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Advileff - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Advileff appartient au groupe appelés AINS Acides 2-arylpropioniques dérivés (profènes) . Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - M01AE01.

Principe actif: IBUPROFÈNE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

PFIZER SANTE FAMILIALE (FRANCE) - Advileff 200 mg- comprimé effervescent(e) - 200 mg - - 2009-10-20


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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé effervescente - 200 mg

Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Le médicament Advileff enregistré en France

Advileff 200 mg comprimé effervescent(e)

PFIZER SANTE FAMILIALE (FRANCE)
Dosage: 200 mg

Composition et Présentations

IBUPROFÈNE200 mg

Posologie et mode d'emploi Advileff 200 mg comprimé effervescent(e)

Voie orale.
Le traitement doit être de courte durée.
Utiliser la dose efficace minimale, pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes .
Si malgré le traitement les douleurs persistent plus de 5 jours, la fièvre plus de 3 jours, ou si les symptômes s'aggravent, le patient doit consulter un médecin.
Les comprimés effervescents devront être dissouts dans un verre d'eau, et la solution bue immédiatement après dissolution.
Ne pas avaler le comprimé effervescent tel quel.
En cas de digestion difficile, il est recommandé de prendre ce médicament en même temps que du lait ou des aliments pour éviter des troubles gastro-intestinaux.

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Présentations et l’emballage extérieur


Comment utiliser, Mode d'emploi - Advileff

Indications

Ce médicament est indiqué chez l'adulte et l'enfant de plus de 20 kg (environ 6 ans) dans le traitement de la fièvre et des douleurs légères à modérées telles que:
maux de tête,
douleurs musculaires,
règles douloureuses/dysménorrhée,
douleurs dentaires,
états grippaux
douleurs associées à un rhume.

Pharmacodynamique

L'ibuprofène est un AINS, dérivé de l'acide phénylpropionique, ayant démontré une efficacité par inhibition de la synthèse des prostaglandines.
Chez l'homme, l'ibuprofène diminue les douleurs inflammatoires, les œdèmes et la fièvre.
Par ailleurs, l'ibuprofène inhibe l'agrégation plaquettaire (phénomène réversible).
Dans les essais cliniques réalisés avec des comprimés effervescents d'ibuprofène, les taux plasmatiques sont liés à l'apparition rapide d'un effet analgésique, un premier soulagement de la douleur apparaissant environ 30 à 40 minutes après la prise.
Après la prise d'une dose de 400 mg d'ibuprofène, l'effet analgésique dure environ 8 heures.
Dans la plupart des essais cliniques, l'apparition d'un soulagement significatif de la douleur a été plus rapide, plus important et plus durable avec l'ibuprofène qu'avec le paracétamol.
Des données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène puisse inhiber l'effet antiagrégant plaquettaire de l'aspirine à faible dose, lorsque qu'ils sont administrés simultanément.
Au cours d'une étude, après prise unique d'ibuprofène (400 mg) dans les 8 heures précédant, ou dans les 30 minutes suivant, la prise d'aspirine à libération immédiate (81 mg), il a été constaté une diminution de l'action de l'acide acétylsalicylique sur la formation de thromboxane ou sur l'agrégation plaquettaire,
Toutefois, les limites de ces données ex vivo et les incertitudes quant à leur extrapolation en clinique, ne permettent pas d'émettre de conclusion formelle en cas d'usage régulier de l'ibuprofène.
En ce qui concerne l'ibuprofène utilisé de façon occasionnelle, la survenue d'un effet cliniquement pertinent parait peu probable.

Pharmacocinétique

Administré par voie orale, l'ibuprofène effervescent, solubilisé, est rapidement absorbé lorsque les comprimés sont administrés à jeun. Le Cmax est obtenu en 0,36 heure (approximativement 22 minutes) comparativement à 45 - 90 minutes pour les comprimés pelliculés conventionnels.
Lors d'administration en même temps que des aliments, la concentration sérique est observée en 1 à 2 heures pour les comprimés pelliculés conventionnels.
L'ibuprofène est lié aux protéines plasmatiques à approximativement 99 %.
Après prise orale, l'ibuprofène est excrété à 75 - 85 % par les reins dans les premières 24 heures (principalement sous forme de 2 métabolites), le restant étant éliminé dans les fèces après excrétion biliaire.
L'excrétion est totale dans les 24 heures.
La demi-vie de l'ibuprofène est d'environ 2 heures.
Dans quelques études, l'ibuprofène passe dans le lait maternel à très faible concentration.

