Oxycodone ACCORD LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
ACCORD HEALTHCARE FRANCE (FRANCE)
Dosage: 10 mg
Composition et Présentations
CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone ACCORD LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
Réservé à l'adulte
Comme pour tous les médicaments antalgiques, la posologie doit être adaptée à l'intensité de la douleur, à la quantité d'antalgique prise antérieurement et à la réponse clinique de chaque patient.
Posologie initiale
Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois
Utiliser le dosage 10 mg toutes les 12 heures.
Patients antérieurement traités par des opioïdes forts
La dose initiale est à déterminer en fonction de l'équivalent de la dose quotidienne de morphine prise antérieurement. A titre indicatif et en l'absence d'équivalence clairement établie, le rapport d'équianalgésie est le suivant : 10 mg d'oxycodone par voie orale sont équivalents à 20 mg de morphine orale. La dose d'oxycodone sera donc environ la moitié de la dose de morphine administrée précédemment.
Patients âgés, patients amaigris
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible, 5 mg toutes les 12 heures afin de minimiser l'incidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l'état clinique du patient.
Patients présentant une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opioïdes) et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Fréquence de l'évaluation
Il ne faut pas s'attarder sur une posologie qui s'avère inefficace. Le patient doit donc être vu de manière rapprochée jusqu'à ce que la douleur soit contrôlée. Dans la pratique, une évaluation quotidienne est recommandée en début de traitement.
Augmentation de la dose
Si la douleur n'est pas contrôlée, il convient d'augmenter les doses de 25 à 50 %, en conservant un intervalle de 12 h entre les prises. Dans ce processus d'ajustement des doses, il n'y a pas de limite supérieure tant que les effets indésirables sont contrôlés.
Changement de forme pharmaceutique
En cas de passage d'une forme à libération immédiate à une forme à libération prolongée, la posologie quotidienne sera inchangée.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
Mode d'administration
Voie orale.
Les comprimés doivent être avalés entiers sans être cassés, mâchés ou écrasés.
La posologie quotidienne totale doit être répartie en deux prises, le plus souvent équivalentes, à 12 heures d'intervalle.
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone comprimé pelliculé à libération prolongée est disponible dans les emballages suivants:
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 10 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 14 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 30 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 20 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 28 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 50 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 56 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 98 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) aluminium PVC polyéthylène PVDC de 100 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
1 flacon(s) polyéthylène haute densité (PEHD) de 10 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
1 flacon(s) polyéthylène haute densité (PEHD) de 20 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
1 flacon(s) polyéthylène haute densité (PEHD) de 30 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
1 flacon(s) polyéthylène haute densité (PEHD) de 50 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
1 flacon(s) polyéthylène haute densité (PEHD) de 100 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone AGUETTANT 10 mg/mL solution injectable
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE)
Dosage: 9 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
9 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone AGUETTANT 10 mg/mL solution injectable
Réservé à l'adulte.
La relation dose-efficacité-tolérance est très variable d'un patient à l'autre. Il est donc important d'évaluer fréquemment l'efficacité et la tolérance, et d'adapter la posologie progressivement en fonction des besoins du patient (cf. adaptation de posologie). Il n'y a pas de dose maximale tant que les effets secondaires peuvent être contrôlés.
Ordre d'équivalence des doses selon la voie d'administration, à titre indicatif :
Voie orale
SC
IV
1 mg
0,5 mg
0,5 mg
L'administration simultanée d'oxycodone par deux voies d'administration différentes est à éviter car elle expose à un risque de surdosage en raison des différences de cinétiques entre les différentes voies d'administration orale et injectable.
Voies d'administration
Injection intraveineuse ou perfusion intraveineuse
Injection sous-cutanée ou perfusion sous-cutanée
Posologie initiale
La posologie dépend de I'intensité de la douleur, de l'état général du patient et des traitements antérieurs ou concomitants.
Traitement des douleurs chroniques d'origine cancéreuse
Voies IV et Sous-cutanée.
Chez les patients recevant des opioïdes forts pour la première fois
La dose initiale est de 0,125 mg/kg/jour (environ 7,5 mg/jour), de préférence en perfusion continue plutôt qu'en injections itératives toutes les quatre à six heures.
Chez les patients recevant déjà de l'oxycodone par voie orale
La dose initiale est calculée à partir du ratio suivant : 2 mg d'oxycodone orale est équivalent à 1 mg d'oxycodone injectable. Ce ratio est donné à titre indicatif, la variabilité inter-patient nécessite de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée.
Chez les patients présentant des douleurs d'intensité variable dans la journée
Il est possible d'utiliser un système d'analgésie contrôlée par le patient ; la perfusion continue à la posologie habituelle sera alors associée à des bolus auto-administrables, dont la dose sera environ équivalente une heure de perfusion, suivi d'une période sans injection possible (période réfractaire) de 5 minutes minimum.
A titre indicatif, le rapport d'équianalgésie oxycodone injectable/morphine injectable est en moyenne de 1:1. Ce ratio est donné à titre indicatif, la variabilité interindividuelle nécessitant de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée.
Patients âgés, patients amaigris
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible afin de minimiser l'incidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l'état clinique du patient.
Patients présentant une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de %, et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Adaptation de la posologie
Elle se justifie lorsque les doses antérieurement prescrites se révèlent insuffisantes.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone solution injectable est disponible dans les emballages suivants:
5 ampoule(s) en verre de 1 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2016-07-21
5 ampoule(s) en verre de 2 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2016-07-20
5 ampoule(s) en verre de 20 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2016-07-20
Oxycodone ARROW 10 mg gélule
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Dosage: 8,96 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
8,96 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone ARROW 10 mg gélule
Réservé à l'adulte.
Comme pour tous les médicaments antalgiques, la posologie doit être adaptée à l'intensité de la douleur, à la quantité d'antalgique prise antérieurement et à la réponse clinique de chaque patient.
Posologie initiale
Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois
Utiliser le dosage 5 mg toutes les 4 à 6 heures.
Patients antérieurement traités par des opioïdes forts
La dose initiale est à déterminer en fonction de l'équivalent de la dose quotidienne de morphine prise antérieurement. A titre indicatif et en absence d'équivalence clairement établie, le rapport d'équianalgésie est le suivant: 10 mg d'oxycodone par voie orale sont équivalents à 20 mg de morphine orale. La dose d'oxycodone sera donc environ la moitié de la dose de morphine administrée précédemment.
Patients âgés, patients amaigris
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible, 5 mg toutes les 4 à 6 heures afin de minimiser lincidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l'état clinique du patient.
Patients présentant une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opioïdes), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Adaptation de la posologie
Elle se justifie lorsque les doses antérieurement prescrites se révèlent insuffisantes.
Fréquence de l'évaluation
Il ne faut pas s'attarder sur une posologie qui s'avère inefficace. Le patient doit donc être vu de manière rapprochée jusqu'à ce que la douleur soit contrôlée. Dans la pratique, une évaluation quotidienne est recommandée en début de traitement.
Augmentation de la dose
Si la douleur n'est pas contrôlée, il convient d'augmenter les doses de 25 à 50 % :
soit en réduisant l'intervalle entre les prises (si la douleur est contrôlée au début mais pas en fin d'intervalle),
soit en augmentant la dose à chaque prise (si la douleur n'est pas contrôlée à aucun moment de l'intervalle entre 2 prises).
Dans ce processus d'ajustement de dose, il n'y a pas de limite supérieure tant que les effets indésirables sont contrôlés.
Changement de forme pharmaceutique
En cas de passage d'une forme à libération immédiate à une forme à libération prolongée, la posologie quotidienne sera inchangée.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
Mode d'administration
Voie orale.
Avec les formes à libération immédiate, la posologie quotidienne totale est généralement divisée en plusieurs doses équivalentes administrées toutes les 4 à 6 heures.
OXYCODONE ARROW peut aussi être utilisé pour le traitement des accès douloureux non contrôlés par le traitement de fond (en particulier chez les patients traités par oxycodone à libération prolongée).
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone gélule est disponible dans les emballages suivants:
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 14 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2017-05-03
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 20 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 28 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 30 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 56 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 50 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone ARROW 5 mg gélule
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Dosage: 4,48 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
4,48 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
5 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone ARROW 5 mg gélule
Comprimé pelliculé à libération prolongée
La posologie dépend de l'intensité de la douleur et de la susceptibilité individuelle du patient au traitement. Les recommandations posologiques générales sont les suivantes :
Adultes et adolescents de 12 ans et plus
Titration et ajustement posologique
En général, la posologie initiale chez les patients naïfs d'opioïdes est de 10 mg de chlorhydrate d'oxycodone administrés à 12 heures d'intervalle. Certains patients peuvent bénéficier d'une posologie initiale de 5 mg de chlorhydrate d'oxycodone afin de minimiser l'incidence des effets indésirables.
Les patients recevant déjà un traitement par opioïdes peuvent débuter le traitement à des posologies plus élevées compte tenu de leur expérience préalable des traitements par opioïdes.
Pour les posologies non réalisables/praticables avec ce dosage, d'autres dosages de ce médicament sont disponibles.
D'après des études cliniques contrôlées, 10 à 13 mg de chlorhydrate d'oxycodone correspondent approximativement à 20 mg de sulfate de morphine, chacun dans la formulation à libération prolongée.
En raison des différences individuelles de sensibilité aux divers opioïdes, il est recommandé de commencer le traitement des patients par Oxycodone de façon conventionnelle après conversion à partir d'autres opioïdes, avec 50 à 75 % de la dose calculée d'oxycodone.
Certains patients prenant Oxycodone suivant un protocole établi ont besoin d'analgésiques à libération rapide comme médicament de secours pour le traitement des accès douloureux paroxystiques. Oxycodone n'est pas indiqué dans le traitement de douleurs aiguës et/ou des accès douloureux paroxystiques. La posologie du médicament de secours doit être équivalente à 1/6 de la posologie équianalgésique quotidienne d'Oxycodone. L'utilisation d'un médicament de secours plus de deux fois par jour indique que la posologie d'Oxycodone doit être augmentée. La posologie ne sera modifiée qu'une fois par jour/une fois tous les 2 jours jusqu'à ce l'on soit parvenu à une administration biquotidienne stable.
