Le(s) mécanisme(s) d'action de l'acétate de glatiramère chez les patients atteints de SEP n'est (ne sont) pas entièrement élucidé(s).
On suppose cependant, que lacétate de glatiramère exercerait un effet modulateur sur les processus immunologiques, que lon considère aujourdhui comme étant responsables de la pathogenèse de la SEP.
Cette hypothèse repose sur les résultats détudes menées pour explorer la pathogenèse de lencéphalomyélite auto-immune expérimentale (EAE).
Cette affection qui peut être provoquée chez plusieurs espèces animales par immunisation contre des substances issues du système nerveux central contenant de la myéline, est souvent utilisée comme modèle animal expérimental de la SEP.