Effets indésirables

Réactions d'hyper-sensibilité
a) Anaphylaxies et réactions allergiques non spécifiques
b) Réactivité du tractus respiratoire comprenant bronchospasme, asthme, asthme aggravé ou dyspnée.
c) Réactions cutanées diverses: rarement dermatoses exfoliatives et bulleuses (telles que nécrolyse épidermique, érythèmes multiformes), angio-œdème, prurit et urticaire.
Les effets indésirables suivants ont été rapportés à la suite de prise d'ibuprofène aux doses habituelles (automédication) lors d'un traitement de courte durée.
La prise chronique d'ibuprofène, lors d'un traitement de longue durée peut donner lieu à d'autres effets indésirables.
Les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de fréquence avec les conventions suivantes:
très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à <1/10), peu fréquent (≥ 1/1000 à < 1/100), rare (≥ 1/10 000 à < 1/1000), très rare (≥ 1/10 000).
Dans chaque groupe, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante:
Investigations
Très rare
Diminution de l'hématocrite et du taux d'hémoglobine
Troubles cardiaques
Très rare
Insuffisance cardiaque
Troubles sanguins et lymphatiques
Très rare
Troubles hématopoïétiques: pancytopénie, agranulocytose, anémie médullaire, anémie hémolytique, leucopénie, thrombocytopénie, anémie. Les premiers signes sont: fièvre, mal de gorge, ulcère buccal superficiel, symptômes pseudo-grippaux, asthénie, saignements du nez et de la peau
Troubles du système nerveux central
Peu fréquent
Sensations vertigineuse et céphalées
Troubles de la vision
Très rare
Troubles de la vision
Troubles de l'oreille interne
Très rare
Acouphène et vertige
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Très rare
Asthme, bronchospasme, dyspnée et respiration sifflante
Troubles gastro-intestinaux
Peu fréquent
Douleurs abdominales, dyspepsie, nausées, ballonnements, gastrite
Rare
Diarrhée, flatulence, constipation et vomissements
Très rare
Ulcère peptique, perforation ou hémorragie gastro-intestinale, parfois fatale, en particulier chez le sujet âgé.
Exacerbation d'une colite ulcérative ou d'une maladie de Crohn . Ulcération buccale.
Troubles rénaux et urinaires
Très rare
Insuffisance rénale sévère, néphrite interstitielle, insuffisance rénale, syndrome néphrotique, nécrose papillaire rénale, hématurie et protéinurie
Troubles cutanés et sous-cutanés
Peu fréquent
Rashs cutanés divers
Très rare
Réactions cutanées sévères, telles que érythème multiforme, nécrolyse toxi-épidermique. Syndrome de Stevens -Johnson.
Infections
Très rare
Méningite aseptique
Troubles vasculaires
Très rare
Hypertension
Troubles généraux
Très rare
Œdème, œdème périphérique
Troubles du système immunitaire et anomalie au
Peu fréquent
Réactions d'hypersensibilité avec urticaire et prurit
site d'administration
Très rare
Chez les patients souffrant de maladie auto-immune (tels que lupus érythémateux disséminé, connectivite mixte), lors d'un traitement par l'ibuprofène, des cas isolés de symptômes de méningite aseptique (tels que raideur de la nuque, maux de tête, nausées, vomissements, fièvre ou désorientation) ont été observés
Réaction d'hypersensibilité sévère: possibles gonflements du visage, de la langue et du larynx, dyspnée, tachycardie, hypotension (anaphylaxie, angio-œdème ou choc sévère).
Exacerbation de l'asthme et bronchospasme.
Troubles hépatobiliaires
Très rare
Troubles hépatiques, particulièrement lors de traitement de longue durée, hépatite, ictère
Troubles psychiatriques
Très rare
Nervosité
Œdème, hypertension et insuffisance cardiaque ont été reportés lors de traitement associés à des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que la prise d'ibuprofène, en particulier à dose élevée (2400mg par jour) et sur une longue durée de traitement, puisse être associée à une légère augmentation du risque d'évènement thrombotique artériel, (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) .