Après une augmentation posologique de 10 à 20 mg administrés toutes les 12 heures, les ajustements posologiques doivent être effectués par paliers d'environ un tiers de la posologie journalière. L'objectif est de déterminer une posologie spécifique au patient permettant de maintenir une analgésie adéquate en deux prises quotidiennes avec des effets indésirables supportables et en utilisant le moins possible le médicament de secours aussi longtemps que le traitement antalgique est nécessaire.
Bien qu'une administration symétrique (la même posologie administrée le matin et le soir) à heures régulières (toutes les 12 heures) soit appropriée chez la majorité des patients, certains patients peuvent tirer un meilleur bénéfice thérapeutique d'une administration asymétrique. En général, la plus faible posologie antalgique efficace doit être privilégiée. Pour le traitement de douleurs d'origine non maligne, une posologie journalière de 40 mg est généralement suffisante ; mais des posologies plus élevées peuvent s'avérer nécessaires. Les patients souffrant de douleurs cancéreuses peuvent avoir besoin de posologies comprises entre 80 et 120 mg, et même jusqu'à 400 mg dans certains cas. Si des posologies encore plus élevées sont nécessaires, la posologie doit être déterminée individuellement en évaluant le rapport entre l'efficacité et la tolérance et le risque d'effets indésirables.
Patients âgés
Une adaptation de la posologie n'est habituellement pas nécessaire chez les patients âgés ne présentant pas de manifestation clinique d'altération de la fonction hépatique et/ou rénale.
Patients à risque
Les patients à risque, par exemple les patients ayant un faible poids corporel ou présentant un métabolisme lent des médicaments, doivent recevoir la moitié de la posologie initiale recommandée chez l'adulte s'ils sont naïfs aux opioïdes. Par conséquent, la posologie minimale recommandée, soit 10 mg, peut ne pas être appropriée comme posologie initiale.
La titration doit être réalisée conformément à la situation clinique individuelle.
Insuffisants rénaux ou hépatiques
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs aux opioïdes), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Population pédiatrique
Enfants de moins 12 ans
L'oxycodone n'a pas été étudié chez l'enfant de moins de 12 ans. La sécurité d'emploi et l'efficacité d'Oxycodone n'ont pas été démontrées et son utilisation chez l'enfant de moins de 12 ans n'est par conséquent pas recommandée.
Mode d'administration
Voir orale.
Oxycodone doit être pris deux fois par jour selon un protocole établi et à une posologie déterminée.
Les comprimés pelliculés à libération prolongée peuvent être pris pendant ou en dehors des repas avec une quantité suffisante de liquide. Oxycodone doit être avalé entier sans être mâché, divisé ou écrasé. Prendre des comprimés mâchés, divisés ou écrasés d'Oxycodone peut entraîner la libération et l'absorption rapides d'une quantité potentiellement mortelle d'oxycodone.
Oxycodone ne doit pas être pris avec des boissons alcoolisées.
Durée du traitement
Oxycodone ne doit pas être pris plus longtemps que nécessaire. Si un traitement prolongé est nécessaire en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer si le traitement doit être poursuivi et selon quelles modalités. Quand le recours aux opioïdes n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la posologie journalière afin d'éviter tout symptôme de sevrage.
Arrêt du traitement
Lorsqu'un patient n'a plus besoin du traitement par oxycodone, il est conseillé de réduire progressivement la posologie journalière afin d'éviter tout symptôme de sevrage.
Comprimé orodispersible
Réservé à l'adulte.
Comme pour tous les médicaments antalgiques, la posologie doit être adaptée à l'intensité de la douleur, à la quantité d'antalgique prise antérieurement et à la réponse clinique de chaque patient.
Posologie initiale
Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois
Utiliser le dosage 5 mg toutes les 4 à 6 heures.
Patients antérieurement traités par des opioïdes forts
La dose initiale est à déterminer en fonction de l'équivalent de la dose quotidienne de morphine prise antérieurement.
A titre indicatif et en absence d'équivalence clairement établie, le rapport d'équianalgésie est le suivant : 10 mg d'oxycodone par voie orale sont équivalents à 20 mg de morphine orale. La dose d'oxycodone sera donc environ la moitié de la dose de morphine administrée précédemment.
Patients âgés, patients amaigris
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible, 5 mg toutes les 4 à 6 heures afin de minimiser l'incidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l'état clinique du patient.
Patients présentant une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opioïdes), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Adaptation de la posologie
Elle se justifie lorsque les doses antérieurement prescrites se révèlent insuffisantes.
Fréquence de l'évaluation
Il ne faut pas s'attarder sur une posologie qui s'avère inefficace. Le patient doit donc être vu de manière rapprochée jusqu'à ce que la douleur soit contrôlée. Dans la pratique, une évaluation quotidienne est recommandée en début de traitement.
Augmentation de la dose
Si la douleur n'est pas contrôlée, il convient d'augmenter les doses de 25 à 50 % :
soit en réduisant l'intervalle entre les prises (si la douleur est contrôlée au début mais pas en fin d'intervalle),
soit en augmentant la dose à chaque prise (si la douleur n'est pas contrôlée à aucun moment de l'intervalle entre 2 prises).
Dans ce processus d'ajustement de dose, il n'y a pas de limite supérieure tant que les effets indésirables sont contrôlés.
Changement de forme pharmaceutique
En cas de passage d'une forme à libération immédiate à une forme à libération prolongée, la posologie quotidienne sera inchangée.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
Mode d'administration
Voie orale.
Le comprimé se délite rapidement dans la bouche et est ensuite avalé.
Avec les formes à libération immédiate, la posologie quotidienne totale est généralement divisée en plusieurs doses équivalentes administrées toutes les 4 à 6 heures.
Oxycodone peut aussi être utilisé pour le traitement des accès douloureux non contrôlés par le traitement de fond (en particulier chez les patients traités par oxycodone à libération prolongée).
Solution buvable
Réservé à l'adulte.
Comme pour tous les médicaments antalgiques, la posologie doit être adaptée à l'intensité de la douleur, à la quantité d'antalgique prise antérieurement et à la réponse clinique de chaque patient.
Posologie initiale
Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois
Utiliser le dosage 5 mg toutes les 4 à 6 heures.
Patients antérieurement traités par des opioïdes forts
La dose initiale est à déterminer en fonction de l'équivalent de la dose quotidienne de morphine prise antérieurement.
A titre indicatif et en absence d'équivalence clairement établie, le rapport d'équianalgésie est le suivant : 10 mg d'oxycodone par voie orale sont équivalents à 20 mg de morphine orale. La dose d'oxycodone sera donc environ la moitié de la dose de morphine administrée précédemment.
Patients âgés, patients amaigris
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible, 2,5 mg d'oxycodone toutes les 6 heures afin de minimiser l'incidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l'état clinique du patient.
Patients présentant une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opioïdes), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Adaptation de la posologie
Elle se justifie lorsque les doses antérieurement prescrites se révèlent insuffisantes.
Fréquence de l'évaluation
Il ne faut pas s'attarder sur une posologie qui s'avère inefficace. Le patient doit donc être vu de manière rapprochée jusqu'à ce que la douleur soit contrôlée. Dans la pratique, une évaluation quotidienne est recommandée en début de traitement.
Augmentation de la dose
Si la douleur n'est pas contrôlée, il convient d'augmenter les doses de 25 à 50 % :
soit en réduisant l'intervalle entre les prises (si la douleur est contrôlée au début mais pas en fin d'intervalle),
soit en augmentant la dose à chaque prise (si la douleur n'est pas contrôlée à aucun moment de l'intervalle entre 2 prises).
Dans ce processus d'ajustement des doses, il n'y a pas de limite supérieure tant que les effets indésirables sont contrôlés.
Changement de forme pharmaceutique
En cas de passage d'une forme à libération immédiate à une forme à libération prolongée, la posologie quotidienne sera inchangée.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
Mode d'administration
Voie orale.
Avec les formes à libération immédiate, la posologie quotidienne totale est généralement divisée en plusieurs doses équivalentes administrées toutes les 4 à 6 heures.
La forme solution est particulièrement adaptée pour le traitement de fond des patients présentant des troubles de la déglutition.
Oxycodone peut aussi être utilisé pour le traitement des accès douloureux non contrôlés par le traitement de fond (en particulier chez les patients traités par oxycodone à libération prolongée).
Ce médicament s'administre avec une seringue orale fournie.
Cette seringue est :
spécifique à Oxycodone 10 mg/ml, solution buvable ;
ne doit pas être utilisée avec un autre médicament ;
ne doit jamais être séparée de la boîte, de la notice et du flacon.
La dose se lit directement sur les graduations (trait noir) du piston de la seringue, exprimées en milligrammes (mg).
Tirez sur le piston jusqu'à ce que la graduation (trait noir) correspondant à la dose prescrite soit au niveau de lecture.
Après utilisation :
Refermer le flacon,
Bien rincer la seringue à l'eau,
Sécher la seringue,
Ranger immédiatement la seringue dans sa boîte,
Conserver la boîte dans un endroit inaccessible aux enfants.
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone gélule est disponible dans les emballages suivants:
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 14 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2017-05-03
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 20 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 28 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 30 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 50 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
plaquette(s) PVC PVDC aluminium de 56 gélule(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone BIOGARAN LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 9 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
9 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone BIOGARAN LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
Posologie
La posologie dépend de l'intensité de la douleur et de la susceptibilité individuelle du patient au traitement. Les recommandations posologiques générales sont les suivantes :
Adultes et adolescents de 12 ans et plus
Titration et ajustement posologique
En général, la posologie initiale chez les patients naïfs d'opioïdes est de 10 mg de chlorhydrate d'oxycodone administrés à 12 heures d'intervalle. Chez certains patients, une posologie initiale de 5 mg de chlorhydrate d'oxycodone peut être bénéfique afin de minimiser l'incidence des effets indésirables.
Les patients recevant déjà un traitement par opioïdes peuvent débuter le traitement à des posologies plus élevées compte tenu de leur expérience préalable des traitements par opioïdes.
Pour les posologies non réalisables/praticables avec ce dosage, d'autres dosages de ce médicament sont disponibles.
D'après des études cliniques contrôlées, 10 à 13 mg de chlorhydrate d'oxycodone correspondent approximativement à 20 mg de sulfate de morphine, chacun dans la formulation à libération prolongée.
En raison des différences individuelles de sensibilité aux divers opioïdes, il est recommandé de commencer le traitement des patients par OXYCODONE BIOGARAN LP de façon conventionnelle après conversion à partir d'autres opioïdes, avec 50 à 75 % de la dose calculée d'oxycodone.
