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Lévobupivacaïne


Lévobupivacaïne - la lévobupivacaïne est un anesthésique local et un analgésique de longue durée d'action.


Lévobupivacaïne - Pharmacocinétique et effets indésirables. Les médicaments avec le principe actif Lévobupivacaïne - Medzai.net
Lévobupivacaïne - Pharmacocinétique et effets indésirables. Les médicaments avec le principe actif Lévobupivacaïne - Medzai.net
Dénomination commune internationale:
LEVOBUPIVACAINE
Numéro CAS:
27262-47-1
Formule brute:
C18H28N2O
Nomenclature de l'UICPA:
(2S)-1-butyl-N-(2,6-dimethylphenyl)piperidine-2-carboxamide

(2S)-1-butyl-N-(2,6-dimethylphenyl)-2-piperidinecarboxamide

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Composés chimiques

LÉVOBUPIVACAÏNE
Dénomination commune internationale:
LEVOBUPIVACAINE
Numéro CAS:
27262-47-1
Formule brute:
C18H28N2O
Nomenclature de l'UICPA:

(2S)-1-butyl-N-(2,6-dimethylphenyl)piperidine-2-carboxamide

(2S)-1-butyl-N-(2,6-dimethylphenyl)-2-piperidinecarboxamide

CHLORHYDRATE DE LÉVOBUPIVACAÏNE
Dénomination commune internationale:
LEVOBUPIVACAINE HYDROCHLORIDE
Numéro CAS:
27262-48-2
Formule brute:
C18H28N2O.ClH

Lévobupivacaïne - dans les pharmacopées des pays suivants:

Pharmacopée Française
lévobupivacaïne
- DCF (Dénominations Communes Françaises)
Pharmacopée japonaise
levobupivacaine hydrochloride
- JAN (Japanese Accepted Name)
Pharmacopée d'état de la Fédération de Russie
левобупивакаин
Pharmacopée américaine
levobupivacaine
- USP (United States Pharmacopeia)
Pharmacopée internationale
levobupivacainum
Pharmacopée chinoise
左布比卡因


Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Formes pharmaceutiques

  • solution injectable
  • solution injectable ou pour perfusion
  • solution injectable ou à diluer pour perfusion
  • solution injectable pour perfusion
  • solution pour perfusion

Pharmacodynamique

La lévobupivacaïne est un anesthésique local et un analgésique de longue durée d'action. Elle bloque la conduction des nerfs sensitifs et moteurs principalement par action sur les canaux sodiques de la membrane cellulaire, mais aussi en bloquant les canaux potassiques et calciques. De plus, la lévobupivacaïne interfère sur la transmission et la conduction de l'influx nerveux vers d'autres organes, où les effets sur le système cardiovasculaire et le SNC sont les plus importants pour l'apparition d'effets indésirables cliniques.
La dose de lévobupivacaïne est exprimée sous forme de base alors que la dose de bupivacaïne racémique est exprimée sous forme de chlorhydrate. Par comparaison avec la bupivacaïne, les solutions de lévobupivacaïne contiennent environ 13 % de plus de substance active. Dans les études cliniques, aux mêmes concentrations nominales, l'effet clinique de la lévobupivacaïne est similaire à celui de la bupivacaïne.
Dans une étude de pharmacologie clinique sur le nerf cubital, la lévobupivacaïne a eu une puissance égale à celle de la bupivacaïne.
Les données de sécurité concernant l'administration de lévobupivacaïne pendant des périodes excédant 24 heures sont limitées.