Contre-indications

Hypersensibilité à l'ibuprofène ou à l'un des excipients.
Antécédents de réactions d'hypersensibilité (par ex: asthme, rhinite ou urticaire) lors de la prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres AINS.
Antécédents d'ulcère peptique ou ulcère peptique actif
Hémorragie ou perforation digestives, antécédents d'hémorragie ou perforation digestives y compris celles survenues lors d'un précédent traitement par AINS (deux épisodes distincts, ou plus, d'ulcération ou d'hémorragie)
Diathèses hémorragiques ou troubles de la coagulation.
Insuffisance hépatocellulaire sévère
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance cardiaque sévère .
Association avec d'autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 .
A partir du 3ème trimestre de grossesse .

Grossesse/Allaitement

Grossesse
L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter défavorablement le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l'embryon ou du fœtus.
Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse.
Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1%, à approximativement 1,5 %.
Le risque semble augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement.
Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue, et une augmentation de la létalité embryo-fœtale.
De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d'organogénèse de la gestation.
Sauf nécessité absolue, l'ibuprofène ne doit donc pas être prescrit au cours des premier et deuxième trimestres de grossesse.
Si l'ibuprofène est administré chez une femme souhaitant être enceinte, ou lors des premier et deuxième trimestres de la grossesse, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible.
Pendant le troisième trimestre de grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à:
une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire).
un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligohydramnios.
En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter:
un allongement du temps de saignement du fait d'une action anti-agrégante, pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament;
une inhibition des contractions utérines entraînant un retard ou une prolongation du travail.
En conséquence, l'ibuprofène est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse.
Allaitement
Dans un nombre réduit d'études, l'ibuprofène apparaît dans le lait maternel en très faible concentration.
Fertilité
Les inhibiteurs de la cyclooxygénase et de la synthèse des prostaglandines peuvent troubler la fertilité, en modifiant l'ovulation chez la femme en âge de procréer: cet effet est réversible à l'arrêt du traitement.

Surdosage

Chez l'enfant, l'administration de plus de 400 mg/kg peut être à l'origine de troubles.
Chez l'adulte, le rapport effet/dose est moins net.
La demi-vie, en cas de surdosage, est de 1,5 à 3 heures.
Symptômes
Nausées, vomissements, douleurs épigastriques, plus rarement diarrhées, chez la plupart des patients qui ont ingérés d'importantes quantités d'AINS.
Acouphènes, céphalées et hémorragies gastro-intestinales sont également possibles.
Dans les cas d'intoxication plus grave, on observe:
une toxicité au niveau du système nerveux central (somnolence, occasionnellement excitation, désorientation ou coma);
occasionnellement des convulsions.
Dans les cas d'intoxication grave:
possibilité d'acidose métabolique, d'allongement du temps de prothrombine /INR probablement lié à l'interaction avec des facteurs de coagulation;
possibilité d'insuffisance rénale aigüe, de lésions hépatiques;
possibilité d'exacerbation de l'asthme chez les asthmatiques.
Traitement
Le traitement doit être symptomatique et inclure la désobstruction des voies aériennes supérieures, une surveillance cardiaque et une stabilisation des paramètres vitaux.
Administrer du charbon activé par voie orale, si le patient se présente dans l'heure suivant l'ingestion de doses potentiellement toxiques.
En cas de convulsions fréquentes et prolongées, traiter par diazépam ou lorazépam par voie intraveineuse.
Administrer des bronchodilatateurs pour l'asthme.

Interactions avec d'autres médicaments

Associations contre-indiquées
+ Acide acétylsalicylique (> à 75 mg / jour):
Augmentation possible du risque d'effets indésirables .
+ Autres AINS:
Augmentation possible du risque d'effets indésirables .
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Acide acétylsalicylique, à des doses anti-agrégantes:
Majoration possible du risque d'hémorragie gastro-intestinale et diminution de l'activité de l'acide acétylsalicylique.
+ Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS):
Augmentation possible du risque d'hémorragie gastro-intestinale.
+ Corticostéroïdes:
Augmentation possible du risque d'effets indésirables, particulièrement au niveau du tractus gastro-intestinal .
+ Antihypertenseurs et diurétiques:
Les AINS peuvent diminuer l'efficacité de ces médicaments: en particulier, l'association concomitante avec les diurétiques épargneurs de potassium peut augmenter les risques d'hyperkaliémie.
+ Anticoagulants:
Les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants, tels que warfarine et ticlopidine .
+ Lithium:
Augmentation possible de la lithémie
+ Méthotrexate:
Augmentation possible du taux sanguin de méthotrexate.
+ Cyclosporine:
Augmentation possible de la concentration plasmatique de la cyclosporine et de sa néphrotoxicité, en raison de l'inhibition, par les AINS, de l'activité des prostaglandines rénales.
+ Zidovudine:
Risque accru d'hémarthrose et d'hématome chez les patients hémophiles VIH positif traités par l'association zidovudine-ibuprofène.
Des données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène pourrait inhiber l'effet de faibles doses d'aspirine sur l'agrégation plaquettaire lorsqu'ils sont pris en association.
Toutefois, les limites de ces données ex vivo, et les incertitudes quant à leur extrapolation en clinique, ne permettent pas d'émettre de conclusion formelle pour ce qui est de l'usage régulier de l'ibuprofène; en ce qui concerne l'ibuprofène utilisé de façon occasionnelle, la survenue d'un effet cliniquement pertinent paraît peu probable .