Certains patients prenant OXYCODONE BIOGARAN LP suivant un protocole établi ont besoin d'analgésiques à libération immédiate comme médicament de secours pour le traitement des accès douloureux paroxystiques. OXYCODONE BIOGARAN LP n'est pas indiqué dans le traitement de douleurs aiguës et/ou des accès douloureux paroxystiques. La posologie du médicament de secours doit être équivalente à 1/6 de la posologie équianalgésique quotidienne d'OXYCODONE BIOGARAN LP. L'utilisation d'un médicament de secours plus de deux fois par jour indique que la posologie d'OXYCODONE BIOGARAN LP doit être augmentée. La posologie ne sera modifiée qu'une fois par jour/une fois tous les 2 jours jusqu'à ce l'on soit parvenu à une administration biquotidienne stable.
Après une augmentation posologique de 10 à 20 mg administrés toutes les 12 heures, les ajustements posologiques doivent être effectués par paliers d'environ un tiers de la posologie journalière. L'objectif est de déterminer une posologie spécifique au patient permettant de maintenir une analgésie adéquate en deux prises quotidiennes avec des effets secondaires supportables et en utilisant le moins possible le médicament de secours aussi longtemps que le traitement antalgique est nécessaire.
Bien qu'une administration symétrique (la même posologie administrée le matin et le soir) à heures régulières (toutes les 12 heures) soit appropriée chez la majorité des patients, certains patients peuvent tirer un meilleur bénéfice thérapeutique d'une administration asymétrique adaptée au profil de leur douleur. En général, la plus faible posologie antalgique efficace doit être privilégiée. Pour le traitement de douleurs d'origine non maligne, une posologie journalière de 40 mg est généralement suffisante ; mais des posologies plus élevées peuvent s'avérer nécessaires. Les patients souffrant de douleurs cancéreuses peuvent avoir besoin de posologies comprises entre 80 et 120 mg, et même jusqu'à 400 mg dans certains cas. Si des posologies encore plus élevées sont nécessaires, la posologie doit être déterminée individuellement en évaluant le rapport entre l'efficacité et la tolérance et le risque d'effets indésirables.
Durée du traitement
OXYCODONE BIOGARAN LP ne doit pas être administré plus longtemps que nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer si le traitement doit être poursuivi et selon quelles modalités. Quand le recours aux opioïdes n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la posologie journalière afin d'éviter tout symptôme de sevrage.
Arrêt du traitement
Lorsqu'un patient n'a plus besoin du traitement par oxycodone, il est conseillé de réduire progressivement la posologie journalière afin d'éviter tout symptôme de sevrage.
Patients âgés
Une adaptation de la posologie n'est habituellement pas nécessaire chez les patients âgés ne présentant pas de manifestation clinique d'altération de la fonction hépatique et/ou rénale.
Patients à risque
Les patients à risque, par exemple ceux de faible poids corporel ou présentant un métabolisme lent des médicaments, doivent recevoir la moitié de la posologie initiale recommandée s'ils sont naïfs aux opioïdes. Par conséquent, la posologie minimale recommandée, soit 10 mg, peut ne pas être appropriée comme posologie initiale.
La titration doit être réalisée conformément à la situation clinique individuelle.
Patients insuffisants rénaux ou hépatiques
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une posologie journalière totale de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opioïdes), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique.
Enfants de moins 12 ans
L'oxycodone n'a pas été étudié chez l'enfant de moins de 12 ans. La sécurité d'emploi et l'efficacité d'OXYCODONE BIOGARAN LP n'ont pas été démontrées et son utilisation chez l'enfant de moins de 12 ans n'est par conséquent pas recommandée.
Mode d'administration
Voir orale.
OXYCODONE BIOGARAN LP doit être administré deux fois par jour selon un protocole établi et à une posologie déterminée.
Les comprimés pelliculés à libération prolongée peuvent être administrés pendant ou en dehors des repas avec une quantité suffisante de liquide. OXYCODONE BIOGARAN LP doit être avalé entier, et non croqué, divisé ou écrasé. Le fait de croquer, diviser ou écraser les comprimés d'OXYCODONE BIOGARAN LP peut entraîner la libération et l'absorption rapides d'une quantité potentiellement mortelle d'oxycodone.
OXYCODONE BIOGARAN LP ne doit pas être administré avec des boissons alcoolisées.
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone comprimé pelliculé à libération prolongée est disponible dans les emballages suivants:
10 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
14 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
20 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
25 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
28 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2018-02-19
30 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
40 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
50 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
56 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
60 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
98 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
100 plaquette(s) PVC PVDC aluminium avec fermeture de sécurité enfant de 1 comprimé(s)
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone ETHYPHARM LP 10 mg comprimé à libération prolongée
LABORATOIRES ETHYPHARM (FRANCE)
Dosage: 8,96 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
8,96 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone ETHYPHARM LP 10 mg comprimé à libération prolongée
Posologie
La posologie devrait être ajustée selon l'intensité de la douleur et la sensibilité individuelle du patient.
Les recommandations posologiques générales sont les suivantes :
Adulte et adolescent de 12 ans et plus
Posologie initiale
En général, la posologie initiale chez les patients naïfs d'opioïdes est de 10 mg de chlorhydrate d'oxycodone administrés à 12 heures d'intervalle par voie orale. Chez certains patients, une posologie initiale de 5 mg de chlorhydrate d'oxycodone peut permettre de minimiser les risques de survenue d'effets indésirables.
Les patients recevant déjà un traitement par opioïdes peuvent débuter le traitement à des posologies plus élevées d'OXYCODONE ETHYPHARM LP basées sur leur expérience préalable des traitements par opioïdes.
D'après des études cliniques bien contrôlées, 10 à 13 mg de chlorhydrate d'oxycodone correspondent approximativement à 20 mg de sulfate de morphine, chacun dans une forme à libération prolongée.
En raison des différences individuelles de sensibilité aux différents opioïdes, il est recommandé de commencer prudemment le traitement des patients par OXYCODONE ETHYPHARM LP après conversion à partir d'autres opioïdes, avec 50 à 75 % de la dose calculée d'oxycodone.
Adaptation de la dose
OXYCODONE ETHYPHARM LP est une forme à libération prolongée et n'est donc pas destiné au traitement des accès douloureux paroxystiques. Certains patients suivant un traitement continu par opioïde à libération contrôlée ont besoin d'analgésiques à libération immédiate comme traitement de secours des accès douloureux de fin de dose. La posologie du médicament de secours (interdose) doit être équivalente à 1/6e de la posologie équianalgésique quotidienne. L'utilisation d'un médicament de secours plus de deux fois par jour indique habituellement que la posologie d'OXYCODONE ETHYPHARM LP doit être augmentée. La titration devrait être effectuée à un intervalle d'au moins un ou deux jours jusqu'à ce qu'une dose stable de 12 heures soit atteinte. Après l'augmentation de la dose de 10 mg à 20 mg toutes les 12 heures, augmenter la dose d'environ un tiers jusqu'à obtention de l'effet désiré. L'objectif est de déterminer une dose de 12 heures spécifique au patient permettant de maintenir une analgésie adéquate et des effets indésirables tolérables, avec une utilisation minimale du médicament de secours aussi longtemps qu'un traitement antalgique est nécessaire.
Bien qu'une posologie symétrique (même dose le matin et le soir) continue avec 12 heures d'intervalle soit appropriée pour la majorité des patients, une administration asymétrique peut être plus adaptée aux caractéristiques des douleurs de certains patients. De manière générale, la dose analgésique efficace la plus faible devrait être utilisée. Pour le traitement de douleurs d'origine non cancéreuse, une posologie journalière de 40 mg est généralement suffisante, mais des posologies plus élevées peuvent être nécessaires. Les patients souffrant de douleurs cancéreuses peuvent avoir besoin de posologies prolongées comprises entre 80 et 120 mg, jusqu'à 400 mg dans certains cas. Si des doses encore plus élevées sont nécessaires, la posologie devrait être déterminée individuellement en évaluant le rapport entre l'efficacité, et la tolérance et les risques d'effets indésirables.
Une dose de 40 mg constituée de quatre comprimés de 10 mg peut conduire à une légère augmentation des concentrations plasmatiques maximales qui doit être prise en compte .
Durée du traitement
L'oxycodone ne doit pas être administrée plus longtemps que cela n'est absolument nécessaire. Si le traitement prolongé d'une douleur est nécessaire en raison de la nature et de la gravité de la pathologie, une surveillance attentive et régulière doit être menée pour déterminer si le traitement reste nécessaire et s'il doit être poursuivi. Lorsque le patient n'a plus besoin d'un traitement par opioïde, il est recommandé de réduire progressivement la dose pour prévenir des symptômes de sevrage.
Patients âgés
Une adaptation de la posologie n'est habituellement pas nécessaire chez les patients âgés ne présentant pas de signe clinique manifeste d'atteinte de la fonction hépatique ou rénale.
Patients à risque :
Les patients à risque, par exemple ceux présentant une insuffisance rénale ou hépatique, un faible poids corporel, un métabolisme lent des médicaments s'ils sont naïfs aux opioïdes, devraient débuter le traitement par la moitié de la posologie initiale recommandée chez l'adulte. Par conséquent, la posologie minimale recommandée, soit 10 mg de chlorhydrate d'oxycodone, peut ne pas être appropriée comme posologie initiale, auquel cas on pourra utiliser une dose de 5 mg de chlorhydrate d'oxycodone.
La titration doit être réalisée conformément à la situation clinique individuelle.
Population pédiatrique
OXYCODONE ETHYPHARM LP n'est pas recommandé chez les enfants de moins de 12 ans en raison de données insuffisantes de sécurité et d'efficacité.
Mode d'administration
Voie orale.
OXYCODONE ETHYPHARM LP doit être pris à la dose déterminée, deux fois par jour, à heure fixe.
OXYCODONE ETHYPHARM LP peut être pris avec ou sans nourriture, avec une quantité de liquide suffisante. Les comprimés doivent être avalés entier, sans être coupés, cassés, mâchés, écrasés ou dissous
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Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone comprimé à libération prolongée est disponible dans les emballages suivants:
10 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
20 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
28 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
30 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
40 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
50 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
56 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
60 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
100 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
112 plaquette(s) pelable(s) polyamide PVC-Aluminium polytéréphtalate (PET) aluminium de 1 comprimé(s) avec sécurité enfant
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone KALCEKS 10 mg/mL solution injectable pour perfusion
AS KALCEKS (Lettonie)
Dosage: 9 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
9 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone KALCEKS 10 mg/mL solution injectable pour perfusion
Posologie
La posologie doit être ajustée en fonction de l'intensité de la douleur, de l'état général du patient et des médicaments antérieurs et concomitants.