Pharmacocinétique

Pharmacocinétique - LÉVOBUPIVACAÏNE - usage parentéral

Absorption
La concentration plasmatique de lévobupivacaïne après administration à dose thérapeutique dépend de la dose et de la voie d'administration ; l'absorption à partir du site d'administration dépend de la vascularisation tissulaire.
Distribution
Au cours des études réalisées chez l'être humain, la cinétique de distribution de la lévobupivacaïne après une administration IV. est essentiellement similaire à celle de la bupivacaïne.
La liaison aux protéines plasmatiques chez l'homme a été étudiée in vitro et a été évaluée à plus de 97 % pour des concentrations allant de 0,1 à 1 μg/mL. Le volume de distribution après administration intraveineuse était de 67 litres.
Biotransformation
La lévobupivacaïne subit une importante métabolisation et il n'est pas retrouvé de lévobupivacaïne sous forme inchangée dans les urines ou les fèces. La 3-hydroxylévobupivacaïne, métabolite principal de la lévobupivacaïne, est excrétée dans les urines sous forme de glucurono et sulfo-conjugués. Les études in vitro ont montré que les isoformes CYP3A4 et CYP1A2 interviennent respectivement dans le métabolisme de la lévobupivacaïne en desbutyl-lévobupivacaïne et en 3-hydroxylévobupivacaïne. Ces études indiquent que le métabolisme de la lévobupivacaïne est essentiellement similaire à celui de la bupivacaïne.
Il n'existe aucune preuve de racémisation in vivo de la lévobupivacaïne
Élimination
Après administration intraveineuse, l'élimination de la lévobupivacaïne est quantitativement importante, avec une quantité totale moyenne d'environ 95 % retrouvés dans les urines (71 %) et les fèces (24 %) en 48 heures
Après administration, lors d'une étude de pharmacologie clinique, de 40 mg de lévobupivacaïne par voie intraveineuse, la demi-vie moyenne était d'environ 80 ± 22 minutes, la Cmax de 1,4 ± 0,2 μg/mL et l'ASC de 70 ± 27 μg.min/mL.
Linéarité/non-linéarité
La Cmax moyenne et l'ASC (0-24 h) étaient approximativement proportionnelles à la dose après administration péridurale de 75 mg (0,5 %) et 112,5 mg (0,75 %) et après administration de 1 mg/kg (0,25 %) et 2 mg/kg (0,5 %) pour un bloc du plexus brachial. Après administration péridurale de 112,5 mg (0,75 %), les valeurs de la Cmax moyenne et de l'ASC étaient respectivement de 0,58 μg/mL et 3,56 μg.h/mL.
Insuffisance hépatique et rénale
Il n'y pas de données pertinentes chez l'insuffisant hépatique .
Il n'y pas de données chez l'insuffisant rénal. La lévobupivacaïne est très fortement métabolisée et il n'y a pas d'excrétion de lévobupivacaïne sous forme inchangée dans les urines

Dosage

Dosage - LÉVOBUPIVACAÏNE - usage parentéral
Solution pour perfusion
La lévobupivacaïne devra être administrée uniquement par, ou sous la responsabilité d'un médecin ayant la formation et l'expérience nécessaires.
LÉVOBUPIVACAÏNE est à utiliser par voie péridurale uniquement. Il ne doit pas être utilisé pour une administration intraveineuse.
Type de bloc
Concentration
Débit de perfusion par heure
mg/mL
mL
mg
Perfusion continue : traitement des douleurs post-opératoires
0,625
20-30
12,5 - 18,75
Péridurale lombaire (douleurs de l'accouchement)
0,625
8-20
5 - 12,5
Une aspiration soigneuse avant l'injection est recommandée dans le but de prévenir toute injection intravasculaire. Si des symptômes de toxicité apparaissent, l'injection devra être arrêtée immédiatement.
Les données de sécurité d'un traitement par lévobupivacaïne pendant une période excédant 24 heures sont limitées. Afin de minimiser le risque de complications neurologiques sévères, il est recommandé de surveiller étroitement le patient et la durée d'administration de lévobupivacaïne .
Dose maximale
La dose maximale dépend de la taille, du poids et de l'état clinique du patient.
La dose maximale recommandée sur une période de 24 heures est de 400 mg.
Pour le traitement des douleurs post-opératoires, la dose ne doit pas dépasser 18,75 mg/heure, cependant la dose cumulée sur une période de 24 heures ne doit pas dépasser 400 mg. Pour l'analgésie obstétricale par perfusion péridurale, la dose ne doit pas dépasser 12,5 mg/heure.
Population pédiatrique
L'efficacité et la tolérance de la lévobupivacaïne pour le traitement de la douleur chez l'enfant n'ont pas été établies.
Population particulière
Chez les patients fragilisés, âgés ou présentant une pathologie aiguë, les doses de lévobupivacaïne devront être réduites en fonction de leur état clinique.
Dans la prise en charge des douleurs post-opératoires, les doses administrées au cours de la chirurgie doivent être prises en compte.
Il n'y a pas de données pertinentes chez le patient insuffisant hépatique

Indications

Indications - LÉVOBUPIVACAÏNE - usage systémique
Adulte
Traitement de la douleur :
Perfusion péridurale continue pour le traitement des douleurs post-opératoires ou de l'accouchement.

