe dans le lait maternel humain. Un risque pour le nourrisson allaité ne peut être exclu.
L'allaitement est déconseillé pendant la durée du traitement.
Fertilité
Il n'y a pas de données sur la fertilité chez les animaux.
La lévomépromazine peut entraîner une hyperprolactinémie et des troubles de la fonction de reproduction pouvant avoir un effet sur la fertilité féminine et/ou masculine.

Surdosage

Convulsions, syndrome parkinsonien gravissime, coma.
Traitement symptomatique, surveillance respiratoire et cardiaque continue (risque d'allongement de l'intervalle QT) qui sera poursuivie jusqu'à rétablissement du patient .

Interactions avec d'autres médicaments

Médicaments abaissant le seuil épileptogène
L'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant le seuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de la sévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment par la plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénones), la méfloquine, la chloroquine, le bupropion, le tramadol.
Médicaments atropiniques
Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc…
Les divers médicaments atropiniques sont représentés par les antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.
Médicaments sédatifs
Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.
Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes
Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (voir médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (voir médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis.
Les médicaments à l'origine de cet effet indésirable sont notamment des antiarythmiques de classe Ia et III, certains neuroleptiques.
D'autres molécules n'appartenant pas à ces classes sont également en cause.
Pour le dolasétron, l'érythromycine, la spiramycine et la vincamine, seules les formes administrées par voie intraveineuse sont concernées par cette interaction.
L'utilisation d'un médicament torsadogène avec un autre médicament torsadogène est contre-indiquée en règle générale.
Toutefois, certains d'entre eux, en raison de leur caractère incontournable, font exception à la règle, en étant seulement déconseillés avec les autres torsadogènes. Il s'agit de la méthadone, de l'hydroxychloroquine, des antiparasitaires (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine) et des neuroleptiques.
Cependant, le citalopram, l'escitalopram, la dompéridone, l'hydroxyzine et la pipéraquine ne suivent pas cet assouplissement, et sont contre-indiqués avec tous les torsadogènes.
Médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique
Outre les antihypertenseurs, de nombreux médicaments peuvent entraîner une hypotension orthostatique. C'est le cas notamment des dérivés nitrés, des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5, des alpha-bloquants à visée urologique, des antidépresseurs imipraminiques et des neuroleptiques phénothiaziniques, des agonistes dopaminergiques et de la lévodopa. Leur utilisation conjointe risque donc de majorer la fréquence et l'intensité de cet effet indésirable. Se reporter aux interactions propres à chaque classe, avec les niveaux de contrainte correspondants.
Associations contre-indiquées
+ Dopaminergiques hors Parkinson (cabergoline, quinagolide)
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.
+ Citalopram, escitalopram
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
+ Hydroxyzine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
+ Pipéraquine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
+ Dompéridone
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
+ Autres neuroleptiques susceptibles de donner des torsades de pointe (amisulpride, chlorpromazine, cyamémazine, dropéridol, flupenthixol, fluphénazine, halopéridol, pimozide, pipotiazine, pipamperone, sulpiride, sultopride, tiapride, zuclopenthixol)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Antiparasitaires susceptibles de donner des torsades de pointes (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
+ Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes (sauf antiparasitaires, neuroleptiques et méthadone, voir associations déconseillées):
antiarythmiques de classe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide),
antiarythmiques de classe III (amiodarone, sotalol),
autres médicaments tels que : arsénieux, diphémanil, dolasétron IV, dronédarone, érythromycine IV, méquitazine, mizolastine, moxifloxacine, prucalopride, spiramycine IV, torémifène, vandetanib, vincamine IV.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Alcool (boisson ou excipient)
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances.
L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
+ Lévodopa
Antagonisme réciproque de la lévodopa et des neuroleptiques.
Chez le patient parkinsonien, utiliser les doses minimales efficaces de chacun des deux médicaments.
+ Antiparkinsoniens dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, rasagiline, ropinirole, rotigotine, selegiline, tolcapone)
Antagonisme réciproque du dopaminergique et des neuroleptiques.
Le dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques. En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez le patient parkinsonien traité par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminués progressivement jusqu'à l'arrêt (leur arrêt brutal expose à un risque de « syndrome malin des neuroleptiques »).
+ Méthadone
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Hydroxycloroquine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Sodium (oxybate de)
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi :
+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque (bisoprolol, carvédilol, métoprolol, nébivolol)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif)
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Bradycardisants (notamment antiarythmiques de classe Ia, bêta-bloquants, certains antiarythmiques de classe III, certains antagonistes du calcium, digitaliques, pilocarpine, anticholinestérasiques)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Hypokaliémiants (diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés, laxatifs stimulants, glucocorticoïdes, tétracosactide et amphotéricine B par voie IV)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
+ Azithromycine, clarithromycine, roxithromycine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ Ciprofloxacine, lévofloxacine, norfloxacine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ Lithium
Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ou d'une intoxication au lithium.
Surveillance clinique et biologique (lithémie) régulière, notamment en début d'association.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Diminution de l'absorption digestive des neuroleptiques phénothiaziniques.
Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance des neuroleptiques phénothiaziniques (plus de 2 heures, si possible).
Ondansétron
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ Anagrélide
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
Associations à prendre en compte
+ Autres médicaments abaissant le seuil épileptogène
Risque accru de convulsions.
+ Autres médicaments atropiniques
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche…
+ Autres médicaments sédatifs
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Dapoxétine
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
+ Médicaments abaissant la pression artérielle
Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique.
+ Orlistat
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par orlistat.

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