Adultes de plus de 18 ans
Les doses initiales suivantes sont recommandées. Une augmentation progressive de la dose peut s'avérer nécessaire si l'analgésie est inadéquate ou si l'intensité de la douleur augmente.
IV (bolus) : Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %), de dextrose à 50 mg/mL (5 %) ou dans de l'eau pour préparations injectables. Administrer une dose en bolus de 1 à 10 mg lentement pendant 1 à 2 minutes. Les doses ne doivent pas être administrées plus fréquemment que toutes les 4 heures.
IV (perfusion) : Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %), de dextrose à 50 mg/mL (5 %) ou dans de l'eau pour préparations injectables. Une dose initiale de 2 mg/heure est recommandée.
IV (ACP) : Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %), de dextrose à 50 mg/mL (5 %) ou dans de l'eau pour préparations injectables. Des doses en bolus de 0,03 mg/kg doivent être administrées avec un temps de verrouillage minimum de 5 minutes.
SC (bolus) : Utiliser à la concentration de 10 mg/mL. OXYCODONE KALCEKS dosé à 50 mg/mL se dilue dans une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %), de dextrose à 50 mg/mL (5 %), ou dans de l'eau pour préparations injectables. La dose initiale recommandée est de 5 mg, répétée à intervalles de 4 heures selon les besoins.
SC (perfusion) : Diluer dans une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %), de dextrose à 50 mg/mL (5 %) ou dans de l'eau pour préparations injectables si nécessaire. Une dose initiale de 7,5 mg/jour est recommandée chez les patients naïfs d'opiacés, en augmentant progressivement la dose en fonction du contrôle des symptômes. Les patients atteints de douleurs d'origine cancéreuse passant de l'oxycodone orale à ce traitement peuvent nécessiter des doses beaucoup plus élevées (voir ci-dessous).
Passage des patients de l'oxycodone orale à l'oxycodone parentérale
La dose doit être basée sur le rapport suivant : 2 mg d'oxycodone orale est équivalent à 1 mg d'oxycodone parentérale. Il convient d'insister sur le fait qu'il s'agit uniquement d'une indication de la dose requise. La variabilité interindividuelle nécessite de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée. Le patient doit être étroitement surveillé jusqu'à l'obtention d'un état stable lors du changement de traitement aux opiacés.
Transition de la prise de morphine par voie intraveineuse à l'oxycodone par voie intraveineuse
Chez les patients recevant de la morphine par voie intraveineuse avant le traitement par l'oxycodone par voie intraveineuse, la posologie journalière doit être basée sur un ratio 1 :1. Il convient d'insister sur le fait qu'il s'agit uniquement d'une indication de la dose requise. La variabilité interindividuelle nécessite de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée. Le patient doit être étroitement surveillé jusqu'à l'obtention d'un état stable lors du changement de traitement aux opiacés.
Personnes âgées
Les personnes âgées doivent être traitées avec précaution. La dose sera ajustée individuellement pour utiliser la dose la plus faible permettant de contrôler la douleur.
Patients insuffisants rénaux ou hépatiques
L'initiation du traitement doit suivre une approche conservatrice chez ces patients. La posologie initiale recommandée chez l'adulte doit être réduite de 50 % (par exemple une dose totale journalière de 10 mg par voie orale chez les patients naïfs d'opiacés), et chaque patient doit faire l'objet d'une titration permettant un contrôle analgésique adéquat conformément à sa situation clinique .
Population pédiatrique
Il n'existe pas de données sur l'utilisation d'injections d'oxycodone chez les patients de moins de 18 ans.
Utilisation dans la douleur d'origine non maligne
Les opiacés ne sont pas le traitement de première intention pour les douleurs chroniques d'origine non maligne et ne sont pas recommandés comme traitement unique. Les douleurs chroniques soulagées par des opiacés puissants incluent l'arthrose chronique et les maladies des disques intervertébraux. Le besoin de traitement continu contre les douleurs d'origine non maligne doit être évalué à intervalles réguliers.
Durée du traitement
L'oxycodone ne doit pas être utilisée plus longtemps que nécessaire.
Arrêt du traitement
Lorsqu'un patient n'a plus besoin d'un traitement par oxycodone, il est conseillé de réduire la dose progressivement afin de prévenir les symptômes de sevrage.
Mode d'administration
Injection ou perfusion sous-cutanée.
Injection ou perfusion intraveineuse.
Comment utiliser Oxycodone Montrer plus >>>
Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone solution injectable pour perfusion est disponible dans les emballages suivants:
5 ampoules en verre de 1 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
10 ampoules en verre de 1 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
5 ampoules en verre de 2 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
10 ampoules en verre de 2 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone MEDAC 10 mg/mL solution injectable ou pour perfusion
MOLTENI & ALITTI (ITALIE)
Dosage: 9 mg
Composition et Présentations
OXYCODONE
9 mg
sous forme de :CHLORHYDRATE D'OXYCODONE
10 mg
Posologie et mode d'emploi Oxycodone MEDAC 10 mg/mL solution injectable ou pour perfusion
Posologie
Voie d'administration :
Injection ou perfusion sous-cutanée.
Injection ou perfusion intraveineuse.
Posologie :
La posologie doit être ajustée en fonction de l'intensité de la douleur, de l'état général du patient et des médicaments antérieurs et concomitants.
Adultes de plus de 18 ans :
Les doses initiales suivantes sont recommandées chez les patients naïfs d'opiacés. La dose initiale doit être ajustée en fonction des médicaments antérieurs ou concomitants (en particulier si le patient a déjà été traité avec des opiacés), de l'état général du patient et de l'intensité de la douleur. Une augmentation progressive de la dose peut s'avérer nécessaire si l'analgésie est inadéquate ou si l'intensité de la douleur augmente.
- i.v. (bolus) :Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans du chlorure de sodium 0,9 %, du glucose 5 % ou dans de l'eau pour préparations injectables. Administrer une dose en bolus de 1 à 10 mg lentement pendant 1 à 2 minutes. Les doses ne doivent pas être administrées plus fréquemment que toutes les 4 heures.
- i.v. (perfusion) :Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans du chlorure de sodium 0,9 %, du glucose 5 % ou dans de l'eau pour préparations injectables. Une dose initiale de 2 mg/heure est recommandée.
- i.v. (ACP) :Diluer jusqu'à 1 mg/mL dans du chlorure de sodium 0,9 %, du glucose 5 % ou dans de l'eau pour préparations injectables. Des doses en bolus de 0,03 mg/kg doivent être administrées avec un temps de verrouillage minimum de 5 minutes.
- s.c. (Bolus) : Utiliser à la concentration de 10 mg/mL. La dose initiale recommandée est de 5 mg, répétée à intervalles de 4 heures selon les besoins.
- s.c. (perfusion) : Diluer dans du chlorure de sodium 0,9 %, du glucose 5 % ou dans de l'eau pour préparations injectables si nécessaire. Une dose initiale de 7,5 mg/jour est recommandée chez les patients naïfs d'opiacés, en augmentant progressivement la dose en fonction du contrôle des symptômes. Les patients atteints de douleurs d'origine cancéreuse passant de l'oxycodone orale à ce traitement peuvent nécessiter des doses beaucoup plus élevées (voir ci-dessous).
Passage des patients de l'oxycodone orale à l'oxycodone parentérale :
La dose doit être basée sur le rapport suivant : 2 mg d'oxycodone orale est équivalent à 1 mg d'oxycodone parentérale. Il convient d'insister sur le fait qu'il s'agit uniquement d'une indication de la dose requise. La variabilité interindividuelle nécessite de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée.
Personnes âgées :
La dose sera ajustée individuellement pour utiliser la dose la plus faible permettant de contrôler la douleur.
Patients insuffisants rénaux ou hépatiques :
L'administration d'oxycodone chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée et/ou d'insuffisance hépatique légère doit être prudente. La dose sera ajustée individuellement pour utiliser la dose la plus faible permettant de contrôler de la douleur.
Enfants de moins de 18 ans :
Il n'existe pas de données sur l'utilisation d'injections d'oxycodone chez les patients de moins de 18 ans.
Durée du traitement
La solution injectable d'oxycodone ne doit pas être utilisée plus longtemps que nécessaire.
Utilisation dans la douleur d'origine non maligne :
Les opiacés ne sont pas le traitement de première intention pour les douleurs chroniques d'origine non maligne et ne sont pas recommandés comme traitement unique. Les douleurs chroniques soulagées par des opiacés puissants incluent l'arthrose chronique et les maladies des disques intervertébraux. Le besoin de traitement continu contre les douleurs d'origine non maligne doit être évalué à intervalles réguliers.
Arrêt du traitement :
Lorsqu'un patient n'a plus besoin d'un traitement par oxycodone, il est conseillé de réduire la dose progressivement afin de prévenir les symptômes de sevrage.
