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Azantac - Résumé des caractéristiques du médicament

Le médicament Azantac appartient au groupe appelés Antihistaminiques Н2 - 2 génération. Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - A02BA02.

Principe actif: RANITIDINE BASE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE) - Azantac 150 mg- comprimé effervescent(e) - 150 mg - - 1989-07-04

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE) - Azantac 150 mg- comprimé pelliculé - 150 mg - - 1981-11-18

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE) - Azantac 300 mg- comprimé effervescent(e) - 300 mg - - 1991-12-24

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Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé effervescente - 150 mg
  • comprimé effervescente - 300 mg
  • comprimé effervescente - 75 mg
  • comprimé pelliculé - 150 mg
  • comprimé pelliculé - 300 mg
  • comprimé pelliculé - 75 mg
  • solution injectable - 50 mg

Сlassification pharmacothérapeutique:

Classification ATC:

Le médicament Azantac enregistré en France

Azantac 150 mg comprimé effervescent(e)

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 150 mg

Composition et Présentations

RANITIDINE BASE150 mg
sous forme de :RANITIDINE (CHLORHYDRATE DE)168 mg

Posologie et mode d'emploi Azantac 150 mg comprimé effervescent(e)

Comprimé effervescent(e)
Adultes et adolescents à partir de 16 ans:
Dès l'apparition des symptômes, mettre un comprimé effervescent dans un verre d'eau (75 ml minimum) jusqu'à dissolution complète (en remuant si nécessaire), puis avaler.
La plupart des patients sont soulagés avec 1 ou 2 comprimés par jour.
Il est possible de prendre jusqu'à 4 comprimés par jour.
Il n'est pas nécessaire de prendre les comprimés avec de la nourriture.
Si les symptômes persistent ou s'aggravent après 2 semaines de traitement, les patients doivent consulter leur médecin ou leur pharmacien.

Comment utiliser Azantac Montrer plus >>>

Présentations et l’emballage extérieur

Azantac INJECTABLE 50 mg/2 ml solution injectable

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 50 mg

Composition et Présentations

RANITIDINE BASE50 mg
sous forme de :RANITIDINE (CHLORHYDRATE DE)56 mg

Posologie et mode d'emploi Azantac INJECTABLE 50 mg/2 ml solution injectable

Solution injectable
En injection IM: 1 à 4 ampoules à 50 mg réparties sur le nycthémère.
En injection IV lente (au moins 2 minutes), après dilution d'une ampoule à 50 mg dans 20 ml de solution injectable: 1 à 4 ampoules à 50 mg réparties sur le nycthémère.
En perfusion IV: 0,125 à 0,250 mg/kg/heure.
Si nécessaire, le relais sera pris par les comprimés dès que possible.
Les doses peuvent être augmentées dans les états hypersécrétoires (syndrome de Zollinger-Ellison).
La posologie doit être diminuée du tiers ou de la moitié chez l'insuffisant rénal et en cas d'insuffisance hépato-cellulaire sévère.

Présentations et l’emballage extérieur

Azantac 150 mg comprimé pelliculé

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 150 mg

Azantac 300 mg comprimé effervescent(e)

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 300 mg

Azantac 300 mg comprimé pelliculé

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 300 mg

Azantac 75 mg comprimé effervescent(e)

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 75,00 mg

Azantac 75 mg comprimé pelliculé

LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE (FRANCE)
Dosage: 75,00 mg

Comment utiliser, Mode d'emploi - Azantac

Indications

Adultes
En association a une bithérapie antibiotique, éradication de Helicobacter pylori en cas de maladie ulcéreuse gastro-duodénale (après preuve endoscopique de la lésion et de I'infection).
Ulcère gastrique ou duodénal évolutif.
Œsophagite par reflux gastro-œsophagien.
Syndrome de Zollinger-Ellison.
Enfants (3 à 18 ans)
Traitement à court terme des ulcères gastriques ou duodénaux.
Traitement du reflux gastro-oesophagien, y compris les oesophagites par reflux et le soulagement des symptômes liés au reflux gastro-oesophagien.

Pharmacodynamique

La ranitidine est un antagoniste des récepteurs H2 à l'histamine.
La ranitidine inhibe la sécrétion d'acide gastrique provoquée non seulement par l'histamine, mais également par la pentagastrine, l'insuline, la caféine ou par les aliments.
La ranitidine n'altère pas la production de mucus, n'affecte pas la sécrétion pancréatique et semble sans effet sur le sphincter inférieur de l'œsophage.
Activité antiacide supportée par le couple effervescent « citrate/bicarbonate » :
la capacité antiacide maximale théorique pour un comprimé effervescent de 150 mg est de : 70 mmol d'ions H+,
le pouvoir neutralisant est d'environ 95 à 96% de l'activité antiacide totale,
le pouvoir tampon est d'environ 4 à 5%.