Effets indésirables

Effets indésirables - LÉVOBUPIVACAÏNE - usage systémique
Les effets indésirables observés avec la lévobupivacaïne sont comparables à ceux connus pour la classe de médicaments à laquelle il appartient.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont : hypotension, nausées, anémie, vomissements, étourdissements, céphalées, fièvre, douleur liée à la procédure, douleur dorsale et détresse fœtale en utilisation obstétrique (voir tableau ci-dessous).
Les effets indésirables rapportés spontanément ou observés au cours d'essais cliniques sont présentés dans le tableau ci-dessous. Au sein de chaque classe de système-organe, les effets indésirables sont présentés par fréquence, selon la convention suivante : très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquents (≥ 1/1 000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classe de système-organe
Fréquence
Effet indésirable
Affections hématologiques et du système lymphatique
Très fréquent
Anémie
Affections du système immunitaire
Fréquence indéterminée
Réactions allergiques (dans des cas graves choc anaphylactique)
Hypersensibilité
Affections du système nerveux
Fréquent
Etourdissements
Céphalées
Fréquence indéterminée
Convulsions
Perte de conscience
Somnolence
Syncope
Paresthésie
Paraplégie
Paralysie1
Affections oculaires
Affections oculaires
Vision trouble
Ptose2
Myosis2
Enophtalmie2
Affections cardiaques
Fréquence indéterminée
Bloc auriculo-ventriculaire
Arrêt cardiaque
Tachyarythmie ventriculaire
Tachycardie
Bradycardie
Affections vasculaires
Très fréquent
Hypotension
Fréquence indéterminée
Vasodilation2
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquence indéterminée
Arrêt respiratoire
Œdème laryngé
Apnée
Eternuements
Affections gastro-intestinales
Très fréquent
Nausées
Fréquent
Vomissements
Fréquence indéterminée
Hypoesthésie orale
Perte de contrôle sphinctérien1
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquence indéterminée
Angiœdeme
Urticaire
Prurit
Hyperhidrose
Anhidrose2
Erythème
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Fréquent
Douleurs dorsales
Fréquence indéterminée
Contractions musculaires
Faiblesse musculaire
Affections du rein et des voies urinaires
Fréquence indéterminée
Dysfonctionnement vésical1
Affections gravidiques puerpérales et périnatales
Fréquent
Détresse fœtale
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquence indéterminée
Priapisme1
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent
Fièvre
Investigations
Fréquence indéterminée
Diminution du débit cardiaque
Modifications de l'ECG
Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
Fréquent
Douleur liée à la procédure
Les effets indésirables sont rares avec les anesthésiques locaux à liaison amide, mais ils peuvent survenir suite à un surdosage ou à une injection intravasculaire accidentelle et peuvent être graves.
Une sensibilité croisée au sein du groupe des anesthésiques locaux à liaison amide a été rapportée .
Une injection intrathécale accidentelle d'anesthésiques locaux peut entraîner une anesthésie rachidienne haute.
Les effets cardiovasculaires sont liés à la dépression de la conduction cardiaque, à une réduction de l'excitabilité et de la contractibilité du myocarde. Généralement, ces symptômes sont précédés par des signes majeurs de toxicité neurologique (c'est-à-dire des convulsions) mais, dans de rares cas, l'arrêt cardiaque peut se produire sans prodromes neurologiques.
Les lésions neurologiques sont rares mais bien connues comme conséquence de l'anesthésie loco-régionale, particulièrement l'anesthésie péridurale et rachidienne. Elles peuvent être dues à une lésion directe de la moelle épinière ou des nerfs rachidiens, au syndrome de l'artère spinale antérieure, à l'injection d'une substance irritante ou d'une solution non stérile. Ces lésions sont rarement permanentes.
Des cas de faiblesse prolongée ou de troubles sensoriels, dont certains ont pu être permanents, ont été rapportés en association avec l'administration de lévobupivacaïne. Il est difficile de déterminer si les effets à long terme ont été dus à une toxicité du médicament ou à un traumatisme non détecté pendant l'intervention chirurgicale ou à d'autres facteurs mécaniques, tels que l'insertion et la manipulation d'un cathéter.
Des cas de syndrome de la queue de cheval ou de signes ou symptômes de lésion potentielle de la base de la moelle épinière ou des racines des nerfs rachidiens (incluant paresthésie, faiblesse ou paralysie des membres inférieurs, incontinence fécale et/ou urinaire et priapisme) associés à l'administration de lévobupivacaïne ont été rapportés. Ces effets ont été plus graves et dans certains cas non réversibles lorsque la lévobupivacaïne a été administrée pendant plus de 24 heures .
Cependant, il n'est pas possible de déterminer si ces événements sont dus à un effet de la lévobupivacaïne, à un traumatisme mécanique de la moelle épinière ou des racines nerveuses rachidiennes, ou à une collection de sang à la base du rachis.
Des cas de syndrome de Horner transitoire (ptose, myosis, énophtalmie, sudation et/ou rougeur unilatérales) ont été rapportés en association avec l'utilisation d'anesthésiques locorégionaux incluant la lévobupivacaïne. Cet événement se résout après l'arrêt du traitement.