Mode d'administration
Comment utiliser Oxycodone Montrer plus >>>
Présentations et l’emballage extérieur
Présentations et l’emballage extérieur
Oxycodone solution injectable ou pour perfusion est disponible dans les emballages suivants:
5 ampoules en verre de 1 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2018-01-15
5 ampoules en verre de 2 mL
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2018-01-15
4 ampoule(s) en verre de 20 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation: 2018-01-15
1 ampoule(s) en verre de 20 ml
Présentation active
Déclaration de commercialisation non communiquée
Oxycodone ACCORD LP 20 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
ACCORD HEALTHCARE FRANCE (FRANCE)
Dosage: 20 mg
Oxycodone ACCORD LP 40 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
ACCORD HEALTHCARE FRANCE (FRANCE)
Dosage: 40 mg
Oxycodone ACCORD LP 5 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
ACCORD HEALTHCARE FRANCE (FRANCE)
Dosage: 5 mg
Oxycodone ACCORD LP 80 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
ACCORD HEALTHCARE FRANCE (FRANCE)
Dosage: 80 mg
Oxycodone AGUETTANT 50 mg/mL solution injectable
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE)
Dosage: 45 mg
Oxycodone ARROW 20 mg gélule
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Dosage: 17,93 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 15 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 13,5 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 20 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 17,9 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 30 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 26,9 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 40 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 35,9 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 5 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 4,5 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 60 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 53,8 mg
Oxycodone BIOGARAN LP 80 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage: 71,7 mg
Oxycodone DELBERT 10 mg/mL solution injectable
LABORATOIRES DELBERT (FRANCE)
Dosage: 9 mg
Oxycodone DELBERT 50 mg/mL solution injectable
LABORATOIRES DELBERT (FRANCE)
Dosage: 45 mg
Oxycodone EG LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 9 mg
Oxycodone EG LP 15 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 13,5 mg
Oxycodone EG LP 20 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 17,9 mg
Oxycodone EG LP 30 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 26,9 mg
Oxycodone EG LP 40 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 35,9 mg
Oxycodone EG LP 5 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 4,5 mg
Oxycodone EG LP 60 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 53,8 mg
Oxycodone EG LP 80 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Dosage: 71,7 mg
Oxycodone ETHYPHARM LP 20 mg comprimé à libération prolongée
LABORATOIRES ETHYPHARM (FRANCE)
Dosage: 17,93 mg
Oxycodone ETHYPHARM LP 40 mg comprimé à libération prolongée
LABORATOIRES ETHYPHARM (FRANCE)
Dosage: 35,85 mg
Oxycodone ETHYPHARM LP 5 mg comprimé à libération prolongée
LABORATOIRES ETHYPHARM (FRANCE)
Dosage: 4,48 mg
Oxycodone KALCEKS 50 mg/mL solution injectable pour perfusion
AS KALCEKS (Lettonie)
Dosage: 45 mg
Oxycodone MEDAC 50 mg/mL solution injectable ou pour perfusion
MOLTENI & ALITTI (ITALIE)
Dosage: 45 mg
Oxycodone MYLAN LP 10 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
MYLAN SAS (FRANCE)
Dosage: 8,97 mg
Oxycodone MYLAN LP 20 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
MYLAN SAS (FRANCE)
Dosage: 17,93 mg
Oxycodone MYLAN LP 40 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
MYLAN SAS (FRANCE)
Dosage: 35,86 mg
Oxycodone MYLAN LP 5 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
MYLAN SAS (FRANCE)
Dosage: 4,48 mg
Oxycodone MYLAN LP 80 mg comprimé pelliculé à libération prolongée
MYLAN SAS (FRANCE)
Dosage: 71,72 mg
Oxycodone RENAUDIN 10 mg/mL solution pour perfusion
LABORATOIRE RENAUDIN (FRANCE)
Dosage: 9 mg
Oxycodone RENAUDIN 1mg/ml solution pour perfusion
LABORATOIRE RENAUDIN (FRANCE)
Dosage: 1 mg
Oxycodone SANDOZ 10 mg gélule
SANDOZ (FRANCE)
Dosage: 8,96 mg
Oxycodone SANDOZ 20 mg gélule
SANDOZ (FRANCE)
Dosage: 17,93 mg
Oxycodone SANDOZ 5 mg gélule
SANDOZ (FRANCE)
Dosage: 5 mg
Oxycodone TORRENT 10 mg gélule
TORRENT PHARMA (FRANCE)
Dosage: 8,96 mg
Oxycodone TORRENT 20 mg gélule
TORRENT PHARMA (FRANCE)
Dosage: 17,93 mg
Oxycodone TORRENT 5 mg gélule
TORRENT PHARMA (FRANCE)
Dosage: 4,48 mg
Comment utiliser, Mode d'emploi - Oxycodone
Indications
Pour le traitement de la douleur modérée à sévère chez les patients atteints de douleurs d'origine cancéreuse et de douleurs post-opératoires.
Pour le traitement de douleurs sévères nécessitant l'utilisation d'un opiacé puissant.
OXYCODONE KALCEKS est indiqué chez l'adulte uniquement.
Pharmacodynamique
L'oxycodone présente une affinité pour les récepteurs opioïdes kappa, mu et delta dans le cerveau et le rachis. Il agit au niveau de ces récepteurs en qualité d'agoniste opioïde sans effet antagoniste. L'effet thérapeutique est principalement analgésique et sédatif. Par rapport à l'oxycodone à libération rapide, les comprimés à libération prolongée, administrés seuls ou en association avec d'autres substances, offrent un soulagement de la douleur d'une durée sensiblement plus longue, sans augmenter l'apparition d'effets indésirables.Autres effets pharmacologiques
Les études in vitro et chez l'animal indiquent divers effets des opioïdes naturels tels que la morphine, sur les composants du système immunitaire ; la signification clinique de ces données n'est pas connue.
On ne sait pas si l'oxycodone, un opioïde semi-synthétique, a des effets immunologiques similaires à ceux de la morphine.
Mécanisme d'action
L'oxycodone est un agoniste opioïde pur.
Son action antalgique est similaire qualitativement à celle de la morphine.
L'effet thérapeutique est principalement analgésique, anxiolytique, antitussif et sédatif.
Système endocrinien : les opioïdes ont une action pharmacologique sur l'axe hypothalamo-hypophysaire ou gonadique. Certaines modifications ont été observées telles qu'une augmentation de la prolactinémie et une diminution du cortisol plasmatique et de la testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
Autres effets pharmacologiques : Les études animales et in vitro indiquent différents effets des opioïdes naturels tels que la morphine, sur les composantes du système immunitaire. La conséquence clinique de ces observations n'est pas connue.
Données supplémentaires sur la pharmacodynamique du médicament Oxycodone
L'oxycodone est un agoniste opiacé puissant sans propriétés antagonistes, avec une affinité pour les récepteurs d'opiacés kappa, mu et delta dans le cerveau et la moelle épinière. Ses effets sont similaires à ceux de la morphine. L'effet thérapeutique est principalement analgésique, anxiolytique, antitussif et sédatif.
Système gastro-intestinal
Les opiacés peuvent induire des spasmes du sphincter d'Oddi.
Système hormonal
Autres effets pharmacologiques
Les études menées in vitro et chez l'animal indiquent divers effets des opiacés naturels tels que la morphine sur les composantes du système immunitaire ; la signification clinique de ces résultats n'est pas connue. On ne sait pas si l'oxycodone, un opiacé semi-synthétique, a un effet immunologique semblable à celui de la morphine.
Les opioïdes peuvent avoir une influence sur les axes hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou -gonadien. Certains changements observables incluent une augmentation de la prolactine sérique et des diminutions du cortisol et de la testostérone plasmatiques. Des symptômes cliniques peuvent accompagner ces changements hormonaux.
Pharmacocinétique
Absorption
Les études pharmacocinétiques chez des sujets en bonne santé ont mis en évidence une disponibilité équivalente de l'oxycodone administrée à la dose de 5 mg par voie intraveineuse et sous-cutanée, par dose unique en bolus ou perfusion continue pendant 8 heures.
Les femmes ont en moyenne des concentrations plasmatiques d'oxycodone jusqu'à 25 % supérieures à celles des hommes après ajustement en fonction du poids corporel.
Distribution
Après absorption, l'oxycodone est distribuée dans tout l'organisme. Environ 45 % de l'oxycodone est liée aux protéines plasmatiques. Le médicament pénètre dans le placenta et est retrouvé dans le lait maternel.
Biotransformation et élimination
L'oxycodone est métabolisée dans le foie pour produire de la noroxycodone, de l'oxymorphone et divers conjugués glucuronides. Les effets analgésiques des métabolites sont cliniquement insignifiants. Le médicament actif et ses métabolites sont excrétés dans l'urine et dans les fèces.
Populations particulières
Patients âgés
Les concentrations plasmatiques d'oxycodone ne sont que très peu affectées par l'âge, étant de 15 % supérieures chez les personnes âgées par rapport aux jeunes sujets.
Insuffisance hépatique et rénale
Comparé à des sujets en bonne santé, les patients présentant un dysfonctionnement hépatique modéré à sévère peuvent avoir des concentrations plasmatiques d'oxycodone et de noroxycodone plus élevées, et des concentrations plasmatiques d'oxymorphone plus faibles. Il peut y avoir une prolongation de la demi-vie d'élimination de l'oxycodone, éventuellement accompagnée d'un renforcement des effets du médicament.
Par rapport aux sujets en bonne santé, les patients présentant une dysfonction rénale modérée à sévère peuvent avoir des concentrations plasmatiques plus élevées d'oxycodone et de ses métabolites. Il peut y avoir une prolongation de la demi-vie d'élimination de l'oxycodone, éventuellement accompagnée d'un renforcement des effets du médicament.
Contrairement aux préparations morphiniques, l'administration d'oxycodone n'entraîne pas de taux significatifs de métabolites actifs. Toutefois, les concentrations plasmatiques d'oxycodone chez ces patients peuvent être augmentées par rapport aux patients ayant une fonction rénale ou hépatique normale. Des études impliquant d'autres préparations intraveineuses d'oxycodone, administrées par injection en bolus à six patients avec une cirrhose du foie en phase terminale et dix patients ayant une insuffisance rénale en phase terminale ont été rapportées dans la littérature. Dans chacun des cas, l'élimination de l'oxycodone était altérée.
Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament Oxycodone en fonction de la voie d'administration
Absorption et distribution
Pour éviter d'altérer les propriétés de libération contrôlée des comprimés, les comprimés d'OXYCODONE ETHYPHARM LP ne doivent pas être coupés, cassés, écrasés, mâchés ou dissous, car cela pourrait entraîner une libération rapide d'oxycodone.
La biodisponibilité relative d'OXYCODONE ETHYPHARM LP est comparable à celle de l'oxycodone à libération immédiate classique, mais OXYCODONE ETHYPHARM LP permet d'atteindre des concentrations plasmatiques maximales en 6 à 10 heures au lieu de 1 heure à 1,5 heure. La fluctuation entre les concentrations maximales et minimales d'OXYCODONE ETHYPHARM LP, est faible. Les estimations moyennes de la biodisponibilité absolue de l'oxycodone sont comprises entre 42 et 87 % par rapport à la substance active administrée par voie parentérale. Le volume de distribution de l'oxycodone à l'état d'équilibre est de 2,6 l/kg ; la liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 45 % et la demi-vie d'élimination est de 4 à 6 heures après administration des formes à libération immédiate classiques. La demi-vie d'élimination apparente de l'oxycodone, avec OXYCODONE ETHYPHARM LP, est d'environ 6 à 8 heures, l'état d'équilibre étant en moyenne atteint au bout d'environ 2 jours. L'ingestion d'un repas standard riche en graisses n'altère pas le degré d'absorption de l'oxycodone.