Mises en garde et précautions

Une attention particulière est requise chez certains patients en cas de:
Lupus érythémateux disséminé, y compris connectivite mixte: risque accru de méningite aseptique .
Troubles gastro-intestinaux et maladies inflammatoires intestinales chroniques: aggravation possible de colite ulcérative, de maladie de Crohn .
Œdème, hypertension et/ou atteinte cardiaque: éventuelle détérioration de la fonction rénale et/ou d'une rétention hydrosodée .
Atteinte rénale: éventuelle détérioration de la fonction rénale .
Dysfonctionnement hépatique .
Patients souffrant d'asthme bronchique, d'allergies, ou ayant des antécédents d'asthme: risque accru de bronchospasme.
La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par la prise de la dose efficace la plus faible possible pendant la durée la plus courte possible (voir risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires ci-dessous).
Les sujets âgés présentent un risque accru d'effets indésirables.
Effets gastro-intestinaux
Des hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les AINS, à n'importe quel moment du traitement, sans qu'il y ait eu nécessairement de signes d'alerte ou d'antécédents d'effets indésirables gastro-intestinaux graves.
Arrêter immédiatement le traitement, en cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez un patient recevant de l'ibuprofène.
Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, particulièrement les sujets âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (saignements gastro-intestinaux en particulier), notamment en début de traitement.
Une attention particulière doit être portée aux patients recevant des traitements associés susceptibles d'augmenter le risque d'ulcération ou d'hémorragie, comme les corticostéroïdes, les anticoagulants tels que la warfarine, les antiagrégants plaquettaires tels que l'acide acétylsalicylique .
Une attention particulière doit aussi être portée aux patients prenant des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS).
L'administration d'ibuprofène chez des patients consommant quotidiennement trois verres standards d'alcool, ou plus, peut provoquer une hémorragie gastro-intestinale.
Effets cardiovasculaires et cérébrovasculaires
Une attention particulière (en parler à un médecin ou à un pharmacien) est requise avant tout traitement chez les patients ayant des antécédents d'hypertension et/ou de défaillance cardiovasculaire, en raison de cas de rétention hydrosodée, d'hypertension et d'œdème rapportés en association avec un traitement par AINS .
Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation de l'ibuprofène, surtout lorsqu'il est utilisé à dose élevée (2400 mg par jour) et sur une longue durée, puisse être associée à une légère augmentation du risque d'évènement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
Toutefois, les données épidémiologiques ne suggèrent pas que les faibles doses d'ibuprofène (ex:≤1200 mg par jour) soient associées à une augmentation du risque d'infarctus du myocarde.
Réactions cutanées
Des réactions cutanées graves, certaines d'évolution fatale, incluant des dermatites exfoliatives, des syndromes de Stevens-Johnson et de Lyell ont été très rarement rapportées lors de traitements par AINS .
L'incidence de ces effets indésirables semble plus importante en début de traitement, le délai d'apparition se situant, dans la majorité des cas, pendant le premier mois de traitement.
ARRETER ADVIL 200 mg comprimé effervescent, dès l'apparition d'un rash cutané, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d'hypersensibilité.
L'administration d'AINS peut masquer les symptômes d'une infection.
Ce médicament contient 2,2 mmol (85 mg) de potassium par comprimé effervescent: en tenir compte chez les patients présentant une diminution de la fonction rénale, ou chez les patients suivant un régime contrôlé en potassium.
Ce médicament contient 8,8 mmol (204 mg) de sodium par comprimé effervescent: en tenir compte chez les patients suivant un régime contrôlé en sodium.
Ce médicament contient du saccharose: ne pas administrer aux patients souffrant de rares problèmes héréditaires d'intolérance au fructose, de malabsorption du glucose et du galactose ou d'un déficit en sucrase-isomaltase.

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