Pharmacocinétique

Absorption
Suite à l'administration orale de 150 mg de ranitidine, les concentrations maximales plasmatiques (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en 1 à 3 heures. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50-60% et les concentrations plasmatiques augmentent proportionnellement jusqu'à la dose de 300 mg.
Distribution
La ranitidine est faiblement liée aux protéines circulantes (15%) et le volume de distribution est de 96 à 142L.
Biotransformation
La ranitidine est faiblement métabolisée. La fraction de la dose retrouvée dans les urines sous forme de métabolites est identique après administration orale ou I.V. et représente 11-12% de la dose administrée.
Élimination
La diminution des concentrations plasmatiques de la ranitidine est bi-exponentielle, avec une demi-vie d'élimination terminale comprise entre 2 et 3 heures. L'élimination se fait essentiellement par voie rénale. Après administration orale, l'élimination urinaire moyenne de la ranitidine est de 70% de la dose absorbée, dont 35% sous forme inchangée. Après administration I.V., l'élimination urinaire moyenne de la ranitidine est de 93% de la dose absorbée, dont 70% sous forme inchangée.
La clairance rénale est approximativement de 500 ml/min, celle-ci dépasse la filtration glomérulaire et indique une nette sécrétion tubulaire rénale.
Populations spéciales de patient
Enfant de 3 ans et plus
Les données parcellaires de pharmacocinétique ont montré, après correction de la masse corporelle, qu'il n'y avait pas de différence significative relative à la demi-vie (comprise entre 1,7h et 2,2h pour les enfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 et 22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre la population pédiatrique et les adultes volontaires sains recevant de la ranitidine par voie orale.
Patients de 50 ans et plus
Chez les patients de 50 ans et plus, la demi-vie est prolongée (3-4 h) et la clairance diminuée, en raison du déclin de la fonction rénale lié à l'âge. Cependant, l'exposition systémique et l'accumulation des produits de la ranitidine est supérieure de 50%. Cette différence dépasse l'effet lié au déclin de la fonction rénale et augmente la biodisponibilité de la ranitidine chez les patients âgés.

Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament Azantac en fonction de la voie d'administration

L'absorption digestive après administration par voie orale est bonne, la biodisponibilité est de 55 %. La demi-vie d'élimination est d'environ 2,5 heures.
L'élimination de la ranitidine se fait essentiellement par voie rénale (50 % sous forme inchangée). La ranitidine traverse le placenta. La ranitidine passe dans le lait. Le rapport des concentrations lait/plasma est de: 2ème heure: 1,92; 4ème heure: 2,78; 8ème heure: 6,70.
Chez le sujet âgé, la demi-vie d'élimination plasmatique est augmentée: cela est lié à la diminution de la filtration glomérulaire.
Populations spéciales de patients
Enfant de 3 ans et plus
Les données parcellaires de pharmacocinétique ont montré, après correction de la masse corporelle, qu'il n'y avait pas de différence significative relative à la demi-vie (comprise entre 1,7 h et 2,2 h pour les enfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 et 22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre la population pédiatrique et les adultes volontaires sains recevant de la ranitidine par voie orale.
L'absorption digestive après administration par voie orale est bonne, la biodisponibilité est de 55 %. La demi-vie d'élimination est d'environ 2,5 heures.
L'élimination de la ranitidine se fait essentiellement par voie rénale (50 % sous forme inchangée). La ranitidine traverse le placenta. La ranitidine passe dans le lait. Le rapport des concentrations lait/plasma est de: 2ème heure: 1,92; 4ème heure: 2,78; 8ème heure: 6,70.
Chez le sujet âgé, la demi-vie d'élimination plasmatique est augmentée: cela est lié à la diminution de la filtration glomérulaire.
Populations spéciales de patients
Enfant de 3 ans et plus
Les données parcellaires de pharmacocinétique ont montré, après correction de la masse corporelle, qu'il n'y avait pas de différence significative relative à la demi-vie (comprise entre 1,7h et 2,2 h pour les enfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 et 22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre la population pédiatrique et les adultes volontaires sains recevant de la ranitidine par voie orale.

Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés par fréquence, en utilisant la classification suivante:
très fréquents (> 1/10); fréquents (>1/100, <1/10); peu fréquents (>1/1000, < 1/100); rares (>1/10000, < 1/1000) et très rares (<1/10000).
Les fréquences des effets indésirables ont été estimées à partir des notifications spontanées après commercialisation.
Affections hématologiques et du système lymphatique
Très rares: modifications de la numération formule sanguine (leucopénies et thrombocytopénies) généralement réversibles; agranulocytose ou pancytopénie, avec parfois hypoplasie ou aplasie médullaire.
Affections du système immunitaire
Rares: réactions d'hypersensibilité (urticaire, œdème angioneurotique (œdème de Quincke), fièvre, bronchospasme, hypotension et douleur thoracique).
Très rare: choc anaphylactique.
Ces effets ont été rapportés après administration d'une dose unique de ranitidine.
Affections psychiatriques
Très rares: confusion mentale réversible, dépression et hallucinations rapportées principalement chez les sujets très malades et âgés ou ayant une insuffisance rénale.
Affections du système nerveux
Très rares: céphalées (parfois sévères), vertiges et mouvements involontaires réversibles (tremblements, myoclonie ou mouvements oculaires involontaires).
Affections oculaires
Très rare: vision floue réversible, suggérant dans certains cas une modification de l'accommodation.
Affections cardiaques
Très rares: bradycardie sinusale et bloc auriculo-ventriculaire avec pause sinusale.
Affections vasculaires
Très rare: vascularite.
Affections gastro-intestinales
Très rares: pancréatite aiguë, diarrhée.
Nausées et constipation.
Affections hépatobiliaires
Rares: changements transitoires et réversibles des tests de la fonction hépatique.
Très rare: hépatite (cytolytique, cholestatique ou mixte) avec ou sans ictère habituellement réversible.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rare: éruption cutanée.
Très rares: érythème polymorphe, alopécie.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Très rares: symptômes musculo-squelettiques tels que myalgie, arthralgie.
Affections des reins et des voies urinaires
Très rare: néphrite aiguë interstitielle.
Affections des organes de reproduction et du sein
Très rares: impuissance réversible, gynécomastie, galactorrhée.
Affections endocriniennes
Très rare: hyperprolactinémie.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Asthénie.
Population pédiatrique
La sécurité d'emploi de la ranitidine a été évaluée chez des enfants âgés de 0 à 16 ans, ayant des troubles liés à l'acidité. La ranitidine a un profil d'effets indésirables proche de celui des adultes. Il existe peu de données de sécurité à long terme disponibles, notamment sur la croissance et le développement.

Contre-indications

En raison de la présence d'aspartam, ce médicament est contre-indiqué en cas de phénylcétonurie.

Grossesse/Allaitement

Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, l'utilisation de la ranitidine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparement révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse.
En conséquence, l'utilisation de la ranitidine ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
Allaitement
Le passage dans le lait maternel des antagonistes des récepteurs H2 est documenté, avec un rapport de concentrations lait/plasma élevé mais les doses ingérées par l'enfant restent faibles (environ 1 % de la dose maternelle). Néanmoins, seules des données cinétiques sont disponibles. La tolérance chez l'enfant en cas de traitement maternel, a fortiori s'il est prolongé ou à doses élevées, n'est pas connue.
En conséquence, par mesure de précaution, il convient d'éviter ce médicament au cours de l'allaitement.

Surdosage

Symptômes et signes
La ranitidine a une action très spécifique et aucun problème particulier n'est attendu suite à un surdosage quelle que soit la formulation de ranitidine.
Traitement
Un traitement symptomatique et de soutien devra être administré si besoin.

Interactions avec d'autres médicaments

Associations déconseillées
+ Posaconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et charbon
Diminution de l'absorption digestive de l'antihistaminique H2.
Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance de l'antihistaminique H2 (plus de 2 heures, si possible).
Associations à prendre en compte
+ Atazanavir
Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir.
+ Itraconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
+ Kétoconazole :
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
+ Cyanocobalamine
Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12.
+ Inhibiteurs des tyrosine kinases
Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
+ Ulipristal
Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption.

Mises en garde et précautions

La possibilité de malignité de la lésion devra être exclue avant toute instauration de traitement chez les patients présentant un ulcère gastrique; le traitement par la ranitidine pouvant masquer les symptômes d'un carcinome gastrique.
La ranitidine est éliminée par voie rénale, aussi les taux plasmatiques du médicament augmentent chez les patients présentant une insuffisance rénale. En cas d'insuffisance rénale, la posologie doit être ajustée .
De rares rapports cliniques suggèrent que la ranitidine peut précipiter des crises de porphyrie aiguë. Il convient donc de s'abstenir d'utiliser ce médicament chez les personnes ayant des antécédents de porphyrie aiguë.
Chez les patients tels que les sujets âgés, les sujets atteints d'une maladie pulmonaire chronique, de diabète ou immunodéprimés, il pourrait y avoir un risque accru de développer une pneumonie communautaire acquise.
Une large étude épidémiologique a montré une augmentation du risque de développer une pneumonie communautaire acquise chez les sujets prenant de la ranitidine seule en comparaison avec ceux qui avaient arrêté le traitement, avec un risque relatif ajusté de 1,82 (95% IC 1,26-2,64).
Une surveillance régulière des patients prenant de façon concomitante des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et de la ranitidine est recommandée, plus particulièrement chez les sujets âgés et chez les patients présentant des antécédents d'ulcère gastro-duodénal.
Liées aux excipients :
Ce médicament contient 476 mg de sodium par comprimé, ce qui équivaut à 24% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2g de sodium par adulte. La dose quotidienne maximale de ce produit équivaut à 95% de la dose journalière maximale (DJM) recommandée par l'OMS pour le sodium. AZANTAC 300 mg comprimé effervescent est considéré comme riche en sodium. Cela devrait être pris en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict.
Ce médicament contient du sorbitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare).
Ce médicament contient 45 mg d'aspartam par comprimé.
Ce médicament contient 180 mg de benzoate de sodium par comprimé.

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