Biotransformation et élimination
L'oxycodone est métabolisée dans l'intestin et le foie en noroxycodone, en oxymorphone et en divers glycuroconjugués. La noroxycodone et l'oxymorphone sont produites via le système du cytochrome P450. Des études in vitro suggèrent qu'il est improbable que des doses thérapeutiques de cimétidine influencent significativement la production de noroxycodone. La quinidine réduit la production d'oxymorphone chez l'homme sans influencer substantiellement la pharmacodynamie de l'oxycodone. La contribution des métabolites à l'effet pharmacodynamique global est négligeable. L'oxycodone et ses métabolites sont excrétés à la fois dans l'urine et les fèces. L'oxycodone traverse aussi le placenta et peut être détectée dans le lait maternel.
Des comprimés de différentes doses peuvent être combinés pour personnaliser les doses individuelles en fonction des besoins analgésiques et de la tolérance du patient. Toutefois, dans les rares cas de remplacement de quatre comprimés de 10 mg par un comprimé de 40 mg, il faut garder à l'esprit que la Cmax est légèrement plus basse (différence de 13,55 %) avec un comprimé de 40 mg qu'avec quatre comprimés de 10 mg. Cependant, cette légère différence de Cmax ne se traduit pas par des effets cliniquement pertinents en termes d'efficacité et de sécurité.
Absorption
La biodisponibilité relative de l'oxycodone à libération prolongée est comparable à celle de l'oxycodone à libération rapide avec une concentration plasmatique maximale obtenue environ 3 heures après la prise des comprimés à libération prolongée par rapport à 1 à 1,5 heures. Les pics de taux plasmatiques et les variations de concentrations d'oxycodone des formulations à libération prolongée et à libération rapide sont comparables lorsqu'elles sont administrées à la même posologie journalière à des intervalles respectivement de 12 et 6 heures.
Les comprimés ne doivent pas être mâchés, divisés ou écrasés car cela peut entraîner la libération et l'absorption rapides d'une quantité potentiellement mortelle d'oxycodone en raison de la destruction des propriétés de la libération prolongée.
Distribution
La biodisponibilité absolue de l'oxycodone est environ égale aux deux-tiers de celle observée par administration parentérale. A l'état d'équilibre, le volume de distribution de l'oxycodone est de 2,6 l/kg ; la liaison aux protéines plasmatiques est de 38 à 45 % ; la demi-vie d'élimination varie de 4 à 6 heures et la clairance plasmatique est de 0,8 l/min. La demi-vie d'élimination de l'oxycodone contenu dans les comprimés à libération prolongée varie de 4 à 5 heures et l'état d'équilibre est obtenu en moyenne au bout d'un jour.
Biotransformation
L'oxycodone est métabolisé dans l'intestin et dans le foie, via le système enzymatique du cytochrome P450, en noroxycodone et oxymorphone ainsi qu'en plusieurs conjugués glucuronides. Les études in vitro suggèrent que les doses thérapeutiques de cimétidine n'ont probablement aucun effet significatif sur la formation de noroxycodone. Chez l'homme, la quinidine réduit la production d'oxymorphone bien que les propriétés pharmacodynamiques de l'oxycodone n'en soient pas affectées. La contribution des métabolites à l'effet pharmacodynamique global n'est pas significative.
Élimination
L'oxycodone et ses métabolites sont excrétés via l'urine et les fèces. L'oxycodone traverse le placenta et peut être détecté dans le lait maternel.
Linéarité/non-linéarité
Pour l'intervalle des doses des comprimés d'oxycodone à libération prolongée compris entre 5 et 80 mg, la linéarité des concentrations plasmatiques a été démontrée en termes de rapidité et de degré d'absorption.
Absorption :
La biodisponibilité relative d'OXYCODONE MYLAN LP est comparable à celle de l'oxycodone à libération immédiate avec une concentration plasmatique maximale obtenue au bout d'environ 3 heures après la prise des comprimés à libération prolongée comparé à 1 à 1,5 heures. Les pics de taux plasmatiques et les variations de concentrations d'oxycodone des formulations à libération prolongée et à libération immédiate sont comparables lorsqu'elles sont administrées à la même posologie journalière à des intervalles respectivement de 12 et 6 heures.
Le fait de croquer, diviser ou écraser les comprimés d'OXYCODONE MYLAN LP peut entraîner la libération et l'absorption rapides d'une quantité potentiellement mortelle d'oxycodone en raison de la destruction des propriétés de libération prolongée.
Distribution :
La biodisponibilité absolue de l'oxycodone est environ égale aux deux-tiers de celle observée par administration parentérale. A l'état d'équilibre, le volume de distribution de l'oxycodone est de 2,6 L/kg ; la liaison aux protéines plasmatiques est de 38-45 % ; la demi-vie d'élimination varie de 4 à 6 heures et la clairance plasmatique est de 0,8 L/min. La demi-vie d'élimination de l'oxycodone des comprimés à libération prolongée varie de 4 à 5 heures et l'état d'équilibre est obtenu en moyenne au bout d'un jour.
Biotransformation :
L'oxycodone est métabolisé dans l'intestin et dans le foie, via le système enzymatique du cytochrome P450, en noroxycodone et oxymorphone ainsi qu'en plusieurs conjugués glucoronides. Les études in vitro suggèrent que les doses thérapeutiques de cimétidine n'ont probablement aucun effet significatif sur la formation de noroxycodone. Chez l'homme, la quinidine réduit la production d'oxymorphone bien que les propriétés pharmacodynamiques de l'oxycodone n'en soient pas affectées. La contribution des métabolites à l'effet pharmacodynamique global n'est pas significative.
Élimination :
L'oxycodone et ses métabolites sont excrétés via l'urine et les fèces. L'oxycodone traverse le placenta et peut être détecté dans le lait maternel.
Linéarité/Non linéarité :
La linéarité des concentrations plasmatiques a été démontrée en termes de vitesse et d'étendue de l'absorption dans la plage de dose thérapeutique de 5-80 mg des comprimés d'oxycodone à libération prolongée.
Les études pharmacocinétiques chez des sujets en bonne santé ont mis en évidence une disponibilité équivalente de l'oxycodone solution injectable administrée par voie intraveineuse et sous-cutanée, par dose unique en bolus ou perfusion continue pendant 8 heures.
Après absorption, l'oxycodone est distribuée dans tout l'organisme. Environ 45% de l'oxycodone est liée aux protéines plasmatiques.
L'oxycodone est métabolisée dans le foie pour produire de la noroxycodone, de l'oxymorphone et de la noroxymorphone, qui sont ensuite glucuronidées.
Les effets analgésiques des métabolites sont cliniquement insignifiants.
Le médicament actif et ses métabolites sont excrétés dans l'urine et dans les fèces.
Les concentrations plasmatiques d'oxycodone ne sont que très peu affectées par l'âge, étant de 15% supérieures chez les personnes âgées par rapport aux jeunes sujets.
Les femmes ont en moyenne des concentrations plasmatiques d'oxycodone jusqu'à 25% supérieures à celles des hommes après ajustement en fonction du poids corporel. Le médicament pénètre dans le placenta et est retrouvé dans le lait maternel.
Comparé à des sujets en bonne santé, les patients présentant un dysfonctionnement hépatique modéré à sévère peuvent avoir des concentrations plasmatiques d'oxycodone et de noroxycodone plus élevées, et des concentrations plasmatiques d'oxymorphone plus faibles. Il peut y avoir une prolongation de la demi-vie d'élimination de l'oxycodone, éventuellement accompagnée d'un renforcement des effets du médicament.
Par rapport aux sujets en bonne santé, les patients présentant une dysfonction rénale modérée à sévère peuvent avoir des concentrations plasmatiques plus élevées d'oxycodone et de ses métabolites. Il peut y avoir une prolongation de la demi-vie d'élimination de l'oxycodone, éventuellement accompagnée d'un renforcement des effets du médicament.
La biodisponibilité absolue de l'oxycodone varie jusqu'à 87 %.
L'effet de premier passage hépatique est faible. La demi-vie d'élimination est en moyenne de 4,5 heures, et l'état d'équilibre est atteint en environ 24 heures.
La libération d'oxycodone par les comprimés d'OXYCODONE ACCORD LP a 2 phases, une phase initiale rapide, suivie d'une libération contrôlée qui détermine la durée d'action sur 12 heures.
L'oxycodone est métabolisé en noroxycodone et en oxymorphone; l'oxymorphone possède une activité antalgique, mais les faibles concentrations plasmatiques retrouvées ne sont pas considérées comme contribuant à l'activité pharmacologique de l'oxycodone.
L'ingestion simultanée d'un repas riche en graisses ne modifie pas l'absorption ni la concentration maximale d'OXYCODONE ACCORD LP.
Le chlorhydrate d'oxycodone et son principal métabolite, la noroxycodone, sont éliminés par voie urinaire.
Les concentrations plasmatiques de l'oxycodone ne sont en principe pas affectées par l'âge, étant supérieures de 15 % chez le sujet âgé en comparaison au sujet jeune. Chez la femme, en moyenne, les concentrations plasmatiques de l'oxycodone sont supérieures de 25 % par rapport à un homme en données ajustées au poids corporel.
Effets indésirables
L'oxycodone peut provoquer une dépression respiratoire, un myosis, des spasmes bronchiques et des muscles lisses, et supprimer le réflexe de toux.
Les catégories de fréquence suivantes servent de base à la classification des effets indésirables :
Très fréquent ≥ 1/10
Fréquent ≥ 1/100 à < 1/10
Peu fréquent ≥ 1/1 000 à <1/100
Rare ≥ 1/10 000 à < 1/1 000
Très rare < 1/10 000
Fréquence indéterminée ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles
Affections hématologiques et du système lymphatique
Rare : lymphadénopathie.
Affections endocriniennes
Peu fréquent : syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique.
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Fréquent : diminution de l'appétit
Peu fréquent : déshydratation.