Surdosage

L'injection intravasculaire accidentelle d'anesthésiques locaux peut donner lieu à des réactions toxiques immédiates. En cas de surdosage, le pic de concentration plasmatique peut n'être atteint qu'après un délai de 2 heures suivant l'administration, en fonction du site d'injection, les signes de toxicité pouvant donc apparaître de façon retardée. Les effets du médicament peuvent être prolongés.
Les effets indésirables systémiques liés à un surdosage ou à une injection intravasculaire accidentelle décrits avec les anesthésiques locaux de longue durée d'action, affectent à la fois le système cardiovasculaire et le SNC.
Effets sur le SNC
Les convulsions seront traitées immédiatement par administration intraveineuse de thiopental ou de diazépam à la dose requise. Le thiopental et le diazépam possèdent également un effet dépresseur sur le système nerveux central ainsi que sur les fonctions respiratoires et cardiaques. Leur utilisation peut donc entraîner une apnée. Les agents provoquant un bloc neuro-musculaire ne pourront être utilisés que si le clinicien est capable d'effectuer une intubation trachéale et de prendre en charge un patient totalement paralysé.
Si elles ne sont pas traitées rapidement, les convulsions, l'hypoxie et l'hypercapnie qui s'en suivent ainsi que la dépression myocardique liée aux effets cardiaques de l'anesthésique local, peuvent provoquer une arythmie, une fibrillation ventriculaire ou un arrêt cardiaque.
Effets cardiovasculaires
L'hypotension peut être évitée ou limitée par des mesures préventives telles que remplissage vasculaire et/ou utilisation de vasopresseurs. Si une hypotension survient, elle sera prise en charge par administration intraveineuse d'un soluté cristalloïde ou colloïde et/ou par administration de doses croissantes de vasopresseur tel que l'éphédrine (5-10 mg). Tout facteur associé d'hypotension devra être rapidement pris en charge.
En cas de survenue d'une bradycardie sévère, un traitement par atropine (0,3 à 1 mg) assure en général le retour du rythme cardiaque à un niveau acceptable.
Une arythmie cardiaque sera prise en charge de façon appropriée et une fibrillation ventriculaire sera traitée par cardioversion.

Grossesse/Allaitement

Grossesse
Les solutions de lévobupivacaïne sont contre-indiquées pour l'utilisation en bloc paracervical en obstétrique. En se basant sur l'expérience acquise avec la bupivacaïne, il est possible qu'une bradycardie fœtale survienne après un bloc paracervical .
Pour la lévobupivacaïne, il n'y a pas de données cliniques sur les grossesses exposées au premier trimestre. Les études conduites chez l'animal, au cours desquelles l'exposition systémique était de même ordre que celle obtenue en clinique, n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène mais ont révélé une toxicité embryo-fœtale . Les conséquences dans l'espèce humaine ne sont pas connues. Par conséquent, la lévobupivacaïne ne doit pas être utilisée en début de grossesse sauf en cas de nécessité absolue.
Toutefois, à ce jour, les données cliniques relatives à l'utilisation de la bupivacaïne en chirurgie obstétricale (au terme de la grossesse ou pour l'accouchement) sont nombreuses et n'ont pas mis en évidence de fœtotoxicité.
Allaitement
Il n'y a pas de données disponibles sur l'excrétion de la lévobupivacaïne dans le lait maternel. Cependant, la lévobupivacaïne est probablement faiblement excrétée dans le lait maternel, comme la bupivacaïne. Par conséquent, l'allaitement est possible après une anesthésie locale.
Fertilité
Les données permettant d'évaluer l'impact de la lévobupivacaïne sur la fertilité sont absentes ou très limitées.

Interactions avec d'autres médicaments

Les études in vitro ont montré que les isoformes CYP3A4 et CYP1A2 interviennent dans le métabolisme de la lévobupivacaïne. Bien qu'il n'ait pas été réalisé d'études cliniques, il est possible que le métabolisme de la lévobupivacaïne soit altéré par les inhibiteurs du CYP3A4 comme le kétoconazole et les inhibiteurs du CYP1A2 comme les méthylxanthines.
La lévobupivacaïne doit être utilisée avec prudence chez les patients recevant des antiarythmiques ayant une activité anesthésique locale (méxilétine ou antiarythmiques de classe III), car leurs effets toxiques peuvent être additifs.
Il n'a pas été réalisé d'études cliniques évaluant l'association de lévobupivacaïne et d'adrénaline

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