Affections psychiatriques
Fréquent : anxiété, état de confusion, dépression, nervosité, pensées anormales,
Peu fréquent : agitation, labilité émotionnelle, humeur euphorique, hallucinations, diminution de la libido, dépendance médicamenteuse ,
Très rare : troubles de l'élocution,
Fréquence indéterminée : agressivité.
Affections du système nerveux
Très fréquent : somnolence, vertige, mal de tête,
Fréquent : tremblements,
Peu fréquent : amnésie, convulsions, hypertonie, hypoesthésie, contractions musculaires involontaires, troubles du langage, syncope, paresthésie, dysgueusie,
Rare : convulsions, particulièrement chez les patients épileptiques ou chez les patients avec tendance aux convulsions, spasme musculaire,
Fréquence indéterminée : hyperalgésie.
Affections oculaires
Peu fréquent : troubles de la vue, myosis.
Affections de l'oreille et du labyrinthe
Peu fréquent : vertiges,
Affections cardiaques
Fréquent : diminution de la pression artérielle, rarement accompagnée par des symptômes secondaires comme des palpitations, une syncope, un bronchospasme,
Peu fréquent : palpitations (dans le contexte d'un syndrome de sevrage), tachycardie supraventriculaire.
Affections vasculaires
Peu fréquent : vasodilatation,
Rare : hypotension, hypotension orthostatique,
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : dyspnée,
Peu fréquent : dépression respiratoire, augmentation de la toux, pharyngite, rhinite, altérations de la voix.
Affections gastro-intestinales
Très fréquent : constipation, nausée, vomissement,
Fréquent : sécheresse buccale, rarement accompagnée de soif et de troubles de la déglutition, douleur abdominale, diarrhée, dyspepsie,
Rare : urticaire, sécheresse cutanée, manifestations d'herpès simplex, augmentation de la photosensibilité,
Très rare : dermatite exfoliative.
Affections du rein et des voies urinaires
Peu fréquent : troubles de la miction (rétention urinaire, mais aussi augmentation de l'urgence mictionnelle),
Rare : hématurie.
Affections des organes de reproduction et du sein
Peu fréquent : diminution de la libido, dysfonction érectile,
Fréquence indéterminée : aménorrhée.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent : transpiration, asthénie,
Peu fréquent : frissons, malaise, blessures accidentelles, douleur (par ex. douleur thoracique), dème, dème périphérique, migraine, dépendance physique avec symptômes de sevrage, accoutumance aux médicaments, soif,
Rare : modifications du poids (augmentation ou diminution), cellulite.
Une utilisation prolongée d'Oxycodone Mylan LP peut entraîner une dépendance physique, et un syndrome de sevrage peut survenir lors de l'arrêt brutal du traitement. Quand un patient ne doit plus être traité avec de l'oxycodone, il est préférable de réduire progressivement la posologie pour éviter l'apparition de symptômes de sevrage. Le syndrome d'abstinence ou de sevrage des opioïdes se manifeste par certains ou par l'ensemble des symptômes suivants : agitation, hypersécrétion lacrymale, rhinorrhée, bâillement, transpiration, frissons, myalgie, mydriase et palpitations. D'autres symptômes peuvent également survenir, notamment : irritabilité, anxiété, dorsalgie, douleur articulaire, faiblesse, crampes abdominales, insomnie, nausée, anorexie, vomissement, diarrhée, ou augmentation de la tension artérielle, de la fréquence respiratoire ou de la fréquence cardiaque.
Contre-indications
Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les cas suivants :
enfant de moins de 18 ans,
bronchopneumopathie chronique obstructive sévère,
asthme bronchique sévère,
dépression respiratoire sévère avec hypoxie,
taux élevé de dioxyde de carbone dans le sang,
iléus paralytique,
cur pulmonaire chronique,
allaitement,
association à la buprénorphine, la nalbuphine, la pentazocine, la naltrexone et le nalméfène .
Grossesse/Allaitement
Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou ftotoxique du chlorhydrate d'oxycodone lorsqu'il est administré pendant la grossesse.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de chlorhydrate d'oxycodone par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né avec irritabilité, vomissements, convulsions et létalité accrue.
En conséquence, l'utilisation du chlorhydrate d'oxycodone est déconseillée au cours de la grossesse.
En fin de grossesse, en cas de prises ponctuelles élevées, de traitement chronique, voire de toxicomanie, une surveillance néo-natale doit être envisagée, afin de prévenir les risques de dépression respiratoire ou de syndrome de sevrage chez l'enfant.
Allaitement
L'oxycodone peut être excrété dans le lait maternel etengendrer une dépression respiratoire du nouveau-né. En conséquence, l'oxycodone est contre-indiqué au cours de l'allaitement.
Surdosage
Symptômes de surdosage
Les signes de toxicité et de surdosage d'oxycodone sont la réduction des pupilles à un petit point, la dépression respiratoire, l'hypotension et les hallucinations. La nausée et les vomissements sont fréquents dans les cas moins sévères. L'dème pulmonaire non cardiaque et la rhabdomyolyse sont particulièrement fréquents après une injection intraveineuse d'analgésiques opiacés. Une insuffisance circulatoire et une somnolence progressant jusqu'à la stupeur ou au coma, un relâchement des muscles squelettiques (hypotonie), une bradycardie et la mort peuvent survenir dans les cas les plus graves.
Les effets d'un surdosage seront renforcés par l'ingestion simultanée d'alcool ou d'autres drogues psychotropes
Traitement du surdosage
Il convient de prêter attention en priorité au dégagement des voies aériennes et à la mise en place d'une ventilation assistée ou contrôlée. Les antagonistes opiacés purs tels que la naloxone sont des antidotes spécifiques des symptômes de surdosage d'opiacés. D'autres mesures de support doivent être utilisées selon les besoins.
En cas de surdosage important, administrer la naloxone par voie intraveineuse (0,4 à 2 mg chez l'adulte et 0,01 mg/kg de poids corporel chez l'enfant) si le patient est dans le coma ou présente une dépression respiratoire. Répéter la dose à intervalles de 2 minutes s'il n'y a pas de réponse. Si des doses répétées sont nécessaires, une perfusion de 60% de la dose initiale par heure est un point de départ utile. Une solution de 10 mg dans 50 mL de glucose donnera une concentration de 200 mcg/mL pour la perfusion avec une pompe IV (dose ajustée en fonction de la réponse clinique). Les perfusions ne peuvent pas se substituer à une évaluation fréquente de l'état clinique du patient.
L'administration intramusculaire de naloxone est une alternative au cas où l'accès IV ne serait pas possible. Etant donné que la durée d'action de la naloxone est relativement courte, le patient doit être surveillé avec attention jusqu'à ce que la respiration spontanée soit rétablie avec certitude.
La naloxone est un antagoniste compétitif et des doses importantes (4 mg) peuvent être nécessaires chez les patients gravement intoxiqués.
Dans les cas de surdosage moins important, administrer 0,2 mg de naloxone par voie intraveineuse puis des incréments de 0,1 mg toutes les 2 minutes si nécessaire. Le patient doit être sous observation pendant au moins 6 heures après la dernière dose de naloxone. La naloxone ne doit pas être administrée en l'absence d'une dépression respiratoire ou circulatoire cliniquement significative à la suite d'un surdosage d'oxycodone. La naloxone doit être administrée avec précaution chez les personnes ayant une dépendance physique connue ou suspectée à l'oxycodone. Dans ce cas, l'inversion abrupte ou complète des effets de l'opiacé peut entraîner des douleurs et un syndrome de sevrage aigu.
Interactions avec d'autres médicaments
L'alcool peut amplifier les effets pharmacodynamiques de l'oxycodone ; l'utilisation concomitante doit être évitée.
Les médicaments qui induisent une dépression respiratoire comme les benzodiazépines, le phénobarbital et les autres opioïdes (analgésiques, antitussifs ou traitements de substitution) peuvent augmenter le risque d'arrêt respiratoire, surtout en cas de surdosage et/ou chez les patients âgés.
Les dépresseurs du système nerveux central (par ex. sédatifs, hypnotiques, phénothiazines, neuroleptiques, anesthésiques, antidépresseurs, myorelaxants) et les autres opioïdes ou l'alcool peuvent accentuer les effets indésirables de l'oxycodone, en particulier la dépression respiratoire.
Les IMAO peuvent interagir avec les analgésiques de type narcotique, produisant une excitation ou une dépression du SNC accompagnée d'une crise hyper- ou hypotensive . OXYCODONE MYLAN LP doit être utilisé avec précaution chez les patients recevant des IMAOs ou ayant reçu des IMAO au cours des deux dernières semaines .
Médicaments sédatifs comme les benzodiazépines ou médicaments apparentés :
L'utilisation concomitante des opioïdes avec des médicaments sédatifs comme les benzodiazépines ou les médicaments apparentés accroît le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison d'un effet dépresseur additif sur le Système Nerveux Central (SNC). La posologie et la durée de l'utilisation concomitante doivent être limitées .
Les anticholinergiques (phénothiazine, neuroleptiques, antidépresseurs tricycliques, la plupart des antihistaminiques-H1 non récents, certains antiparkinsoniens) peuvent augmenter les effets indésirables anticholinergiques de l'oxycodone (comme la constipation, la sécheresse buccale ou les troubles de la miction).
Il convient de faire attention si Oxycodone Mylan LP, comprimé pelliculé à libération prolongée doit être utilisé de manière concomitante avec des agonistes/antagonistes mixtes des récepteurs mu des opioïdes (comme la pentazocine, la nalbuphine) ou des agonistes partiels des récepteurs mu des opioïdes (comme la buprénorphine). Chez les patients maintenus sous buprénorphine pour le traitement d'une dépendance aux opioïdes, il convient d'envisager d'autres options de traitement (par ex. un arrêt temporaire de l'administration de buprénorphine), si l'administration d'agonistes mu complets (comme l'oxycodone) devient nécessaire dans des situations de douleur aiguë.
L'utilisation concomitante d'oxycodone et de naltrexone peut nécessiter une augmentation de la posologie d'oxycodone.
On a observé des modifications cliniquement significatives de l'International Normalized Ratio (INR) dans les deux sens lors d'administration concomitante d'anticoagulants coumariniques et de chlorhydrate d'oxycodone en comprimés à libération prolongée.
L'oxycodone est principalement métabolisée par le cytochrome CYP3A4, et dans une moindre mesure par le cytochrome CYP2D6. Les activités de ces voies métaboliques peuvent être inhibées ou induites par divers médicaments administrés conjointement ou par des apports alimentaires.
Les inhibiteurs du CYP3A4, tels que les antibiotiques macrolides (par ex. clarithromycine, érythromycine et télithromycine), les antifongiques azolés (par ex. kétoconazole, voriconazole, itraconazole et posaconazole), les inhibiteurs de protéase (par ex. bocéprévir, ritonavir, indinavir, nelfinavir et saquinavir), la cimétidine et le jus de pamplemousse peuvent provoquer une baisse de la clairance d'oxycodone susceptibles d'entraîner une augmentation des taux plasmatiques d'oxycodone. Ainsi, il peut être utile d'ajuster la posologie d'oxycodone en conséquence. Quelques exemples spécifiques sont fournis ci-dessous :
L'itraconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A4, administré à raison de 200 mg par voie orale pendant cinq jours, a augmenté l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était environ 2,4 fois plus élevée (intervalle de 1,5 à 3,4).
Le voriconazole, un inhibiteur du CYP3A4, administré à raison de 200 mg deux fois par jour pendant quatre jours (400 mg donnés pour les deux premières prises), a augmenté l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était environ 3,6 fois plus élevée (intervalle de 2,7 à 5,6).
La télithromycine, un inhibiteur du CYP3A4, administrée à raison de 800 mg par voie orale pendant quatre jours, a augmenté l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était environ 1,8 fois plus élevée (intervalle de 1,3 à 2,3).
Le jus de pamplemousse, un inhibiteur du CYP3A4, administré à raison de 200 mL trois fois par jour pendant cinq jours, a augmenté l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était environ 1,7 fois plus élevée (intervalle de 1,1 à 2,1).
Les inducteurs du CYP3A4, tels que la rifampicine, la carbamazépine, la phénytoïne et le millepertuis peuvent induire le métabolisme de l'oxycodone et provoquer une augmentation de sa clairance entraînant une réduction des taux plasmatiques d'oxycodone. Il peut être utile d'ajuster la posologie d'oxycodone en conséquence. Quelques exemples spécifiques sont fournis ci-dessous :
Le millepertuis, un inducteur du CYP3A4, administré à raison de 300 mg trois fois par jour pendant quinze jours, a réduit l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était réduite d'environ 50 % (intervalle de 37 à 57 %).
La rifampicine, un inducteur du CYP3A4, administré à raison de 600 mg une fois par jour pendant sept jours, a réduit l'ASC de l'oxycodone administré par voie orale. En moyenne, l'ASC était réduite d'environ 86 %.
Les médicaments qui inhibent l'activité du CYP2D6, comme la paroxétine et la quinidine, peuvent réduire la clairance de l'oxycodone, ce qui pourrait entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de l'oxycodone.
Mises en garde et précautions
Mises en garde spéciales
patients âgés ou très affaiblis,
patients avec atteinte sévère de la fonction pulmonaire, hépatique ou rénale,
maladie d'Addison (insuffisance surrénalienne),
psychose toxique (par ex. alcool),
hypertrophie prostatique,
alcoolisme, dépendance connue aux opioïdes,
delirium tremens,
pancréatite,
affections des voies biliaires, colique biliaire ou néphrétique,
maladies intestinales inflammatoires,
affections associées à une augmentation de la pression intracrânienne,
troubles de la régulation circulatoire (par ex. hypotension, hypovolémie),
épilepsie ou tendance aux convulsions,
patients qui prennent des inhibiteurs de la MAO, ou dans les 2 semaines de l'arrêt de leur utilisation
Dépression respiratoire
Le risque majeur d'un surdosage en opioïdes est la dépression respiratoire. La prudence est de rigueur lorsqu'on administre de l'oxycodone à des patients âgés affaiblis ; à des patients présentant une altération sévère de la fonction pulmonaire, une altération de la fonction hépatique ou rénale ; à des patients atteints de myxdème, d'hyperthyroïdie, de la maladie d'Addison, de psychose toxique, d'une hypertrophie de la prostate, d'une insuffisance corticosurrénale, d'alcoolisme, de delirium tremens, d'affections des voies biliaires, d'une pancréatite, de troubles inflammatoires de l'intestin, d'hypotension, d'hypovolémie, d'une blessure à la tête (en raison du risque de pression intracrânienne accrue) ou des patients prenant des inhibiteurs de la MAO.
Risques liés à l'utilisation concomitante de médicaments sédatifs comme les benzodiazépines ou des médicaments apparentés :
L'utilisation concomitante de OXYCODONE MYLAN LP, comprimé pelliculé à libération prolongée et de médicaments sédatifs comme les benzodiazépines ou les médicaments apparentés peut se traduire par une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante de ces médicaments sédatifs doit être réservée aux patients pour qui aucune option thérapeutique alternative n'est possible. Si la décision est prise de prescrire OXYCODONE MYLAN LP, comprimé pelliculé à libération prolongée de façon concomitante avec des médicaments sédatifs, la dose efficace la plus faible doit être utilisée et la durée du traitement doit être aussi courte que possible.
Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite des signes et des symptômes de dépression respiratoire et de sédation. À cet égard, il est vivement recommandé d'informer les patients et leurs soignants afin qu'ils soient attentifs à ces symptômes .
Myxdème, hypothyroïdie
Comme pour tous les analgésiques, une diminution de la posologie peut être préférable chez les patients avec hypothyroïdie.
Opioïdes agonistes/antagonistes mixtes
Il convient de faire preuve de prudence lors d'utilisation d'Oxycodone Mylan LP, comprimé pelliculé à libération prolongée en association avec des agonistes/antagonistes mixtes des récepteurs mu (µ) des opioïdes (comme la pentazocine, la nalbuphine) ou des agonistes partiels des récepteurs mu (µ) des opioïdes (comme la buprénorphine). Chez les patients maintenus sous buprénorphine pour le traitement d'une dépendance aux opioïdes, il convient d'envisager d'autres options de traitement (par ex. un arrêt temporaire de l'administration de buprénorphine), si l'administration d'agonistes mu (µ) complets (comme l'oxycodone) devient nécessaire dans des situations de douleur aiguë.
Tolérance et dépendance
En cas d'utilisation chronique, le patient peut développer une accoutumance au médicament et nécessiter l'utilisation de doses progressivement plus élevées pour maintenir l'effet analgésique.
Oxycodone Mylan LP peut induire une accoutumance. Le risque de développement d'une dépendance physique ou psychique est cependant nettement réduit dans le cas d'une utilisation chez des patients avec douleur chronique. On ne dispose pas de données sur l'incidence réelle de la dépendance psychique chez les patients avec douleur chronique.
L'utilisation prolongée d'Oxycodone Mylan LP peut induire une dépendance physique et un syndrome de sevrage peut survenir après un arrêt brutal du traitement. Lorsqu'un traitement avec l'oxycodone n'est plus nécessaire, il est recommandé de réduire progressivement la posologie afin d'éviter l'apparition de symptômes de sevrage.
Les symptômes de sevrage peuvent inclure des bâillements, une mydriase, un larmoiement, une rhinorrhée, des tremblements, une hyperhidrose, de l'anxiété, de l'agitation, des convulsions et une insomnie.
Abus
Le profil de dépendance de l'oxycodone est similaire à celui d'autres puissants agonistes des opioïdes. L'oxycodone peut être recherchée et consommée abusivement par les personnes présentant des troubles d'addiction latents ou manifestes. Il est possible de développer une dépendance psychologique [addiction] aux analgésiques opioïdes, notamment l'oxycodone. Oxycodone Mylan LP doit être utilisé avec une prudence particulière chez les patients qui ont des antécédents d'alcoolisme et de consommation abusive de drogues.
La consommation abusive des formes orales par administration parentérale peut induire des effets indésirables graves, potentiellement mortels.
Les comprimés à libération prolongée doivent être avalés entiers, ils ne peuvent pas être divisés, écrasés ou mâchés. L'absorption de comprimés à libération prolongée qui sont divisés, mâchés ou écrasés entraîne une libération rapide d'oxycodone et l'absorption d'une dose d'oxycodone potentiellement mortelle .
Interventions chirurgicales
Comme toutes les préparations à base d'opioïdes, les produits contenant de l'oxycodone doivent être utilisés avec prudence après une chirurgie abdominale, car les opioïdes sont connus pour perturber la motilité intestinale et ils ne doivent être utilisés que lorsque le médecin s'est assuré du fonctionnement normal des intestins. L'utilisation d'oxycodone, comprimé à libération prolongée est déconseillée avant une intervention chirurgicale et dans les 1224 premières heures qui suivent l'intervention. Si un traitement supplémentaire avec l'oxycodone est indiqué, la posologie doit être ajustée aux nouvelles exigences postopératoires.
Il faut prendre des précautions spéciales en cas d'utilisation d'oxycodone chez des patients qui subissent une intervention chirurgicale intestinale. Les opioïdes ne doivent être administrés en postopératoire qu'après le rétablissement de la fonction intestinale.
Les patients qui bénéficient de procédures supplémentaires de traitement de la douleur (par ex. intervention chirurgicale, bloc de plexus) ne doivent pas recevoir d'oxycodone au cours des 12 heures précédant l'intervention.
Enfants
Oxycodone Mylan LP n'a pas été étudié chez les enfants et les adolescents de moins de 12 ans. La sécurité et l'efficacité des comprimés n'ont pas été établies chez les enfants et les adolescents de moins de 12 ans ; l'utilisation dans cette population n'est donc pas recommandée.
Patients avec insuffisance hépatique sévère
Les patients avec insuffisance hépatique sévère doivent être étroitement surveillés.
Iléus paralytique
Oxycodone Mylan LP doit être proscrit en cas de risque d'apparition d'un iléus paralytique. En cas de suspicion ou d'apparition d'un iléus paralytique pendant l'utilisation d'Oxycodone Mylan LP, il convient d'arrêter immédiatement le traitement.
Alcool
L'utilisation concomitante d'alcool et d'Oxycodone Mylan LP peut augmenter les effets indésirables de l'oxycodone ; l'utilisation concomitante doit être évitée.
Mise en garde relative au contrôle antidopage
Les athlètes doivent être informés que ce médicament peut entraîner une réaction positive aux tests antidopages.
L'utilisation d'Oxycodone Mylan LP comme produit dopant peut représenter un risque sanitaire.
Excipient
Ce médicament contient de la lécithine de soja.
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Sommaire du Résumé des caractéristiques du médicament
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